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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Twinkle Editions propose de nouveau un objet livre magnifique avec sa couverture douce, ses illustrations ou encore la qualité du papier. Un relié qui coûte certes son prix mais qui le mérite au vue du travail éditorial réalisé.

Le récit est un conte hivernal contemporain sur fond d'écologie avec une réappropriation de mythes scandinaves ou anglo-saxon en rapport avec l'hiver. La reine des Neiges, Jack Frost ou la mythologie nordique sont utilisées. Au même titre que notre triste réalité écologique. Pour autant, si Laetitia Arnould choisit de présenter la situation avec toute la gravité qui s'impose, elle instille cependant une bouffée d'espoir, assez pour ne pas tomber dans un défaitisme qui obscurcirait tout de même le récit.

On a ici un récit young adult. Les personnages se rapprochent très vite, créant toujours ce manque de vraisemblance qui me chafouine toujours dans le young adult. Ils sont également très manichéens. La marâtre, c'est quelque chose. On sent que l'autrice est également allée voir du côté de Cendrillon. Mais il n'en demeure pas moins attachant, que ce soit Jack Frost en quête d'identité, Edda et son originalité et surtout les Veilleurs, ces personnages qui incarnent les changements climatiques saisonniers...

Le scénario a certaines faiblesses, il faut le reconnaître. Sans m'être ennuyée, je n'étais pas non plus complètement immergée dans cet univers si attrayant de prime abord. J'ai eu la sensation pendant longtemps de ne pas comprendre le but de l'histoire. Or, naviguer dans le brouillard, je n'y peux rien, ça a tendance à me faire sortir de mes lectures. Ca reste quelque chose de très personnel et je ne doute pas que beaucoup de personnes arrive à se laisser porter, savourant simplement l'univers qui nous est proposé ici.
La fin conclue cependant très bien ce récit, tout en gardant une certaine crédibilité vis-à-vis de notre réalité.

Le point fort de ce récit est sans conteste la plume de l'autrice. Avec ses mots, on assiste à des pages entières d'ode à l'hiver. Ce sont d'ailleurs ces passages là que je préfère aux moments d'action ou aux dialogues. On finit par être transporté par ce lyrisme incroyable qui rend hommage à notre si belle langue.
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Là où réside l'hiver est un roman qui est né avec un projet Ulule, arrivé sous le sapin avant Noël.

Il met en scène Jack Frost, figure allégorique de l'Hiver, personnage d'un folklore populaire anglosaxon. A travers lui, l'autrice nous fait redécouvrir l'Hiver, cette saison oubliée. Elle en dévoile la magie, pour qui sait voir.
La voix de Jack Frost se mêle à celle d'Edda, jeune fille qui possède une très grande sensibilité, amoureuse de l'Hiver. Elle ressent les changements saisonniers de plus en plus prononcés. Et elle souffre de la disparition de sa mère, de son manoir habité par sa belle-mère détestée. isolée et incomprise, Edda vit au rythme de la Nature qui l'entoure.

Ce chant à deux voix fonctionne très bien, d'autant que Jack Frost a ici une consistance intéressante, grâce au passé que l'autrice lui a tissé. Malicieux, jeune insouciant, intrépide, je me suis vite attachée à lui.

Là où réside l'hiver est une bal(l)ade hivernale, pleine de poésie et de chant, douce et givrée comme la neige.
La plume mélodique de l'autrice nous entraîne dans cette jolie ode à l'hiver, et on suit volontiers l'autrice dans ce rêve de neige… On réapprend à apprécier cette saison qui s'efface, qui disparait, petit à petit.

Au-delà du conte revisité, un intrigue se noue autour de la marâtre d'Edda. Un peu moins convaincue par ce fil narratif, d'autant que la marâtre m'a semblé peu nuancée.
Mais l'intérêt du roman réside dans sa seconde lecture, très contemporaine, qui se cache derrière cette jolie histoire. L'autrice évoque les bouleversements climatiques et les associe à ce folklore, qui devient intemporel, et actuel à la fois.
Folklore et crise écologique : un duo finement traité, avec pertinence, au ton très juste. Nulle récrimination, nulle accusation, juste un état de fait, associée à un imaginaire personnifié. J'ai trouvé cela fort habile, et permettant de conserver la magie de la saison sans tomber dans le catastrophisme ambiant.

J'ai aussi ressenti une certaine amertume, parfois. En effet, le roman ne se termine pas vraiment, il ouvre des portes vers tout un champ de possibles; la voie est ouverte, l'Humanité a tous les outils en main pour conserver le rêve, la magie de l'Hiver; mais… choisira t-elle le bon chemin ? Nulle réponse ici, et là encore c'es très bien joué.
Toutefois je n'ai pas pu m'empêcher d'être pessimiste quant à la réponse, et de me laisser envahir par une certaine nostalgie quand des souvenirs neigeux, malheureusement de plus en plus lointains, remontaient. C'est d'autant plus palpable que dans ce roman, il y a des moments à forte intensité dramatique, qui nous parlent. Amertume donc, face à un Hiver qui s'efface, tant météorologique que folklorique.

Une lecture que je recommande chaudement, qui va vous faire apprécier l'hiver, accompagné par une plume et des personnages dotés d'une grande sensibilité. C'est beau, touchant, et provoque beaucoup d'émotions, et de réflexions. J'ai adoré ce mélange réussi.
Lien : https://zoeprendlaplume.fr/l..
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😱 Y'a pu de saisons ma brave dame 😱

L'histoire d'Edda me fait penser à Cendrillon, avec la fameuse belle mère qu'on rêve de découper à la tronçonneuse 😁

Ici le Prince Charmant est Jack Frost, allégorie de l'Hiver, dont j'avais entendu parler mais dont je ne connaissais pas du tout la légende 😊

L'écologie prend une grande, une gigantesque, place dans le récit, en effet, l'Hiver est voué à disparaître et les Veilleurs de l'An se retrouvent démunis...

Il y en a même 2 qui disparaissent mystérieusement 🤔

Seuls la solidarité et l'entraide des Veilleurs peuvent les sauver 💜

J'ai trouvé la 1ère moitié du récit un peu longue, il y a beaucoup de descriptions, de réflexions, de longs dialogues et des moments contemplatifs, ce qui n'est pas du tout ce que je préfère si vous suivez mes stories/avis 😅

La 2ème moitié m'a beaucoup plus plu, c'était plus rythmé, il y avait de l'action, du suspens et il se passait pleins de choses 😁

Ça n'est pas autant le coup de coeur que pour "Un Noël à Bleakhill Castle", mais j'ai passé un excellent moment de lecture, Laetitia Arnould nous sert là encore un magnifique récit, j'ai beaucoup apprécié l'histoire et son message ainsi que les personnages hauts en couleurs 💜

Mon ptit chouchou c'est Février, comme mon mois de naissance... Étrange 🤔🤭

Chouette personnage 🦉😜

En plus, le livre est magnifique, on va pas se mentir, regardez la beauté de cette couverture, les illustrations et la mise en page à l'intérieur, franchement, toujours impeccable cette ME 😁
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Reçu dans le calendrier de l'avent 2022 de Pikiti, il a été choisi pour être ma lecture du mois par VibrationLitteraire.

L'autrice nous plonge dans un univers contemporain où l'hiver devient la saison la moins appréciée de toutes. Pourtant Edda veut que l'hiver perdure et sa rencontre avec Jack Frost et les Veilleurs de l'Hiver va tout changer.

Edda est une jeune fille hypersensible que j'ai beaucoup aimé. La rencontre avec Jack Frost lui permet de prendre conscience de certaines choses sur elles. J'ai aimé l'évolution de ce personnage. Jack se pose beaucoup de questions sur sa place parmi les veilleurs de l'hiver, ses doutes le rende très humain. J'ai aimé l'ensemble des Veilleurs de l'Hiver que notre héroïne rencontre : Janvier, Février mais surtout Décembre.

L'autrice nous offre une ode à l'hiver. Au travers de son récit, elle nous sensibilise sur la nécessité de l'équilibre des saisons. Un message très contemporain.

L'objet livre est très beau. Les éditions Twinkle ont fait un très beau travail éditorial.

La plume de l'autrice est poétique, elle m'a plongé dans son univers en un rien de temps. Les émotions sont bien transmises via sa plume.

En bref, j'ai passé un très bon moment avec ce livre, Jack Frost et Edda, l'équilibre des saisons et une plume poétique. Je vous invite donc à le découvrir.
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Un livre sur l'hiver et Jack Frost, sur le règne animal et sur la destruction de la nature que provoque l'être humains. On abordé énormément l'écologie, c'est une bonne chose, mais j'ai eu quand même l'impression qu'on pointé un peu trop du doigt ce qui ne fallait pas faire, un peu moralisateur en somme. 
Une romance sortie de nulle part, dommage.
 Mais pour son beau message pour la préservation de notre écosystème et pour la beauté de l'hiver.
 Ce livre mérite d'être lu, un bon moment de réflexion passé et de divertissement
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Là où réside l'hiver, un roman hivernal, au doux son des flocons de neige tombant du ciel. Les éditions Twinkle étoffent progressivement leur catalogue avec de très beaux ouvrages, aussi bien dans la forme que dans le fond.

Là où réside l'hiver, c'est une ode aux saisons. C'est une ode à l'amour, à l'amitié, à la planète.

Edda Nigthingale, héritière du domaine de Moonland, vit sous la tutelle de sa belle-mère depuis la mort de ses parents. Or, la cohabitation n'est vraiment pas évidente entre les deux. Si Edda souhaite plus que tout au monde préserver les bois de Moonland, il en va tout autrement de sa belle-mère, Miranda Glasting, qui aimerait avoir le contrôle total du manoir pour mieux raser ses bois…

En parallèle, il existe un autre monde, un monde invisible aux yeux du commun des mortels. Celui des gardiens des saisons, ces êtres capables de prendre une forme humaine comme animale et dont le rôle est de protéger le cycle naturel des saisons. Or, leur mission se voit chaque jour plus difficile à accomplir en raison des activités humaines. le réchauffement climatique, la déforestation, la pollution, l'assèchement des sols... autant de maux qui, si les humains ne prennent pas rapidement conscience des conséquences de leurs activités, signeront la fin des saisons.

Tout commence donc en plein hiver, au plus fort du froid, alors qu'Edda se voit complètement mise à l'écart du lieu qui l'a vue grandir. Sa belle-mère a réussi à l'éloigner de Moonland en l'envoyant travailler en centre-ville, l'obligeant à dormir sur place. le prétexte : les retours du soir en ce temps hivernal sont bien trop dangereux, un accident pourrait si vite arriver ! Mais la jeune fille est bien déterminée à protéger Moonland et ne tiendra guère compte des ordres. Jusqu'au soir où un terrible accident se produit. Afin de sauver celle qu'elle considère malgré tout comme sa soeur, Ally Glasting, Edda tombe dans un étang gelé. Pour Ally, c'est sûr, Edda ne peut pas avoir survécu à sa chute et Miranda s'empressera de l'enterrer. du moins, d'annoncer sa mort. Car son corps n'a pas été retrouvé. Ce que tout le monde ignore, c'est qu'un être veillait dans l'ombre. Cet être, ce n'est nul autre que Jack Frost, qui a été captivé par la sensibilité d'Edda. Edda semble en effet faire preuve d'un don particulier, qui la rend particulièrement réceptive aux activités des protecteurs. Situé entre les deux mondes, Jack peine à trouver sa place car il n'est affecté à aucun mois, contrairement aux autres protecteurs et fait ainsi montre d'une curiosité plus importante envers certains êtres humains. Lorsqu'il voit Edda sombrer dans les eaux glaciales, il ne réfléchit pas et décide de la sauver.

Lorsque la jeune fille revient à elle, elle découvre un monde parallèle, merveilleux et étrange et pourtant intimement lié à celui des humains. Bien que de courte durée, son absence suffira cependant pour la destruction des bois de Moonland. Or, leur destruction ne représentera pas seulement une perte sentimentale, elle marquera également le début de la fin des saisons. Déterminés à sauver l'hiver, les deux mondes vont devoir agir de concert très rapidement.

Puisant ses sources dans les différents folklores et plus particulièrement scandinave et slave, ce récit nous emmène à la rencontre d'êtres fabuleux. Conquise par la merveilleuse couverture, je craignais cependant un récit trop jeunesse, au message écologique trop évident comme on peut parfois en rencontrer. Or, il n'en est rien. Ce récit aux allures de conte fait au contraire preuve de maturité et de subtilité. D'une plume digne des contes de notre enfance, Laetitia Arnould nous montre l'importance de la question écologique et nous pousse à nous interroger sur nos actions et leurs conséquences sur la nature, et par la-même, sur notre avenir. Il ne s'agit pas là d'un argumentaire écologique mais bien d'une fable à plusieurs niveaux de lecture, qui parvient à la fois à nous transporter dans un monde féérique tout en nous invitant à la réflexion.

Conclusion
Un roman aux tonalités hivernales, empreint de magie et de féérie. Puisant son inspiration dans le folklore, Là où réside l'hiver est une ode aux saisons et à la nature, mené par une plume enchanteresse.
Lien : https://flowerpanda04.wixsit..
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J'avais déjà noté de me pencher sur les réécritures de contes de Laetitia Arnould sans en avoir eu l'occasion, mais quand son roman Là où réside l'hiver a été édité via une campagne Ulule, je n'ai pas hésité ! Folklore féerique de l'hiver, plume remarquée par ailleurs, ce roman me parlait avant même que je l'ai entre les mains.

Je l'ai lu ce mois-ci, profitant de la saison froide. Et j'ai aussitôt été embarquée dans les pas de Jack Frost et d'Edda ! Jack, qui fait danser les flocons, à l'humeur aussi espiègle que faussement dégagée, et Edda, jeune fille hypersensible, qui croit au merveilleux et proche des bois de Moonland. Ses bois, ceux près desquels elle a grandi et qui recèlent tant de souvenirs…

Je dois avouer avoir préféré la version de Jack de Laetitia Arnould que celle de la série de comics Fables – c'était d'ailleurs ma crainte, en commençant le roman, ce personnage connu pour son caractère disons, insupportable (mais c'est là un trait connu de cet archétype), avait été vraiment imbuvable pour moi dans le comics. Mais ce n'est pas le cas dans Là où réside l'hiver. Laetitia Arnould adoucit quelque peu le caractère piquant du personnage, lui apportant profondeur, tendresse et éclat de chagrin. Une belle reprise d'un personnage du folklore féerique, à la fois respectueuse de son essence tout en lui insufflant des couches supplémentaires de personnalité qui en font un héros auquel on s'attache très vite !

Edda est également un personnage pour lequel on ressent très vite de l'empathie. Hypersensible, elle a gardé son âme d'enfant en dépit des épreuves de la vie et son regard sur le monde devrait, à mon sens, être davantage partagé par tous. Elle croit en la magie, au cycle des saisons, elle est sensible à son environnement naturel, aux vies qui habitent les bois, qu'elles soient de plumes ou de poils.

Là où réside l'hiver n'est cependant pas qu'une belle revisitation des folklores féeriques hivernaux – même si ce thème seul a ravi l'amatrice de ces sujets que je suis ! 🙂 On sent que Laetitia Arnould maîtrise ce sujet et le revisite avec sa sensibilité propre, sans en trahir la moëlle. Non, le roman va plus loin, en l'ancrant dans des problématiques modernes : les bouleversements climatiques, la perte de nos liens avec la Nature qui nous entoure, et notamment ses cycles. Il n'y a plus ces fêtes qui ponctuaient l'année, marquant les passages des saisons. Quelques traces subsistent dans les célébrations actuelles, mais tellement ténues que peu peuvent encore les discerner. Qui fête encore les premiers signes du printemps, ou la fin de l'automne ? Pourtant, l'humanité a longtemps vécu au rythme des saisons.

Le message écologique est fort, pas parce qu'il est martelé, mais parce que Laetitia Arnould nous place face aux conséquences sur la population, sur des personnes comme sur la faune et la flore : pluies diluviennes, difficulté pour les écosystèmes de subsister, etc.

Au final, j'ai passé un très beau moment de lecture avec ce roman, qui est aussi beau sur le fond que la forme. Si vraiment je devais pinailler, c'est peut-être au sujet de l'antagoniste humaine, la belle-mère d'Edda, que j'ai trouvé un peu trop caricaturale par moments. Mais comme ce n'était pas elle l'ennemi principal, mais bien les bouleversements climatiques induits par l'homme, j'ai préféré ne pas trop m'attarder sur elle.

Le roman n'offre pas de solution tout faite à cette problématique moderne, il nous invite à renouer avec la danse des saisons, à retrouver cet émerveillement qui nous faisait, autrefois, célébrer les différentes saisons et conserver ainsi une conscience aigue de notre humble place au sein des écosystèmes, au lieu de vouloir les dominer.

Un très beau mélange de folklore féerique et de problématique actuelle, le tout dans un fort joli écrin – reliure rigide, illustrations en noir et blanc.

Il ne m'a manqué que le givre et la neige à ma fenêtre pour que la lecture devienne parfaite – mais cela n'était pas du ressort de l'autrice, qui a su donner dans son histoire un bel hommage à la saison froide !

Si vous aimez l'hiver, le folklore féerique, si vous souhaitez retrouver dans un roman émerveillement et sensibilisation, Là où réside l'hiver est fait pour vous !

Cette lecture s'inscrit dans le cadre du Cold Winter Challenge, menu Sorcellerie hivernale, catégorie Yule.
Lien : https://lullastories.wordpre..
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Je suis heureuse d'avoir découvert ce livre grâce à Intsagram et d'avoir participé à la campagne Ulule. Il est tout simplement splendide, que ce soit sa couverture relié ou encore l'intérieur avec ses entéte de chapitre et les illustrations au début. Juste dans sa couverture on sent le thème de l'hiver, du froid. C'est un magnifique objet-livre. Bravo à la maison d'édition !

Le style d'écriture de l'autrice me fait penser à celle des vieux compte de mon enfance avec une pointe poétique et lyrique. Je suis subjugué par les mots qui me plonge dans l'histoire, ainsi que son univers avec les veilleurs de l'ans. Je trouve l'idée originale et captivantes. Cette personnification des mois sort de l'ordinaire, tout en étant familier. Et je suis heureuse, que mon mois de naissance (Janvier) soit un renard polaires.

On sent l'inspiration des légendes et mythes lié à l'hiver, mais celle aussi de Cendrillon avec Edda et son horrible belle-mère et à d'autre conte. Ce qui fait ressortir un coté nostalgie. Mais, il aussi un message fort sur l'écologie qui nous fait ouvrir les yeux. Ce livre s'incrit dans la ligné d'autre livre et qui tire la sonnette d'alarme. Pourtant, l'histoire sait garder ça magie, avec une tristesse pleine de douceur. L'intrigue se déoule en douceur sans ce précipité avec ses messages fort. Ce n'est pas un livre bourré d'action et de péripéties. Bien au contraire, les 200 premières pages environ, nous montre le problème que doit faire face nos héros sous plusieurs angles et ses conséquences, et on s'y sent encore plus concerner, nous, lecteurs.

J'ai un gros coup de coeur pour Jack Frost qui est beaucoup plus humains à mes yeux niveau émotion qu'Edda qui est parfaite. J'ai beaucoup de mal à me sentir des personnage parfait, qui semble incarner la purté. Ce qui est dommage, car c'est personnage qui va beaucoup faire évoluer Jack Frost et l'histoire. Ce livre m'a bouleversé par ses sujet qui m'ont touché personnellement et qui convient à merveille à la période, car oui, la neige me manque.
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