Les Enfants de la terre, tome 3 : Les Chasseurs de mammouths

Les enfants de la terre. Tome 3
Les chasseurs de mammouths.

Jondalar et Ayla vivent ensemble dans la caverne de cette dernière.
Une vie secrète et passionnée.
Jondalar a initié Ayla aux Plaisirs.
C'est à dire qu'il l'a éveillée au sexe et à la jouissance.
Elle qui n'en connaissait rien d'autre que le viol va découvrir un autre monde.
Mais arrive un jour où leur huis clos ne suffit plus et Jondalar réussit à convaincre Ayla de partir et rejoindre un autre camp, une autre famille.
Arrivés au camp des chasseurs de mammouths Ayla va une fois de plus éveiller la curiosité, l'incompréhension et aussi le désir.
Désir de ce clan de l'adopter pour ses pouvoirs de guérisseuse et dompteuse d'animaux mais désir de la posséder charnellement aussi.
Et Jondalar va devoir affronter un rival afin de garder sa belle auprès de lui.
Ayla va prouver à tous qu'elle a de grands talents et elle va aussi montrer aux Autres que les « têtes plates » ne sont pas indignes de respect, seulement différents.

Encore un tome englouti avec plaisir !
Les scènes d'amour sont très sensuelles et passionnées, celles de chasses très réalistes et la description des paysages incite au voyage...
Allez : le tome 4 !

Les Chasseurs de mammouths est le troisième roman de la série "Les enfants de la terre" de l'auteure américaine Jean M. Auel.

Dans cette troisième partie, Ayla quitte "sa vallée" avec Jondalar et ses cheveux. Ils rencontrent un groupe de chasseurs du nom de Mamutoï (Chasseurs de Mammouths). Ce groupe de chasseurs, intrigué par les grandes capacités et connaissances d'Ayla, décide de l'adopter pour ainsi lui donner un foyer. Les échanges entre notre duo et le groupe sont très variés. Les différents statuts et les rôles sociaux de chacun, les jeux de la séduction ainsi que les nouvelles émotions bouleversent beaucoup notre héroïne et son compagnon.

Il s'agit d'un roman intéressant mais, malheureusement, il est beaucoup trop long! Certaines figures de styles sont boiteuses, il y a beaucoup de répétions de situations. Est-ce causé par la traduction? Pour écrire une saga de six tomes, d'autant plus que le troisième roman compte 914 pages, il faut avoir quelque chose à dire!

Enfin, ce que j'ai aimé de ce roman, c'est une description des plausible des étapes de l'évolution de l'être humain pour s'adapter à son environnement. Chaque découverte faite par une tribu apporte son lot de répercussions sur sa capacité à survivre dans un environnement hostile. J'ai bien aimé aussi observer la grande capacité de partage des connaissances entre les tribus même si elles sont différents les uns des autres.

Bonne lecture!

J'avais beaucoup aimé les deux premiers tomes et, du coup, j'avais hâte de lire ce livre. Mais la magie n'a malheureusement pas autant opéré que ce que j'aurais aimé : je l'ai trouvé moins surprenant et magique que les précédents.

Cependant Les chasseurs de Mammouths reste une lecture très agréable : j'ai vraiment passé un super moment avec ce livre. D'autant plus que je craque totalement devant sa couverture !



J'ai retrouvé avec plaisir Ayla et Jondalar qui nous emmènent au coeur de la civilisation des Mamatoïs. C'est très agréable de revenir au milieu d'une société, d'autant plus qu'elle n'est pas si différente de la notre que ça.

J'ai trouvé très intéressant le fait qu'Ayla doive faire face aux préjugés des Autres envers les Têtes-plates. de la même façon j'ai beaucoup apprécié sa relation avec Rydag, qui comme pour elle, m'a beaucoup fait ressentir l'absence de Durg.

Le personnage de Ranec m'a également bien plu : j'aime bien la façon dont il bouleverse Jondalar et Ayla. Ça va loin, mais ça leur fait du bien. C'est une crise bénéfique !



Mais comme je le disais au-dessus, j'ai trouvé que ce tome manquait de surprises, un peu comme si l'auteur se reposait sur ses lauriers : il n'y a pas de nouveautés dans Les chasseurs de Mammouths. Bien sûr, ce n'est pas étonnant vu que les deux tomes sont vraiment pleins d'éléments en tout genre.

Mais bon, j'aurais aimé voir autre chose qu'Ayla défendant les Têtes-Plates, Ayla ne comprenant pas les signes de la civilisation, Ayla dressant une bête sauvage... Je ne dis pas que j'ai vécu les deux premiers tomes dans un autre lieu, mais il y a un peu de ça.



Cela dit, j'ai tout de même passé un très bon moment en compagnie d'Ayla et du clan du Lion. D'autant plus que Jean M. Auel à une écriture vraiment très agréable.

Je suis curieuse de découvrir la suite, en espérant qu'elle soit un peu moins prévisible...
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3ème tome des aventures d'Ayla, qui après avoir été éduquée par le clan et avoir goûté à la solitude des plaines, se trouve enfin devant "les autres". Grace à ce que lui a appris Jondalar et à ses dons exceptionnels, elle espère avoir sa place parmi eux.
Tome meilleur que le précédent, on y découvre beaucoup de personnages attachants et les interactions entre eux et Ayla remplace agréablement le désert affectif du 2nd tome.

Les aventures d'ayla continuent dans ce tome 3. Dans l'ensemble ça m'a moyennement plu et c'est nettement moins palpitant que le tome 1, mais ça se lit quand même bien.

Dans l'ensemble les descriptions des moeurs, des paysages, coutumes, techniques de chasse etc, l'auteure reste fidèle à elle même. On apprend plein de choses, les éléments de langage ("grande mère !", "ô doni" pour ne citer que mes pref) participent à rendre l'ensemble immersif. le lien avec les animaux, en cours de domestication plus ou moins volontaires et de leur moeurs, est vraiment intéressant.

Par contre, les scènes de sexe pour émoustiller les adolescents sont beaucoup trop nombreuses et pathétiques... Les 300 pages de descriptions des sentiments de jondalar et d'ayla étaient mieux que les 100 pages de descriptions de sa bite du tome précédent mais tout aussi pénibles et loudingues. J'ai trouvé dérangeant d'écrire virilité au lieu de zizi (ou tout autre mot de vocabulaire, ce n'est pas ce qui manque) et féminité au lieu de vagin. La virilité n'est pas l'opposé de féminité et quel lien avec les organes génitaux ?!!

Certains personnages sont vraiment attachants mais j'ai trouvé les histoires d'amour trop présentes, redondantes et inutiles. Des pages pour des pages ? Et puis Ayla, heureusement qu'elle a pas le sens de l'orientation et qu'elle sait pas chanter parce que sinon, que n'a-t-elle pas ? Cette perfection simulée la rend peu crédible dans l'ensemble...

Globalement cette série est sur une pente descendante j'ai de moins en moins envie de pour suivre. Néanmoins le départ pour un long voyage m'intrigue, j'ouvrirai sans doute prochainement le tome 4.

Je viens de lire Les chasseurs de mammouths de Jean M Auel avec un grand plaisir et des émotions rares en lecture.
Je réserve les 5 étoiles aux ouvrages que je me promets de relire. Mais celui-ci s'inscrit dans une saga trop volumineuse pour une relecture.
C'est le 3e épisode de la série. Par erreur, je l'ai entamé sans lire le 2e tome. J'ai probablement raté des séquences intéressantes, mais l'auteure veille à rappeler les événements essentiels à la compréhension des événements et de l'évolution des personnages.
Les romans de Jean M Auel sont remarquables à plus d'un titre. Ils nous présentent avec beaucoup de vraisemblance et de justesse historique les peuples de la préhistoire , sous réserve de l'évolution des connaissances scientifiques particulièrement mouvantes ces dernières années.
À raison, l'auteure se garde de toute indication de temps et de lieux. On devine que les traditions et les préjugés entre le Clan et les Autres, que porte en elle l'héroïne, évoquent les interactions supposées entre les espèces Néanderthal et Homo Sapiens.
Ces romans depeignent, avec quelques personnages et une formidable héroïne, Ayla, qui a toutes les qualités, l'évolution de l'espèce Homo Sapiens, ses comportements sociaux et interpersonnels, ses habitudes de vie, les étapes de ses progrès techniques, intellectuels, spirituels et d'appropriation de la nature. C'est exposé avec finesse, au gré des événements vécus par le groupe de protagonistes.
Ce roman n'est pas construit comme un thriller. Il chemine au gré de rencontres et de petits événements qui font évoluer les personnages. Pourtant le lecteur reste accroché, intéressé et ému. En tout cas, je l'ai été, comme pour le 1er tome.
Certes, on peut trouver que les tergiversations amoureuses d'Ayla et de Jondalar sont un peu longuettes et répétitives, mais leurs difficultés à communiquer, comme le refus de leurs compagnons de les aider, sont aussi des portraits psychologiques.
Enfin, Ayla est tellement parfaite, elle contribue à tant de connaissances et de progrès, qu'on peut regretter l'artifice romanesque. Néanmoins, elle peut aussi personnifier l'avancée de l'humanité vers la modernité.

Le troisième volet de cette grande saga préhistorique, on retrouve avec plaisir Ayla et Jondalar, et après la grande solitude du deuxième volume, on est content de retouver une plus grande multitude de personnages.

Un très bon tome, même si ça ne vaut pas le premier et qu'il souffre de certaines longueurs...

Après avoir quitté Ayla et Jondalar, accompagnés de Whinney et de Rapide, sur le point de rencontrer les Autres, nous les retrouvons exactement là où on les avait laissés.

Ainsi, la quête d'Ayla touche enfin au but : découvrir les Autres. C'est ainsi que le couple va se voir accueillir au Camp du Lion des Cavernes. Ce dernier va les héberger avec la générosité et le plaisir face à des voyageurs, mais aussi beaucoup de curiosité et de crainte vis-à-vis de cette jeune fille qui se fait obéir des chevaux et qui a bien d'autres talents.
C'est encore une fois un tome très intéressant. Après s'être avisé des moeurs dans le Clan, puis de la vie solitaire de Ayla, voici que nous découvrons enfin la communauté des Autres. Leur hiérarchie, leurs coutumes, leurs cérémonies, leur habitation, leurs techniques de chasse et de conservation des aliments, leurs habits, etc. sont autant de choses que l'on va apprendre en même temps que notre héroïne.
Ayla a de la chance d'avoir rencontré en premier ce Camp du Lion, qui, malgré ses dehors fort étrangers pour la jeune fille, recèlera bien des surprises, laissant supposer que le hasard n'est peut-être pas uniquement en cause dans leur rencontre.

Ayla nous prouve encore une fois son talent, son ingéniosité et sa force de caractère. Elle va devoir faire face aux préjugés et à la crainte. Toutefois, elle va aussi découvrir l'amitié et le respect. Son coeur va beaucoup osciller au cours de ces épreuves, mais elle pourra toujours compter sur son totem et sur Jondalar pour la soutenir en toutes circonstances.

Les nouveaux personnages sont très attachants. Ce Camp du Lion regroupe un beau panel de personnes aux caractères très variés. Ils vivent en communauté et apprennent à s'adapter les uns aux autres.

Jean M. Auel nous offre un roman magnifique, très intéressant, grâce auquel on apprend énormément et où aucun aspect de la vie n'est écarté : de la naissance à la mort. Elle arrive, à travers la vie d'Ayla, des informations et des détails passionnants, à enrichir le lecteur. Sans compter que l'histoire d'Ayla en elle-même : sa vie, les obstacles qu'elle rencontre, les amitiés qu'elle noue, est captivante. On s'attache énormément à cette jeune fille qui n'a pas eu la vie facile, mais qui l'affronte la tête haute et avec une grande force.

C'est une saga extraordinaire dont on ne se lasse pas, car elle nous offre toujours de nouvelles découvertes et dont le personnage principal est particulièrement attachant et intéressant.
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Je dois avouer une chose, ce tome-ci n'est pas mon préféré des 3 tomes que j'ai lu pour l'instant même si il m'a fait pleurer par moment, j'ai quelques bémol par rapport à l'histoire.

Les nombreuses scènes de sexe expliquées en long et en large, je pense qu'on aurait juste eu droit à une phrase Jondalar et Ayla ont partagé les Plaisirs ou Ranec et Ayla les ont également partagés, aurait été pour moi suffisamment correcte que d'avoir une tartine à chaque fois sur leurs ébats, je pense que tout le monde a compris après la première fois (dans le tome 2) comment se déroule les Plaisirs pour les Autres.

Je n'ai pas réellement aimé le couple Ranec et Ayla, je suis une inconditionnelle du couple Jondalar-Ayla, je trouve qu'ils vont bien ensemble même si Ranec a eu plus de facilités à accepter le passé "Têtes plates" d'Ayla et le fait qu'elle a eu un enfant d'esprit mêlés.

J'ai bien aimé les Mamutoi, ils m'étaient fort sympathiques même si la Réunion d'Eté n'a pas été de tout repos, je remarque également qu'eux aussi font une Réunion de tout le Camp comme le Clan le fait même si contrairement aux derniers, les Mamutoi font ça tous les ans.

Et bien sur, j'ai pleuré comme une madeleine lors des adieux avec Bébé, j'ai trouvé que c'était incroyablement émouvant tout comme j'ai pleuré pour Rydarc.

Je suis contente également qu'Ayla ressorte "grandie" de cette expérience avec les Autres mais je suis également triste de voir qu'elle renonce à jamais à Durc (sans pour autant l'oublier) et j'ai lu que jamais on se saura ce qui sera advenu de Durc et c'est une "honte", je souhaiterais que l'auteur puisse faire un tome rien que sur l'avenir de ce petit homme.

J'espère que le prochain tome sera "moins gros" (car celui-ci était volumineux) et qu'elle fera la connaissance de la famille de Jondalar.
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J'ai vraiment bien aimé ce tome. le tome 2 était tout de même moins dynamique.
Je suis un peu déçue par le chois que l'auteur fait faire à son héroïne et j'ai peur que les autres tomes soient un peu redondant de ce fait. Moi, (attention spoiler) j'aurais fait rester Ayla avec Ranec.