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Au moment de choisir mes lectures de vacances, j'ai choisi d'adjoindre à ma PAL itinérante, le troisième volet des aventures brugeoises du mémorable commissaire van In, certaine de passer un excellent moment en sa compagnie, avec ou sans son inséparable Duvel.

Au début de cette histoire, nous retrouvons donc l'irascible commissaire accablé par un régime draconien, résultat d'un marchandage conjugal, et par les promesses d'une prochaine paternité. A ses côtés, ses acolytes souffrent également : le brigadier Versavel doit faire face à des problèmes de couple et Hannelore enceinte est tentée par la cigarette, contrepartie du régime de van In. Lorsque des ossements sont découverts dans le jardin d'une fermette proche de Bruges, voici notre trio sur la piste de philanthropes qui pourraient avoir beaucoup à cacher !

Une fois encore, la recette de Pieter Aspe est très réussie : humour, rebondissements, humanité des personnages, sans oublier les inévitables frites accompagnées de mayonnaise, autant d'ingrédients qui assurent le succès de cette histoire et propose au lecteur de passer un bon moment à proximité de la côte belge, en compagnie de héros atypiques et rafraîchissants.

Lien : http://nahe-lit.blogspot.com..
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Pieter Aspe nous livre ici une nouvelle enquête du commissaire van In.
Il va devoir naviguer entre hommes d'influences et politiques pour résoudre un meurtre vieux de plusieurs dizaines d'année. Il semblerait que les cadavres ne soient pas si bien cachés que cela. Alors que la vérité fait son entrée Van, In reste fidèle à lui même.
C'est toujours un plaisir de retrouver van In, Guido et Hannelore. En leur compagnie nous sommes sure de passer une bonne soirée, les pages se tournent toutes seules.
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L'intrigue est assez bien ficelée même s'il faut avouer qu'il n'y a pas vraiment de procédés révolutionnaires, rien que du classique. Un cadavre, ses restes du moins, difficile à identifier, des individus un peu paumés et au passé sulfureux, des hommes d'affaire, de la politique, des individus qui ne sont pas ce qu'ils sont vraiment, bref des personnages populaires dont on est amené à entendre parler tous les jours et dont la respectabilité n'est là que pour cacher les vices les plus noirs de l'humanité. Pédophilie, traite des femmes, déviances sexuelles, violence, alcoolisme, cupidité.
          En revanche, et je considère cela comme l'un des points forts du roman, le nom du coupable n'est pas dévoilé en toute fin d'enquête, comme bien souvent, mais le récit dévoile au fur et à mesure un pan du secret: le lecteur est à la fois pris en étaux entre l'enquête de van In, Versavel et Hannelore et plongé au sein des consciences des coupables. Aspe ne nous offre pas de fausses pistes ou de faux suspects, histoire de rajouter un peu d'épaisseur au scénario, bien au contraire, il privilégie la bonne progression de son histoire au détriment de rebondissements hasardeux et faciles. En bref, l'intérêt de ce polar ne porte pas tant sur l'identité même du meurtrier, et de son ou ses complice (s) le cas échéant, mais vraiment sur le mobile et la situation autrement plus monstrueuse dont ce meurtre n'est que le symptôme: pour ainsi dire, ce n'est que l'arbre qui cache la forêt. En ce qui concerne le style de l'auteur, l'écriture de Pieter Aspe n'a rien de particulièrement exceptionnel, il réussit parfaitement à rendre son récit vivant et mouvant mais je ne n'irais pas jusqu'à affirmer que c'est la qualité du style qui rend la lecture palpitante. Un style moyen, en somme.
          Ne vous attendez donc pas à un chef d'oeuvre avec Les Masques de la nuit, néanmoins l'intrigue est assez habilement construite pour susciter et entretenir l'intérêt du lecteur constamment pendant ces trois cents pages. le duo d'enquêteur fonctionne parfaitement et donne plus de profondeur et de vie à cette belle Bruges, peuplée des fantômes des mal-aimés et essayant tant bien que mal de cicatriser de la vicissitude et de la perversion humaine.
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Un roman policier un peu plan-plan tant au niveau de l'intrigue que des personnages. Ce n'est pas désagréable mais je reste avec le sentiment d'avoir déjà lu ça : jamais le roman ne sort des ornières toutes tracées au départ de l'intrigue. Dommage !
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L'histoire commence par la découverte d'un os humain dans un jardin d'une maison isolée en rénovation. Une enquête est donc ouverte par le commissaire van In. A qui peut-il donc appartenir ce squelette ? L'enquête semble mener vers des nobles de Bruges, ira t elle jusqu'à sa fin ?
Premier policier belge que je lis de cet auteur, et j'ai eu l'impression de lire du Fred Vergas. le suspense y est bien conservé jusqu'à la fin.
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Le début de l'histoire fait penser à celui de "La femme en vert" d'Indridason. Une enfant, en jouant, déterre un squelette. La suite "Des masques de la nuit" est totalement différente. Nous sommes à Bruges et nous suivons le commissaire van In dans ses investigations qui le conduisent à interroger des personnes influentes de la ville.
Encore une fois, Pieter Aspe nous fait côtoyer la bourgeoisie brugeoise et découvrir ses vilains gros secrets.
Si l'enquête est facile à lire et entraînante, je trouve que Pieter Aspe cède parfois à la facilité par des tournures de style et des raccourcis quelques peu raccoleurs.
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Tout comme La Quatrième forme de Satan, j'ai littéralement dévoré ce titre, et, le Commissaire van In est toujours aussi peu conventionnel !!!!
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Enquête policière pastiche. J'ai un peu de mal avec le ton de divertissement dans un roman policier, j'ai abandonné la lecture.
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