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3,53

sur 405 notes
Voici un superbe roman qui nous fait découvrir une autre version d'Orgueils et préjugés, celle vue par les domestiques. On retrouve bien les éléments de l'histoire de Jane Austen par petites touches et on a vraiment l'impression de la redécouvrir. Les personnages, les lieux, tout est raconté avec beaucoup de finesse, l'écriture, riche et légère à la fois, nous entraîne à l'empathie et n'a rien à envier aux plumes du XIXème. Vraiment un beau et bon roman !
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Je n'ai pas lu "Orgueil et préjugés" ( oui vous pouvez me lancer des tomates), mais j'en ai vu le film avec Keira Knightley. J'aime bien les histoires qui se déroulent dans l'Angleterre du XIXeme siècle, je trouve que c'est une époque particulièrement riche.
'Une saison à Longbourn", le contrepied d'"Orgueil et préjugés", a été une ravissante lecture. Il faut dire que j'ai toujours eu un gout pour les histoires sur le "petit peuple" plutôt que sur les arrogants seigneurs. Je suis plus "Germinal" que "Princesse de Clèves" si vous voulez... Et je n'ai pas été déçue avec ce roman : valets, bonnes et pots de chambre !

Blague à part, je conseille ce joli roman. Et chose rare, la fin n'est pas mal faite. Je craignais la collision avec une happy end mielleuse et ridicule, mais au final je trouve que le roman se termine .

Je terminerai avec un commentaire sur mes étoiles: pourquoi trois alors que j'ai aimé? Hé bien je blâme l'éditeur. C'est truffé de fautes de frappe et d'orthographe. C'est moche !
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Ce roman est basé sur une oeuvre de Jane Austen, Orgueil et préjugés, mais vu du côté des domestiques. Sarah est donc une domestique au service de la famille Bennet dans leur maison de Longbourn, la vie y est difficile car il y a beaucoup à faire, ils ne sont actuellement que quatre pour faire fonctionner toute la maisonnée et deux mains supplémentaires ne seraient pas de refus. Arrive alors James et les doutes de Sarah vont commencer à germer.

Le roman se découpe en trois parties, la première installe tous les personnages et le fonctionnement des différentes tâches qui incombent aux domestiques ainsi que leur façon de vivre. La deuxième partie resserre son récit autour de James et des intrigues autour des soeurs Bennet, quelques révélations pimentent cette partie qui devient plus sombre et nous en apprend davantage sur cette période de guerre contre Napoléon et de misère. La dernière partie se concentre sur Sarah qui apporte à mon grand étonnement beaucoup de suspense sur le dénouement.

Une lecture qui m'a ravie, d'un côté pour avoir retrouvé l'univers de Jane Austen et les événements d'Orgueil et Préjugés, même si ceux-ci ne figurent qu'au second plan, on les perçoit d'un autre oeil ; d'un autre côté pour avoir vu les coulisses de Longbourn, les tâches quotidiennes et les difficultés associées (il est souvent question des jupons tachés de boue de Miss Elizabeth).

Le personnage de Sarah évolue tout au long du roman, courageuse et volontaire elle ne connait pourtant rien du monde extérieure, pourtant elle n'hésitera pas à l'affronter pour enfin vivre. le personnage de James qui, me semble-t-il, n'est là que pour « ouvrir les yeux » de Sarah sur sa condition, apporte des indications sur le passé de M. Bennet (dont on ne se serait jamais douté, belle trouvaille !) et sur la période trouble pendant laquelle se déroule le roman.

En conclusion, c'est un roman qui se lit très bien et même s'il n'y a pas d'extraordinaires rebondissements le lecteur peut se plonger dans le récit avec délice.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
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Un désastre! Et pourtant c'était tellement prometteur : l'envers du décors DU roman culte pour un grand nombre d'entre nous, un genre de Upstairs Downstairs. Et puis l'excitation retombe au fur et à mesure de la lecture (et il ne m'a fallu que quelques pages!).
Bref un déception. Les liaisons entre le monde des Bennet et celui des serviteurs sont quasi inexistantes et très mal amenées. J'ai eu l'impression que l'auteur avait simplement saupoudré son texte avec les personnages de Jane Austen sans vraiment chercher à les intégrer à son récit. Bref une juxtaposition sans effort qui m'a laissé comme un arrière gout amer : encore un auteur qui exploite mercantilement le filon Jane Austen....
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Je ne vais pas résumer le livre, d'autres l'ont fait avant moi ...

Très plaisant pour les fan de Jane Austen, et je l'ai lu avec plaisir. Mais ... certaines phrases sont bizarres, et je suppose que ça vient de la traduction. Ce n'est pas la première fois que je le constate avec des livres traduits, je pense que là aussi, on réduit le personnel, et personne ne relit la traduction ... c'est très agaçant !
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Une saison à Longbourn est un bel hommage à Jane Austen. L'histoire est crédible par rapport à Orgueil et Préjugé, même si l'auteur se permet quelques libertés, notamment avec Monsieur Bennet.

Ce roman s'intéresse aux domestiques, qui dans le roman de Jane Austen, sont transparents. Cette fois, ce sont les maîtres qui sont en arrière-plan. Sarah, Polly, Mrs Hill, Mr Hill et James évoluent dans leur monde avec leurs propres valeurs et leurs propres préoccupations. Evidemment, il y a des interactions avec le monde des maîtres mais le récit reste centré sur les domestiques.

Le livre se divise en trois volumes. La première partie décrit le quotidien des domestiques à Longbourn, c'est à dire les tâches comme la lessive, le ménage, la cuisine , le soin des chevaux, ect.

La deuxième partie met en exergue l'histoire du mystérieux valet James. C'est ce que j'ai le moins apprécié dans ce roman, car l'auteur nous emmène bien loin de l'Angleterre et nous décrit les guerres napoléoniennes alors que Jane Austen est silencieuse sur cet aspect.

La troisième partie est plutôt centrée sur Sarah et le dénouement de son histoire d'amour. Sarah est un personnage intéressant car elle est d'autres aspirations que de rester domestique alors que Mrs Hill n'a pas eu vraiment le choix.

Le récit est tout à fait cohérent. Il y a de nombreux rebondissements, le rythme de la narration est lent mais cela ne gêne en rien la lecture. Une saison à Longbourn est une "austenerie" de qualité.

Merci aux éditions Stock et à Alice
Lien : http://lilasviolet.blogspot...
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Tout d'abord je remercie les éditions Stock et Babelio pour les Masse critique.

J'ai lu il y a peu Orgueil et préjugés, livre que j'ai beaucoup aimé ( Ah Darcy et Elisabeth!!!) de plus j'apprécie la période du XIXeme c'est donc avec joie que j'ai reçu Une saison à Longbourn. J'avais lu la critique de Fanny qui l'avait lu en VO et qui m'avait donné envie.

Nous découvrons Sarah une des jeunes femmes de chambres de Longbourn. Au début elle est jeune et pleine d'illusions, de rêve et d'espoir. Elle m'a parut naïve et je me suis dit "elle va se faire avoir dès le début". Je me suis trompée. Elle apprend de ses erreurs et est plus mesurée que je ne l'aurais cru. Elle va même découvrir l'amour.

Nous suivons aussi les autres domestiques de la maison: Mrs Hill , l'intendante et son époux, la jeune Polly, et le nouveau venu James, qui a bien des secrets.

Leur vie n'est pas toujours facile: crevasse, fatigue, froid, dur labeur. Mais cela est aussi important car sans eux pas d'ordre dans Longbourn.

J'ai aimé cette histoire de petites mains qui habituellement oeuvrent dans l'ombre et qui ici trouvent une place de choix. Nous avons leurs sentiments, leurs ressenties ce qui est rarement le cas. Car pourquoi s' intéresser aux bonnes? elles ne sont là que pour laver les chemises non? de ce point de vue cette histoires m'a bien plu et j'ai plus d'une fois pesté contre les bourgeois ( Que j'aime dans les livres de type O&P) qui font comme si elles n'existaient pas, cherchant parfois le nom de leurs domestiques.

L'auteure aime l'univers de Jane Austen et cela ce voit. Elle m'a emmené dans les paysages verdoyant de la campagne anglaise. L'écriture est simple et claire. Les chapitres défilent au rythme d'Orgueil et préjugé . Chaque chapitre commence par un passage de celui-ci et nous permet de nous situer, clin d'oeil sympathique à l'oeuvre de référence mais l'auteure a réussi à créer son propre univers.

J'ai aimé le coté miroir. Quand un grand dîner à lieu dans O&P , les domestiques le préparent, quand Lizzy revient couverte de bout , les bonnes font tremper le linge.

L'image des Bennet est égratignée dans ce livre. Nous découvrons leurs linges sales! Elisabeth, que j'adore, n'est plus aussi parfaite, Mr Bennet a plus de faille encore ( cela peut déranger certains). Seule Mary tire son épingle du jeu. Elle devient ici une jeune fille avec ses doutes, ses illusions. elle prend une importance qu'elle n'a pas dans Orgueil et préjugés.

Wickam est particulièrement horrible et pervers dans ce livre . Je ne l'aimais pas et je l'aime encore moins maintenant!

J'ai noté quelques répétitions parfois dans les situations ce qui a pu m'agacer et la dernière partie était un peu longue. Je ne me suis pas spécialement attachée aux personnages mais il ne m'ont pas déplu non plus. Je les ai parfois trouvé un peu lisse. Ce n'est pas un coup de coeur mais dans l'ensemble cette lecture a été fort agréable et j'ai passé un bon moment.
Lien : http://memelessorciereslisen..
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Ayant adoré Orgueil et préjugés, je me suis facilement laissé tenter par la proposition de Babelio et des éditions stock, que je remercie ! En temps général, j'ai tendance à me méfier des réécritures car elles ne sont pas souvent à la hauteur de ce que j'attends. Je trouve extrêmement culotté de la part de l'auteure de reprendre un chef d'oeuvre pareil car cela peut être à double tranchant, mais dans le cas présent, cela paye car je peux vous dire que j'ai été plus que conquise !

Ce livre n'est pas seulement une réécriture d'orgueil et préjugés, non bien au contraire, son histoire reste en arrière plan et ne sert que de fil conducteur à l'intrigue. Même si l'on suit les événements de l'intrigue originale, ici, l'auteure nous emmène du côté des domestiques et surtout sous le point de vu de Sarah, une des jeunes domestiques des Bennett.
J'ai adoré découvrir ces nouveaux personnages ! En effet, Sarah n'est pas une simple domestique qui se contente de la vie qu'elle a car elle a connu le bonheur auprès de ses parents avant leur décès et n'aspire qu'à le retrouver. L'arrivée de James, un nouvel employé, va la faire réfléchir à son avenir. Ce dernier semble cacher un lourd secret et tout au long du livre, on ne cesse de se demander lequel il peut être ! J'ai aussi bien aimé la petite Polly qui apporte une touche d'innocence à l'histoire car elle est très attachante à cause de sa naïveté.

L'auteure exploite avec brio l'intrigue originale. En effet, elle retranscrit très très bien les caractères et actions des personnages principaux comme le fait qu'Elizabeth adore les promenades et serait certainement plus soigneuse si elle devait laver ses jupons boueux, la volubilité des plus jeunes filles Bennett ; l'érudition de Mary qui nous parait moins navrante mais au contraire réfléchie lorsqu'elle envisage de se marier à M. Collins pour sauver les siens ; d'ailleurs celui-ci nous paraît moins pitoyable, son manque de confiance en lui m'a fait pitié pour tout dire ; la gentillesse des aînées lorsque celles-ci offrent l'une de leur robe à Sarah ; ou encore l'orgueil de Mr Darcy qui passe devant les domestiques sans les voir comme s'ils étaient des fantômes...
Elle va même plus loin avec le personnage de Wickam lorsqu'elle le fait descendre aux cuisines et séduire les domestiques. Elle est arrivée à me faire encore plus détester ce personnage à cause de l'intérêt pervers qu'il porte à la jeune Polly ! C'est donc une nouvelle part de sa personnalité qui émerge donc et qui n'était qu'à peine citée dans Orgueil et préjugés !
On s'aperçoit tout de même que le fossé entre les demoiselles et les domestiques est immense, malgré le fait que ces dernières essaient de s'instruire grâce à la bibliothèque de M. Bennett, et que leur vie est extrêmement dure !

Pour conclure, voici une lecture sur laquelle je vous conseille de vous précipiter dès sa sortie le 2 avril car je peux vous dire que j'ai adoré, même si l'histoire d'amour de Sarah est peut être un peu trop présente à mon goût ! C'est donc une belle découverte et à l'avenir, je n'hésiterai pas à découvrir d'autres livres de cette auteure, si j'en ai l'occasion !

Lien : http://fantasybooksaddict.bl..
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••• RETROSPECTIVE MARS 2014 •••
Il y a plusieurs catégories de bouquins. Ceux qu'on n'arrive même pas à finir. Ceux qu'on lit et qu'on oublie vite. Ceux qu'on aime bien. Ceux qui sont de vrais coups de coeur. Puis finalement, il y a ceux qui sont au-delà du coup de coeur. Ces livres là, ce sont certains de mes Jane Austen, mes Harry Potter ou encore certains Chicago Stars. Des livres doudous que l'on ressort en cas de blues. Et, je dois vous dire qu'Une saison à Longbourn vient de rentrer par la très grande porte dans cette dernière catégorie. Ce livre, je l'ai dégusté le temps de trois soirées (oui je dis bien trois, moi qui lis habituellement un bouquin en une seule soirée). Trois parce que je n'avais pas envie de le finir. J'étais tellement happée par les mots qui défilaient devant mes yeux, tellement impatiente de connaître la fin, tellement bien, un moment d'apaisement en une période extrêmement stressante pour moi, que j'ai réussi à m'arrêter et à ne reprendre que le lendemain pour pouvoir le savourer pleinement.

Nous suivons l'histoire des domestiques de Longbourn. Il y a Mr et Mrs Hill, la cuisinière/intendante, Sarah, petite bonne recueillie après la mort de ses parents par les Hill et la petite Polly, elle aussi recueillie. A eux quatre, ils forment une sorte de famille. Ils se soutiennent les uns les autres. Nous suivons donc leurs aventures, leurs durs travaux au coeur de la maison. Et plus particulièrement Sarah. Sarah, jeune femme, pleine d'espoir et de rêves mais qui travaille dur. Sarah qui aimerait que son épuisante routine soit un peu bouleversée. Ce qui va se produire à l'arrivée d'un nouveau domestique : le mystérieux James Smith. Et finalement, elle était bien heureuse avant qu'il n'arrive. Car elle le sait, elle le sent, il n'est pas ce qu'il prétend être, il ment, il cache une part de lui et pour sa tranquillité d'esprit, elle aurait préféré qu'il ne vienne jamais à Longbourn.

Et pourtant, nous allons voir James tomber sous le charme de Sarah tout doucement sans que celle-ci ne se rende compte de rien. Puis Sarah s'apercevoir de la perle qu'elle a sous les yeux. Nous allons voir ce couple se chercher puis se trouver. Nous allons adorer les voir se découvrir, nous offrant de magnifiques scènes de complicités. Jusqu'à ce que la vie les rattrape et ne change tout. Nous allons alors découvrir toutes les pièces manquantes du puzzle (même si pour beaucoup, les indices laissés nous permettaient d'en découvrir une bonne partie, ce qui n'est absolument pas gênant au contraire). Puis nous allons croiser les doigts pour que tout revienne dans l'ordre.

Beaucoup décrivent ce roman comme si Downton Abbey s'invitait dans l'univers de Jane Austen et inversement. Oui c'est vrai, l'auteure place son récit en plein « Orgueil et Préjugés », oui c'est vrai on s'intéresse aux domestiques dans ce bouquin. Mais ce que je voudrais rajouter c'est que ce livre vit avant tout par lui-même. le fait que l'on mentionne la famille Bennett, que le livre suive parfaitement la chronologie des évènements d ' « Orgueil et Préjugés » est un plus, un magnifique clin d'oeil, mais sans même tout cela, ce livre aurait été un coup de coeur. On retrouve avec plaisir Lizzie, Jane, Darcy & Cie de l'autre côté du voile mais avec des personnages lambda j'aurais tout autant adoré ce bouquin, pour son histoire, son écriture, pour les émotions que j'ai ressenti, du grand sourire en passant par les larmes (que ce soit d'émotion joyeuse ou pour cause de coeur brisé).

Jo Baker a complètement réécrit « Orgueil et préjugés », je ne suis même pas sure que l'on puisse parler de réécriture car elle créait à partir de l'univers de Jane Austen un univers complètement différent et nous montre l'envers du décors de l'original, elle nous conte l'histoire de ces personnes à peine mentionner dans le bouquin et nous montre la vision qu'ils ont des héros (une vision qui colle parfaitement même si elle peut parfois nous surprendre, nous qui pensions connaître la famille Bennett par coeur).

Elle nous offre une description minutieuse de la dure vie des domestiques à cette époque-là, mais n'hésite pas non plus à nous plonger au coeur des guerres Napoléoniennes, de leur dureté, de la souffrance qu'elles entraînent, sujet seulement mentionné en fond chez Jane Austen mais qui a toute son importance ici. Nous avons des personnages terriblement attachants, tous réalistes et qui nous feront trembler jusqu'aux dernières pages. Et des dernières pages magnifiques, qui m'auront fait verser ma petite larmichette, je le reconnais. Mais j'étais tellement bien que je ne voulais pas que cela prenne fin.

Pour finir, je dirais juste que la mode est à la reprise de l'univers de Jane Austen mais c'est le premier livre du genre qui me fait un tel effet. Parfait. Je me répète mais il est tout simplement parfait. Un seul conseil, précipitez-vous dessus puis juste, dégustez …
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Il y a déjà beaucoup de livres s'inspirant des personnages créés par Jane Austen, mais voici le premier qui parle des domestiques.
Ayant eu un coup de coeur pour Downton Abbey (surtout les domestiques), je cherchais des livres qui les mettaient en avant et celui-ci le fait très bien.

Jo Baker, en décidant de raconter l'histoire d'une des femmes de chambre, a recréé avec brio l'histoire tout en suivant les événements clés du roman originel.

On suit donc Sarah, femme de chambre de Longbourn, dans ses aventures ménagères, ses coups de coeur et coups de gueule contre une famille et des voisins pas forcément faciles.

Le seul point négatif est l'histoire autour du nouveau valet, qui ne correspond pas à l'histoire originale. Même si elle est agréable à suivre et rend le roman un peu plus palpitant.
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