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Citations sur Indiana Teller, Tome 1 : Lune de printemps (53)

On se concentre sur ce qui est vraiment important. Sauver les fesses de la famille O'Hara.
Son œil devint narquois et je rougis. on, d'accord, le terme "fesses" n'était pas tout à fait adapté pour parler de Katrina. Axel fut assez poli pour ne pas faire la demi-douzaine de remarques grivoises qui devait trotter dans sa tête. Trop gentil.
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- Tu veux dire que tu as assommé Chuck juste avec tes poings ?
- Non.
- Ahhh, je me disais aussi...
- Avec un seul.
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- Indiana, c'était pour ton b...
Je lui collai la plus elle droite de la vie. [...]
Pour la première fois de ma vie, je venais d'assommer un loup-garou.
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- Ca se voit tant que ça ?
- Si ton amour était un poulet, il aurait la taille d'un dinosaure, alors oui, ça se voit.
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- Tu n'es pas comme les autres, Indiana. On a presque l'impression que tu débarques d'une autre planète. Et tu sais, je crois que je n'ai jamais vu un corps aussi balafré que le tien.
Ah ? Zut, moi qui croyais qu'elle était impressionnée par mes muscles. Raté.
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Oh là là, je deviens sénile. Mais à force d'entendre Indiana parler à son chien, j'en viens à croire qu'un jour celui-ci va lui répondre !
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Nous devînmes inséparables. Enfin, je suivais Katerina comme un petit toutou, et Tyler, comme un loup. Ce n'est pas valorisant de dire cela, mais je m'en fichais.
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Rappelle-toi, je suis le crapaud humain. Les princesses n'embrassent les crapauds que dans les contes de fées !
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Tu es mon soleil et ma lune. Tu es l'espoir qui brille dans les yeux des prisonniers, tu es l'oiseau qui vole dans le ciel. Tu es ma respiration et les battements de mon coeur. Depuis que je t'ai vue, je n'ai ni repos ni songe. Je ne vis que pour toi, je ne pense qu'à toi. Nulle extravagance ne me semblera trop extravagante, nulle folie ne me semblera assez folle. Si j'étais un chevalier, je défierais tous ceux qui s'opposeraient à moi, si j'étais un dragon, je t'enlèverais comme le plus précieux des trésors.
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Le long de l'allée illuminée. Sa peau blanche resplendissait sous le flamboiement des torches et ses yeux vert gris devenaient noirs sous la lune montante. La balancelle oscillait doucement, la maison paraissait accueillante et pimpante avec sa nouvelle couche de peinture. L'automne était déjà bien entamé, les grillons s'étaient tus et on sentait dans l'air trop froid la mélancolie des jours enfuis. La nature créait un cadre enchanteur et romantique. La lune n'était pas pleine, mais pas loin, baignant tout de sa perfection argenté.

Elle se retourna vers moi, plongea ses yeux magnifiques dans les miens. Soudain je réalisai que je la tenais dans mes bras et qu'elle n'essayait pas de se dégager. Je ne pus m'en empêché, toute pensée rationnelle déserta mon crâne. Je me penchai. Elle ne recula pas, me dévisageant gravement. Ce fut comme une onde de désir et de joie qui traversait mon coeur. Tout mon univers se résuma à son parfum, à la chaleur de sa peau et à l'eau verte de ses yeux. Je l'embrassai. Tout doucement, comme un papillon effleure une rose, trop fragile pour s'y poser. Le fruit rouge qu'était sa bouche m'accueillit comme si c'était la chose la plus normale du monde. Son odeur m'emplit avec une force telle que je tremblais. Je la serrai davantage et elle me répondit! Elle répondit à mon baiser avec une force, une ardeur qui me submergèrent. J'accentuai mon baiser, avec l'envie de la dévorer, la faisant presque ployer sous l'intensité de mon étreinte. Son baiser me marqua au fer rouge au point que je ne pouvais plus respirer. Elle prit mon coeur, l'enferma dans une boîte et jeta la clef. Haletant je reculais. Elle aussi cherchait son souffle.

Elle me regardait, à l'abri dans le noir. Je sentais son parfum. J'entendais qu'elle haletait. Son coeur battait bien trop vite et bien trop fort. Nous aurions pu rester ainsi pendant toute la nuit, elle dans le noir et moi dans la lumière de la lune, communiant silencieusement.
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