Génération Y, tome 2

Extrait :
Je continue le petit manfra d'Ayaluna avec ce second tome, je pensais que c'était le dernier, mais après vérification, la série n'est pas encore terminée, et un tome 3 est en cours ! J'ignore jusqu'où la série ira, mais les thèmes qu'elle aborde sont vraiment importants et bien tournés. Même si le format du tome est un peu plus petit qu'un format classique, il est aussi plutôt épais, et j'aime bien les goodies.

Ce nouveau tome commence avec Yamato qui rêve de son enfance, pour au final, se réveiller dans un lieu qui lui est inconnu. Il a été kidnappé, sans savoir par qui, pourtant, cette personne semble bien le connaître, et surtout, lui en veux énormément. Ce jeune homme, à l'esprit visiblement détraqué, a les moyens financiers pour bien embêter Yamato et ses amis. Il propose alors une partie d'échec, où les pions se trouvent être ses amis. Ainsi, lorsqu'il perd un pion, un de ses amis est aussi kidnappé. Manque de bol pour cet inconnu, Yamato et ses amis ont bien des atouts dans leur manche, et savent se débrouiller, même sans leur chef (Shin est encore un peu maladroit par contre).

Au final, ils finissent par tous partir avec Yamato, plus perturbé que jamais. Il ignore ce qu'il a bien pu faire de mal, lui qui prend la défense des plus faibles. Toute action à ses conséquences, et il est parfois difficile de les estimer, ou même de les voir par soi-même. Shin, qui a fugué depuis un petit moment maintenant, se retrouve devant chez lui lors d'Halloween. Il voit alors sa jeune soeur partir avec des inconnus plus âgés qu'elle, pris par la peur, il demande de l'aide à ses amis et leurs contacts, au moins pour s'assurer qu'il ne lui arrivera rien. Heureusement qu'il a eu ce réflexe, et là, en tant que lecteur, on voit les conséquences de sa fugue. Son père, se noie dans l'alcool et sa soeur à l'impression de ne rien valoir, car elle a été abandonnée par deux fois. Honnêtement, j'ignore qu'elle réaction Shin devrait avoir face à tout ça, mais une chose est sûre, il doit au moins parler à sa soeur, car rien ne s'améliorera sans conversation.

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