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3,53

sur 405 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Tout le monde connaît au moins dans les grandes lignes l'intrigue d'Orgueil et Préjugés. Nombreux récits dérivés ont été écrits mettant en scène les personnages de ce roman dans différentes situations comme un meurtre (La mort s'invite à Pemberley de P.D. James), l'attaque de zombies sanguinaires comme Orgueils et préjugés et zombies de Seth Grahame-Smith. Ne parlons pas non plus des reprises proposant de revenir sur l'oeuvre via un autre point de vue où là, le choix est vaste comme "Cher Mr Darcy et le journal de Mr Darcy d'Amanda Grange) ou encore, des récits mettant en avant des personnages secondaires comme Charlotte Collins ou Caroline Bingley de Jennifer Becton)... le choix est vaste et le lecteur peut aisément trouver chaussure à son pied dans cette pléthore de livres.🙂

Jo Baker dans Une saison à Longbourn fait preuve ici d'une originalité et d'un nouvel axe pouvant déplaire aux fans de Jane Asuten et de son roman. Les Bennet sont ici présentés non pas de manière bienveillante mais au travers des yeux, des commentaires des domestiques. Et là, croyez-moi, le côté enchanteur, romantique et parfait incarné par les demoiselles Bennett en ressort avec quelques égratignures et le récit perd son côté bucolique.😄


Dans ce récit, nous découvrons les coulisses de la maison Benett via les personnages des domestiques avec Mr et Mrs Hill au service de la famille depuis des années, des deux servantes (Sarah et Polly) et du nouveau majordome arrivé depuis peu : James. Ce petit monde se lève avant la petite famille pour allumer les feux, remplir les réservoirs d'eau, faire le ménage, la lessive, les repas afin qu'une fois les Bennett levés, ils n'aient plus qu'à s'asseoir et séduire les jeunes gens du coin sans penser à tout le travail de préparation engendré en amont.😅

Le côté sociétal de ce roman est superbement bien pensé. Utiliser l'oeuvre de Jane Austen comme base afin de relater les conditions de vie des domestiques est ingénieux. Nous découvrons ainsi, l'existence d'une sorte de sous-famille à la famille (les domestiques représentant les personnes pour qui ils travaillent sans pour autant être des leurs ne seraient-ce qu'en tant qu'être humain pensant à part entière). Ainsi, cela se traduit par des décisions quant au déplacement des domestiques sans leur demander leur avis, de leur identité (Polly portant le même prénom à la naissance que Mary Bennett se voit affublé d'un autre prénom), les conditions salariales voire esclavagiste puisqu'ils ne sont payés qu'une fois par semestre donc totalement dépendant de la famille jusqu'au jour de paie. Nous découvrons également le comportement que certains "riches" se permettent avec leurs domestiques.

Le côté historique est aussi un des points forts du récit : Nous découvrons les guerres napoléoniennes au travers d'une sorte de retour en arrière sur le vécu de James lors de son engagement dans l'armée. Les horreurs commises des deux côtés ainsi que les répercussions sur l'esprit des jeunes hommes revenus en Angleterre.

Le seul bémol dans ce livre est à mon sens la romance entre Sarah et James, notamment les retrouvailles. J'ai eu énormément de mal en pensant à l'époque à imaginer une jeune femme sur les routes, marchant pour retrouver l'homme de sa vie. 😐 C'est vraiment le seul moment où je n'ai plus été conquise par l'histoire qui l'a passait en mode guimauve version "facile".


Globalement, un excellent roman. Les fans de l'oeuvre de Jane Austen pourront y trouver de quoi rire par moment, de quoi déchanter concernant le côté féérique de l'histoire. D'autres lecteurs trouveront agréable de découvrir un aspect moins reluisant de la société de l'époque tout en ayant comme base le roman Orgueil et préjugés. 😉

Personnellement, j'ai aimé les petites touches scandaleuses insérées dans le roman notamment concernant Mr Bennett, Mr Hill et le côté paresseuses renvoyées par l'auteur des soeurs Bennett passant leur temps à cancaner, minauder, se faire des robes sans se demander comment le repas arrive sur la table, combien de temps une reprise sur une robe nécessite... et osant par-dessus se plaindre et dire aux domestiques qu'elles ont de la chance. 🙄
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Voici une délicieuse histoire qui s'inspire des romans de Jane Austen, mais nous dévoile la face habituellement cachée de cette bonne société.
Nous passons l'essentiel des 400 pages en cuisine, dans la cour jonchée d'excrêments de cochons, dans l'écurie et dans toutes ces petites pièces et autres recoins dévolus aux domestiques en tout genre : qu'ils soient intendant, cuisinière, femme de chambre ou valet, en train de nettoyer, ranger, réparer, coudre, cuisiner, conduire ces dames quelque part, aller porter un message ou faire une course urgente...

Les domestiques de ce roman sont au service de la famille Bennet, héroïne du célèbre "Orgueil et préjugés"qui ici, n'apparait qu'en toile de fond.
Nous suivons plus particulièrement Mr et Mrs Hill, la cuisinière et l'homme à tout faire, Sarah la femme de chambre, Polly la petite bonne pas encore adolescente et James, le tout nouveau valet.
Ils ont ici une vraie existence et leurs vies semblent bien moins futiles que celles de leurs maitres, préoccupés par les sorties mondaines alors qu'en dehors que leur domaine, la guerre fait rage.

Des thèmes forts comme l'esclavage, le sort des domestiques, la guerre, le sort des jeunes hommes traumatisés par les combats sont abordés mais ne plombent pas le récit, car la bienséance est toujours présente.
Une tasse de thé ou un verre de Xérès suffisent généralement à supporter les pires nouvelles !
Cette plongée dans l'antre des domestiques fut un vrai régal, j'ai trainé un peu dans ma lecture pour retarder le moment de refermer le livre.
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Le roman de Jane Austen « Orgueil et Préjugés » est ici revisité.
Cette fois–ci les personnages de la famille Bennet n'apparaissent que sous un voile, pour laisser toute la place aux domestiques, trop souvent ignorés dans ces grandes maisons.

On y découvre Sarah, la femme de chambre. Elle est courageuse, intelligente et disciplinée. Il le faut pour supporter les caprices et les fantaisies de cette famille. Pour elle, ce n'est cependant pas une vie.

Si on enlevait à ces jeunes demoiselles de la société aisée du XIXè siècle, leurs atours, leurs mousselines, que resterait-il sous cet emballage ? Qui les remarquerait ? Qui les respecterait ?
On ignore trop souvent dans cette maison, bien qu'elle soit respectable, les souffrances, les peurs et la solitude des domestiques, qui se jouent derrière le rideau de cette vie de luxe, de frivolité, d'intrigues amoureuses, de fortunes et d'héritage.

Les domestiques sont un peu le paillasson sur lequel on décrotte ses bottines de cuir, les petites mains blessées à force de faire disparaitre les tâches sur le linge de ces gens bien comme il faut, ou leurs pots de chambre nauséabonds. Ils récoltent les miettes des plats qu'ils ont confectionnés en cuisine, ils attendent dans le froid la fin de ces réceptions sans fin, afin de reconduire ces êtres insouciants vers leurs lits moelleux et chauffés
.
Qui a décidé un jour que l'un possèderait et l'autre servirait ?

Pour amasser des fortunes, il faut parfois faire de vilaines choses.

À travers la vie de Sarah, Polly, James et le couple Hill, on entre dans l'univers des petites gens. Leurs épreuves ont modelé leur perception de la vie. Ils sont lucides, les apparences ne les trompent pas.

Lecture plaisante qui nous replonge dans ce roman de Jane Austen, nous dévoilant d'autres intrigues et d'autres facettes des personnages de la famille Bennet. L'écriture est poétique, avec ce qu'il faut d'ironie pour dépeindre cette société anglaise bien étonnante.
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On est dans les coulisses de Longbourn et les silhouettes fantômes que sont les domestiques d'"Orgueil et Préjugés" prennent les premiers rôles et laissent seulement les seconds à la famille Bennett. Bien fait ! ça leur fait un peu les pieds à ceux là... parce que ce ne sont pas eux qui trempent leurs mains pleines d'engelures dans l'eau froide, ni eux qui courent à la mercerie sous la tempête pour de stupides rosettes.
Coté cuisine on n'a pas le temps pour les futilités, nombre de tâches sont exécutées avant que le beau monde ne soit debout, et après toute une journée de labeur, il faut parfois encore rester éveillée jusqu'à que ces demoiselles rentrent d'un bal.
Non vraiment, il y a peu de répit pour les domestiques à Longbourn. Mais malgré tout, ce sont des êtres humains, alors pour eux aussi il y a des histoires d'amour... des amours cachés et inavouables, des amours clandestines ou de tendres amours.

Plus que la référence à "Orgueil et Préjugés", c'est celle à "Downton Abbey" qui m'a donné très envie de lire "Une saison à Longbourn". J'ai apprécié cette série britannique pour cette double vision de la vie de la famille et de leurs domestiques. D'ailleurs on peut faire plusieurs rapprochements entre "une saison à Longbourn" et ce feuilleton. Dans l'un comme dans l'autre on aborde le sujet de l'entail... (une propriété ne peut être transmise qu'à un héritier mâle, même si celui-ci ne doit être qu'un très lointain parent)... l'homosexualité caché d'un domestique... la difficulté d'apprendre à lire pour une petite domestique... etc.

Allez-y ! Si vous aimez "Downtown Abbey"... démarrez cette lecture, vous ne serez pas déçu !
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Troisième et dernière lecture du challenge Livra'deux pour pal'Addict, choisit par Carnetdelecture dans ma PAL.
Une saison à Longbourn est une austenerie, qui reprend les personnages et évènements d'Orgueil et préjugés mais nous y assistons cette fois-ci du point de vue des domestiques. Je dois dire que je suis conquise par l'idée originale. Il est toujours agréable de retrouver des personnages que l'on a aimé.

Malgré tout j'ai un petit bémol à ajouté, en ce qui concerne le personnage, d'Elizabeth que j'ai trouvé très différente de l'idée que je m'en faisais. Je l'ai trouvé ici assez froide et hautaine.

Les domestiques sont très attachants notamment Sarah et Mrs Hill. J'ai beaucoup aimé le passage qui s'éloigne un peu du célèbre roman de Jane Austen, pour nous raconter l'histoire de Margaret et son passé. Elle m'a tout de suite paru plus humaine et j'ai été touché.

Cette austenerie est aussi une réussite côté écriture : la plume de Jo Baker est très belle et digne de s'attaquer à l'oeuvre de Jane Austen, contrairement à d'autres auteurs.
Bref, j'ai passé un très bon moment avec ce roman et je remercie ma binôme de challenge pour m'avoir poussé à le sortir de ma PAL.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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C'est ma pépite de l'été, j'ai été envoutée totalement par ce livre. le réalisme, les sentiments et les conditions de vie sont si finement relatés que l'on se croirait dans un roman de Jane Austen. D'ailleurs l'auteur a la fin de l'ouvrage nous décrit sa façon de construire l'histoire totalement en parallèle d'Orgueil et préjugés. La perfection de l'écriture, les descriptions qui nous emportent, nous sommes vraiment très proche d'Austen.
Je ne manquerais pas de le recommander. A lire absolument pour les amoureux d'Austen et pour les autres.
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Un pur ravissement que cet ouvrage : amateurs, ou plutôt devrais-je dire, quitte à être taxée de sexiste, amatrices d'Orgueil et Préjugés de Jane Austen, empressez-vous de le lire. Un bel exercice de style qui nous amène à côtoyer le personnel domestique de la maisonnée Bennet : Mr Hill et sa femme Margaret, l'intendante, les deux jeunes femmes de chambre, Sarah et Polly et James, le valet mystérieux par qui tout arrive. Très bien documenté, d'une écriture tout en nuances, faisant en cela honneur à celle d'Austen, ce roman dans le roman m'a grandement charmée et j'ai eu du chagrin à le terminer.
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Comment résister à cette histoire anglaise qui nous fait revivre le déroulement d'Orgueil et préjugés mais de l'autre côté du miroir...c'est à dire que là, nous avons à faire avec les domestiques de la famille Benett. Et quelle talent chez l'auteure de nous retracer le fil de l'histoire tout au long du livre et de nous faire connaître la vie de quelques personnes comme celles ci qui vivent toujours dans l'ombre.
Je dois préciser aussi que pour un livre écrit de nos jours, l'auteure a vraiment su recréer l'atmosphère austenienne que l'on connaît si bien...vraiment cela m'a fait à nouveau rêver et c'est une belle réussite.
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Vous connaissez l'histoire d'Orgueil et Préjugés – et si ce n'est pas le cas, lisez-le avant de vous plonger dans le roman de Jo Baker ou dans cette chronique. La famille Bennet, les filles Bennet, Bingley, Darcy et Wikham, et tous les autres. Mais certains personnages sont essentiels au bon déroulement des événements égrenant le roman de Jane Austen. Des personnages auxquels nous ne nous soucions que bien peu. Les domestiques : Mrs Hill, intendante et cuisinière, Mr. Hill, Sarah et Polly, les femmes de chambre, et le fraîchement arrivé James, prêt à faire toutes les tâches ingrates en cuisine et aux écuries. Ce sont bien eux qui font vivre la maisonnée, vident pots de chambre, lavent et blanchissent les vêtements, servent à table, font les chambres, coiffent et habillent, cousent et rapiècent. Sans eux, les soeurs Bennet n'auraient peut-être pas pu se rendre aux bals et rencontrer ces beaux messieurs qui vont changer leurs vies de bien des façons… Seulement eux aussi vivent nombre d'événements qui vont bousculer leurs vies, alors qu'ils voient doucement Elizabeth se rapprocher de Darcy. Que cache James ? le serviteur de M. Bingley, Ptolémée, est-il quelqu'un d'honorable ? Sarah, à laquelle le roman s'attache le plus, parviendra-t-elle à débrouiller ses sentiments ? Et James est-il le seul à avoir des secrets ?

Suivre les péripéties qui se passent aux étages supérieurs au travers des yeux des serviteurs est une superbe expérience, bien que parfois dérangeante… Car les détails intimes des filles Bennet mais aussi leur caractère qu'on croyait si nobles – pour Jane et Elizabeth, s'entend – nous sont dévoilés d'une toute autre manière… Comme pour toutes les personnes aisées de cette période, ce sont bien leurs problèmes qui priment sur ceux des classes inférieures. Mais on découvre surtout des personnages extrêmement attachants : Polly, la très jeune servante, toujours épuisée, Mr. Hill, un peu taciturne mais si bon, Mrs. Hill toujours très occupée mais si gentille envers “ses filles”, James, si droit et volontaire, et Sarah, si pleine de vie et souvent en colère contre sa situation. Découvrir leurs histoires, c'est aussi découvrir celles de leurs patrons, la jeunesse de M. Bennet, la jeune mariée Mrs. Bennet – qui vécut des choses bien difficiles expliquant son caractère bien fatiguant -, mais aussi la jeune maîtresse de Pemberley, Mrs Elizabeth Darcy, dans les premiers mois de son mariage. Un roman qui commence donc avant Orgueil et Préjugés, et finit après, ce qui rassasie la curiosité de tous les fans du roman original, sans le dénaturer. Un roman qui revient de plus sur la situation politique de l'Angleterre à cette époque, sa guerre contre Napoléon, ses batailles menées en Espagne et au Portugal quelques années avant le roman de Jane Austen, et qui nous donne une nouvelle approche de ses soldats cantonnés à Meryton dont Kitty, Lydia et Mrs Bennet seront folles, qui défendent en réalité bien différemment leur pays… laissant aux plus pauvres le soin d'aller là où les vrais combats font rages.

Une manière bien différente d'illustrer la situation politique du pays, un roman qui vient compléter admirablement Orgueil et Préjugés, qui donne un autre éclairage sur cette époque, tout en ne dénaturant pas l'oeuvre originale. Un roman bien écrit par un auteur qui connaît Orgueil et Préjugés par coeur et a ainsi pu relever toutes les références aux domestiques dans l'oeuvre d'Austen, collant au plus près de cette “vérité” décrite par Jane Austen, tout en se permettant certaines libertés, pour notre plus grand bonheur.

Tous les fans de Jane Austen devraient se précipiter sur ce roman intelligent d'un écrivain qui a fourni un travail grandiose de recherche sur l'oeuvre originale et sur la situation politique de l'époque.
Lien : https://breveslitteraires.wo..
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Il y a plusieurs catégories de bouquins. Ceux qu'on n'arrive même pas à finir. Ceux qu'on lit et qu'on oublie vite. Ceux qu'on aime bien. Ceux qui sont de vrais coups de coeur. Puis finalement, il y a ceux qui sont au-delà du coup de coeur. Ces livres là, ce sont certains de mes Jane Austen (Orgueil et préjugés ou Persuasion), mes Harry Potter ou encore certains Chicago Stars. Des livres doudous que l'on ressort en cas de blues. Et, je dois vous dire qu'Une saison à Longbourn vient de rentrer par la très grande porte dans cette dernière catégorie. Ce livre, je l'ai dégusté le temps de trois soirées (oui je dis bien trois, moi qui lis habituellement un bouquin en une seule soirée). Trois parce que je n'avais pas envie de le finir. J'étais tellement happée par les mots qui défilaient devant mes yeux, tellement impatiente de connaître la fin, tellement bien, un moment d'apaisement en une période extrêmement stressante pour moi, que j'ai réussi à m'arrêter et à ne reprendre que le lendemain pour pouvoir le savourer pleinement.

Nous suivons l'histoire des domestiques de Longbourn. Il y a Mr et Mrs Hill, la cuisinière/intendante, Sarah, petite bonne recueillie après la mort de ses parents par les Hill et la petite Polly, elle aussi recueillie. A eux quatre, ils forment une sorte de famille. Ils se soutiennent les uns les autres. Nous suivons donc leurs aventures, leurs durs travaux au coeur de la maison. Et plus particulièrement Sarah. Sarah, jeune femme, pleine d'espoir et de rêves mais qui travaille dur. Sarah qui trouve qui aimerait que son épuisante routine soit un peu bouleversée. Ce qui va se produire à l'arrivée d'un nouveau domestique : le mystérieux James Smith. Et finalement, elle était bien heureuse avant qu'il n'arrive. Car elle le sait, elle le sent, il n'est pas ce qu'il prétend être, il ment, il cache une part de lui et pour sa tranquillité d'esprit, elle aurait préféré qu'il ne vienne jamais à Longbourn. (suite sur le blog)
Lien : http://lune-et-plume.fr/une-..
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