AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,91

sur 164 notes
Alessandro BARBAGLIA se remémore l'histoire qu'il a entendu dans son enfance, alors qu'il était caché sous la table du jardin. Son père, éminent psychiatre et ses confrères et amis, se penchaient sur le cas de Bobby FISCHER.

Bobby FISCHER, encore aujourd'hui, est une énigme. Alessandro compare le parcours de cet admirable joueur d'échecs, mais intransigeant, raciste et inadapté, à Achille et Boris SPASSKY, son adversaire, à Ulysse. Il trouve des similitudes entre ces joueurs et l'Illiade.

Au fil de l'eau, les souvenirs d'Alessandro BARBAGLIA remontent à la surface, surtout son enfance et sa relation avec son père qui est décédé tôt.

C'est très intelligent, prenant. Alessandro BARBAGLIA m'a captivée avec cette histoire ou plutôt ces 3 histoires : la partie d'échec mythique entre FISCHER et SPASSKY, en pleine guerre froide, l'Illiade, notamment la guerre de Troie et sa propre histoire.

Pas besoin de savoir jouer aux échecs pour apprécier ce livre. Pour ma part, je ne sais pas y jouer.

J'ai découvert ce roman grâce à Daniel PENNAC qui, lors d'une interview sur France Inter pour nous parler du dernier volet des « Malaussène, a parlé de ce livre et m'a donné envie de le découvrir.

PS : Oui, oui, le dernier MALAUSSÈNE m'attend. mais je savoure pour le moment. J'attends qu'il me dise : « Ca va maintenant, tu as assez salivé, il est temps de me déguster »… Là rien ne presse…
Commenter  J’apprécie          150
Jouez-vous aux échecs ? Que vous répondiez par oui ou par non (comme moi), ce roman est fait pour vous!
Si mon petit sondage ne vous a pas convaincu (bande de sceptiques), je veux bien vous expliquer comment ce texte du romancier italien, Alessandro Barbaglia m'a complètement conquise !
L'auteur s'empare d'un événement absolument dingue, entré dès son annonce dans le mythe : la finale de la coupe du monde d'échecs de 1972, en Islande, opposant le champion en titre, le soviétique Boris Spassky et son challenger, l'américain Bobby Fischer.
La partie est retransmise en direct sur les télés du monde entier, les téléspectateurs sont au rendez-vous de cette confrontation homérique. En pleine Guerre Froide, les enjeux dépassent de loin le monde des échecs. le jour venu, tout le monde est hyper tendu, les services secrets des deux blocs, les politiciens, les pièces de l'échiquier, Boris lui-même est déjà en place mais...BobbyFischer ne se pointe pas ! Et ce n'est que le premier rebondissement de ce duel incroyable, qui durera près de deux mois.
Pour nous raconter ce match épique entre deux grands maîtres des échecs, Barbaglia convoque ses propres souvenirs d'enfance, la figure d'un père parti trop tôt, mais aussi les deux grands héros de l'Odyssée que sont Ulysse et Achille. Tissant avec art ces trois fils narratifs, l'auteur raconte avec émotion et humour, dans une langue malicieuse, la personnalité excentrique (et assez détestable) de Bobby Fischer, la générosité insoupçonnée de Boris Spassky (quel personnage incroyable !), la puissance tragique de cette finale de 1972.
Un petit bémol malgré tout : si j'ai trouvé le parallèle Achille/Bobby et Boris/Ulysse souvent éloquent, l'enthousiasme de Barbaglia lui fait établir des parallèles qui m'ont semblée parfois artificiels.
Mais au final, il signe un premier roman haletant et tendre,
Commenter  J’apprécie          120
J'ai lu ce livre sur la recommandation d'une amie qui a eu un véritable coup de coeur pour lui. Etant curieuse de tout bon livre, j'ai décidé de m'y atteler même si mes connaissances aux échecs sont plutôt rudimentaires. Cela ne m'avait pas empêcher d'apprécier le joueur d'échecs de Stefan Zweig à une époque où je ne faisais pas la différence entre un fou et une tour. Donc: pourquoi pas ?
Je l'ai commencé avec un grand enthousiasme. Honnêtement , la relation de la confrontation de 1972 est un vrai régal : l'auteur gère parfaitement la tension dramatique. J'ai beaucoup aimé la façon dont il interprète les relations entre Spassky et Fischer. le premier parallèle entre Fischer et Achille m'a intéressée, puis la comparaison m'a parue erronée de même que sa réinterprétation de la mythologie - Thétis "reine" des Néréides? - ou son interprétation des "signes". Breton, sors de cette tête ! Je ne crois pas que Fischer soit devenu un maître des échecs parce que sa mère s'appelait Regina, la reine en italien, ni que le fait qu'il soit mort à 64 ans corresponde aux 64 cases du jeu d'échecs. La transformation de Spassky en Ulysse en tant qu'ennemi d'Achille ne m'a pas convaincue non plus. Bref, vous l'aurez compris, j'aurais plus apprécié le livre sans ce fatras idéologique et ce parti pris de l'auteur. Néanmoins, le dernier coup -ou non-coup- de Spassky et les répercussions sur le mental de Fischer telles que les décrit l'auteur sont passionnants. Donc pas vraiment un coup de coeur pour moi mais une lecture très intéressante.
Commenter  J’apprécie          100
Lors de son enfance, le narrateur était fasciné par les discussions, en particulier quand son père recevait des psychanalystes du monde entier. Un jour, les adultes parlent d'un certain Bobby Fisher. Mais qui est donc ce Bobby Fisher qui anime tant la conversation des adultes ?

Remontons le temps, jusqu'au 11 juillet 1972 où a lieu l'ouverture du championnat du monde d'échecs, avec en arrière-plan la Guerre Froide qui oppose les Etats-Unis et l'Union Soviétique. La rencontre entre Bobby Fisher et le russe Boris Spassky met le monde en ébullition.

Bobby Fisher est un fou furieux, qui vit dans sa bulle, qui vit uniquement pour les échecs depuis sa petite enfance. le narrateur qui est Alessandro Barbaglia voit en ce combat d'échec un parallèle avec Achille et Ulysse. L'américain colérique, à la personnalité hors du commun et tumultueuse serait Achille, et le russe, en grand stratège serait Ulysse.

Alessandro Barbaglia lie avec brio les liens entre cette rencontre entre les deux meilleurs joueurs d'échecs au monde, ; l'histoire des héros grecs mais aussi sa propre histoire ou la figure paternelle, psychanalyste reconnu, refait surface car lui aussi s'est mesuré à la folie.

Coup de coeur pour ce formidable roman absolument addictif, où l'épique est lié à l'intime, ce qui donne un récit original. Tel un échiquier géant, l'auteur jongle entre les pièces, entre les souvenirs d'un père parti beaucoup trop tôt, l'Iliade et le match mondial Fisher-Spassky, ce qui fait de ce roman un vrai pageturner, que l'on lit d'une traite tellement ce récit est bon, avec un brin d'humour incroyable.

Une plume fluide, élégante, un auteur italien (qui est aussi libraire) à suivre de très près. Ce roman est un véritable coup de maitre, complètement passionnant, brillant et admiratif de tant de talents en un seul roman !
Commenter  J’apprécie          100
Le petit Alessandro a cinq ou six ans lorsque, assis sagement sous la table de jardin, il écoute les conversation des grands. Son père, un psychiatre reconnu en Italie, reçoit chaque été dans leur grande maison au bord du lac Orta dans le Piémont, des collègues venus du monde entier.

Un nom revient comme un sacré cas d'école pour tous ces psychiatres, Bobby Fisher, une date aussi, juillet 1972 et un lieu Reykjavik.

Trente cinq ans plus tard, Alessandro Barbaglia se souvient, il avait douze ans lorsque ce père adoré a disparu emporté par une tumeur au cerveau.Devenu écrivain, il fait revivre Bobby Fisher et Boris Spassky dans le match du siècle, le championnat du monde d'échec de 1972, un soviétique sera pour la première fois battu par un américain, en pleine guerre froide voilà qui met du piment à la victoire. Un match et un homme qui enflammaient les fins de repas de son père et de ses amis.

Passionné d'Histoire, Alessandro Barbaglia se souvient et ose un parallèle audacieux, la guerre froide comme la guerre de Troie. Bobby, sera Achille, un homme fait pour la guerre, talentueux, redoutable et cruel, un guerrier né pour gagner. Boris sera Ulysse, un grand stratège et un chasseur rusé prêt à tout.

Il y a une chose qu'on disait à propos des excitantes parties d'échecs avec Bobby Fisher. « Quand vous jouez avec Bobby, le problème, ce n'est pas de gagner ou de perdre. le problème c'est de survivre. » Et qui disait ça ? Boris Spassky.»

Pour l'écrivain, ce match n'est pas la finale du championnat du monde de 1972, ce match c'est L'Iliade. C'est un mythe.

Un mythe comme ce père trop tôt disparu qu'il fait revivre à travers la rencontre de Fisher et Spasski., car pour Alessandro c'est lui le véritable héros.

Formidable idée et formidable roman, « le coup du fou » est une autofiction poétique et historique et aussi et surtout une belle déclaration d'amour d'un fils à son père.

Un récit qui donne envie de ressortir son échiquier du placard et «l'Iliade» de sa bibliothèque, un bel automne en perspective.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
Commenter  J’apprécie          61
Juillet 1972. En pleine guerre froide, le communisme s'oppose aux démocraties, le KGB à la CIA, et la Russie à l'Amérique. A Reykjavik, le championnat du monde d'échecs oppose le Russe Boris Spassky, le tenant du titre, au challenger américain Bobby Fischer.

Spassky, le sage, le fin stratège, rusé comme Ulysse qui avait fini par trouver Achille, sur l'île de Skyros, caché parmi les filles de Lycomède, pour échapper à la guerre. Fischer, le génie, le capricieux, féroce comme Achille traînant la dépouille d'Hector qu'il venait de tuer. C'est ainsi que, sautant d'une page à l'autre, de l'Iliade au 20ème siècle, d'Achille à Fischer, d'Ulysse à Spassky, et de la guerre de Troie au championnat du monde d'échecs, l'auteur relève des similitudes troublantes, des comparaisons plausibles et des coïncidences frappantes. Et son imagination déborde jusqu'au fleuve Scamandre, rougi du sang des guerriers.

« Bobby Fischer, en 1972, fait la même chose qu'Achille, à l'identique. Achille le Péléide durant la guerre de Troie… Je lis des choses sur Bobby et, à l'intérieur de lui, Achille joue à cache-cache. »
Les comparaisons, nombreuses et bien observées, laissent rêveur :
Bobby Fischer, au funeste destin, menace dès le départ de ne pas jouer, restant à son hôtel pour arriver en retard. Comme le fait Achille, dont les jours sont comptés, se retirant sous sa tente.
• Promu champion du monde, Fischer craque et pleure, comme pleure Achille, ému par le père d'Hector venu chercher la dépouille de son fils. « Et Achille pleure… Achille en dehors de la guerre, est le plus faible des hommes. Or la guerre est finie. Elle est finie parce qu'il l'a gagnée. Et maintenant il est perdu. Fischer aussi, en dehors de l'échiquier, est le plus fragile des êtres. »

Le fil ténu d'un dialogue que l'auteur conduit avec son défunt père qui était psy, donne au récit une composante déroutante et émouvante. Et si, au lieu d'être un livre sur la mythologie ou les échecs, c'était davantage une oeuvre psychologique ? « Eh oui, on parlait toujours de fous chez moi ; parce que chez moi, dans les années quatre-vingt, la folie était chez elle. » Et ae mot de la fin revient bien sûr à Bobby Fischer, nouveau champion du monde : « Je ne crois pas à la psychologie, je crois aux coups réussis. »

« le coup du fou » d'Alessandro Barbaglia, malgré quelques approximations avec le vocabulaire échiquéen, est un coup de maître.


Lien : https://memo-emoi.fr
Commenter  J’apprécie          60
Le narrateur est l'auteur, le fils d'un psychanaliste italien. Celui-ci recevait, l'été, chez lui, des collègues de toutes nationalités.

Là, sous la table, l'enfant les écoutait. Il n'était qu'un enfant, mais il entendait parler de Boby Fisher, ce joueur d'échec fou.

Bobby Fisher, américain de 29 ans, a battu tous ses adversaires lors du tournoi des candidats et il se retrouve à jouer la finale du championnat du monde cintre Boris Spassky, dit Boris Dix.

Mais pour cela, il doit se rendre en Islande.

1972.
C'est la guerre froide. Bobby Fisher cotre Boris Spasski le sociétique. Eux contre Nous. C'est aussi les joueurs d'échecs, dans leur bulle, contre le reste du monde.

Mais, caprice ou folie?
Fisher se fait attendre.

A travers une mise en parallèle avec des héros de la mythologie Achille et Ulysse, le narrateur analyse la relation entre le comportement de Boris et celui de Bobby. Un parallèle que je trouve un peu tiré par les cheveux.

Alessandro Barbaglia semble se perdre un peu entre son passé, ses souvenirs de son père, l'Iliade, Achille, Ulysse, pour reconstruire la vie de B. Fisher.
Commenter  J’apprécie          40
J'adore jouer aux échecs. J'y passe une grande partie de mon temps libre, et j'y dépense beaucoup de mon énergie.
Alors évidemment, un livre sur le mythique championnat du monde de 1972 entre Bobby Fischer et Boris Spassky, ça ne pouvait que m'intéresser. J'en profite pour remercier la Masse Critique de Babelio qui m'a permis de le recevoir et d'avoir le plaisir de le lire.

Les échecs sont un sport que la littérature a souvent exploitée avec beaucoup de délice. Zweig ou Nabokov, entre autres, ont monté des fictions autour de ce jeu fascinant, se concentrant sur la figure du génie qui semble être si caractéristique des champions dans cette discipline.
De génie, Bobby Fischer en est un, assurément. Mais il est aussi génial qu'il est fou. Il semble immortel, intouchable, mais il a une faiblesse : son monomanie échiquéenne. de ce constat, l'auteur a dressé un parallèle avec le héros grec Achille, invincible apparemment, mais fragile par le talon. Si, comme Achille, Bobby Fischer est la force incarnée, la volonté de destruction, alors son rival Spassky ne peut être que Ulysse, l'homme aux mille ruses.
Cette métaphore filée est le coeur de l'ouvrage, et elle est fort pertinente, même si parfois un peu tirée par les cheveux. le style flamboyant met bien à son avantage ce parallèle avec l'Iliade.
Je regrette simplement le versant psychanalytique trop marqué, qui pousse l'auteur à tout analyser sans que l'on ne sache jamais si son analyse est une figure de style ou une conviction qu'il a (et, dans ce cas, l'on ne peut que remarquer que cette conviction repose sur peu de choses). Il y a également une erreur récurrente, le fait d'appeler "pat" toutes les parties nulles aux échecs, alors qu'un pat désigne une nulle spécifique.
Néanmoins, j'ai passé un très bon moment, dévorant ce livre en très peu de temps.
Commenter  J’apprécie          41
Attention, pépite !
Cinquante après 1972 et la finale du championnat du monde d'échecs entre Bobby Fisher et Boris Spassky, l'auteur revisite les faits. Il s'est documenté, s'est renseigné et n'a rien écrit au hasard. Il tisse trois brins pour en faire un seul récit. En toile de fond, Bobby Fisher, ses manies, ses lubies, son caractère atypique, son approche des matchs, du quotidien, ses angoisses, ses requêtes, sa folie, ses bizarreries, sa démesure…. Puis un parallèle entre les deux joueurs (qui s'affrontent pour ce mondial) et Ulysse et Achille (héros de l'Iliade). Et pour compléter, une mise en abyme de la vie personnelle de l'auteur avec ses liens à son père. Ces trois approchent se complètent, s'éclairent les unes les autres, s'enroulent, se déroulent sous nos yeux envoûtés.
Parce qu'il faut bien le dire, c'est captivant. Déjà car Bobby est un personnage à lui tout seul, imprévisible, fascinant. A partir de l'instant où sa mère lui a offert un jeu d'échecs, lui disant de lire le mode d'emploi, il n'a fait que ça, déplacer les pions, lire des documents, des gros bouquins, apprenant les coups, étudiant tout et tout le temps. Bobby vivait échecs et n'existait que pour ça. Ce n'est pas un génie des échecs mais un génie qui joue aux échecs…. Il ne sait faire que ça parce qu'il y consacre tout son temps. « Je les porte dans ma tête, là, ils n'ont aucune chance. Je peux le faire avec ou sans bandeau, ce que je vois ne change rien. » dit Fisher lorsqu'il joue contre vingt personnes en même temps passant d'une table à l'autre….
Et pour écrire ce recueil, Alessandro Barbaglia, lui, a fait la même chose avec Bobby Fisher, l'obsession n'était plus sur le jeu mais sur le joueur. Il ne pouvait pas en être autrement. Pourquoi ? Petit, il a entendu son père, un psychanalyste reconnu, discuter avec des confrères. Et il parlait de Bobby ! La graine était semée et elle a germé !
Pourquoi ce match de 1972 était-il si important ? Cette finale se déroulait en pleine guerre froide, qui de la Russie et des Etats-Unis allait gagner ? Attendu en Islande, Fisher s'est fait désirer. Comme Achille qui refuse le combat, il ne venait pas, il se faisait attendre. Peut-être la peur de gagner ? S'il gagne, il devient un autre, le vainqueur, il va être mis en avant, lui qui n'aime pas ça. Peut-être que ce qui l'intéresse, c'est jouer, développer des stratégies, pas forcément être vu comme un héros ?
« Quelle duperie que la victoire. Quelle illusion. Combien on perd, quand on gagne. »

Il finira par venir, par affronter son adversaire, dans une série de confrontations dont on parle encore aujourd'hui, tant il y a eu d'anecdotes. le refus de jouer devant les caméras, l'obligation d'aller dans une petite salle (un cagibi), etc… Tout un poème comme le dit l'expression ! Mais vraiment une lecture qui mérite d'être partagée !
Merci au traducteur, sans lui, je n'aurais pas découvert ce texte. C'est vraiment quelque chose d'exceptionnel. Je précise d'ailleurs qu'il n'est pas nécessaire d'être familier avec le jeu pour comprendre ce qu'on lit. Les stratégies ne sont pas mises en avant. On reste vraiment dans l'attitude, le comportement, les demandes folles de Fisher, ses exigences, son rapport aux autres. Cet homme est un univers, un mystère et ce qu'on entrevoit, soigneusement analysé, avec les parallèles qu'Alessandro Barbaglia met en place, donne envie d'aller encore plus loin…
Hypnotisée par ce roman, je ne l'ai pas lâché. L'écriture est prenante, le style vif et on ne s'ennuie pas une seconde !

Lien : https://wcassiopee.blogspot...
Commenter  J’apprécie          40
Comme joueur d'échecs j'ai été passionné par la description du championnat et de l'état d'esprit des deux joueurs . Par contre, par contraste, j'ai trouvé les divagations mythologiques et les cogitations du narrateur sur sa famille, sans intérêt.
Dommage l'idée était bonne mais l'auteur s'est dispersé.
Commenter  J’apprécie          30



Lecteurs (428) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3195 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}