Fenêtre sur crime

Tout d'abord un grand merci à Babelio et aux éditions j'ai lu pour l'envoi de ce livre et la rencontre qui en a découlé avec l'auteur qui était très disponible, très à l'écoute des questions de la part des Babélionautes.

J'ai aimé certains points de ce livre mais certains autres m'ont plus dérangés déja le fait qu'il faut attendre 200 pages pour que l'intrigue commence vraiment certes dans certains polars il faut plusieurs pages pour que l'intrigue se dévoile mais la c'est presque la moitié du livre. La seconde partie du bouquin est aussi assez compliqué selon moi du coup moins agréable à lire.

Des bons points tout de même avec des personnages fort comme Thomas personnage schizophrène de ce livre qui étudie à longueur de journée les cartes et rues du monde sur World360. Une tueuse gymnaste avec pic à glace Nicole. Et le fait de multiple rebondissement on quitte les personnages qui frappent à une porte on pense qu'ils sont chez untel et ce n'est pas la ou l'auteur nous emmène au final.

Au final un bilan en demi-teinte pour ma part un livre qui se lit rapidement avec une intrigue intéressant mais pas un coup de coeur pour ma part

Construit sous forme de récits imbriqués les uns dans les autres, ce polar s'est gentiment laissé dévorer sans que je m'en rende compte.
Les deux personnages principaux sont tellement sympathiques que j'ai frénétiquement tourné les pages pour savoir s'ils allaient réussir à se sortir d'une situation qui semblait bien compromise pour eux.
Thomas, en particulier, est adorable et il évolue très bien malgré son handicap. Il faut dire qu'il est quand même persuadé de travailler pour la CIA et que Bill Clinton lui téléphone régulièrement.
A ses côtés, Ray est débordé, entre la mort de son père qui lui parait étrange, et son frère qu'il doit gérer.
En revanche, l'enquête en elle même n'est pas vraiment passionnante. Il faut dire que nous apprenons pas mal d'informations avant les personnages eux mêmes, ce qui fait qu'on a bien souvent plusieurs longueurs d'avance sur eux.
Le style est très bon et pas mal d'éléments m'ont surprise car la construction du récit fait douter sur pas mal de points.

Du suspense et des frissons donc, mais surtout un très beau roman sur les liens familiaux et une relation entre frères très touchante. Je suis très contente d'avoir pu découvrir cet auteur.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..

Très grosse surprise !
Je ne pensais pas apprécier ce roman à ce point !

Le pitch de départ : 2 frères, après la mort accidentelle de leur père, doivent cohabiter. L'un des deux frères est un peu particulier : il se dit agent secret de la CIA. Il doit cartographier toutes les villes de la planète, car un jour, un virus va attaquer toutes les machines du monde et il faudra bien quelqu'un avec ces connaissances pour aider l'armée américaine ! Il reste donc toute la journée devant son PC à parcourir les rues des villes et les mémoriser. Mais un jour quelque chose de suspect attire son attention. Ayant son frère sous la main pour aller vérifier dans le monde "réel" il le missionne de se renseigner sur ce qu'il a vu.
Les frères ne le savent pas encore, mais ils viennent de mettre le pied dans un engrenage infernal !

Le bras droit de l'homme politique est un peu cliché, mais l'enchainement d'évènements fonctionnent vraiment bien ! Entre règlement de compte et enquête, le tout est très bien ficelé ! Et la touche finale avec le frère qui annonce avoir tué accidentellement le père est magistrale ! Car tout le roman appuie sur cette indécision !

Stephen King dit de ce roman que c'est le meilleur de son auteur. Quel dommage que Linwood Barclay ne sache pas écrire aussi bien que Stephen King car ce serait un petit bijou. Une intrigue et un rythme qui font fuir tout ennui, des personnages en rien caricaturaux, de l'humour et des rebondissements jusqu'à la dernière page. Il n'y a guère que quelques maladresses ça et là et autres pointes d'invraisemblances dans certaines scènes qui m'ont ramené sur mon fauteuil.

Reçu grâce à un concours Babelio qui permettait également de rencontrer l'auteur (voir mon article ici), ayé, je l'ai enfin lu :)

Linwood Barclay n'est pas mon auteur préféré de polars; son style, très proche de celui d'Harlan Coben pour moi, n'est pas assez noir, j'aime les thrillers un peu plus torturés. Mais ça reste toujours agréable à lire malgré tout, et celui-ci ne fait pas exception à la règle. Et l'ajout d'une pathologie psychiatrique a l'intrigue (la schizophrénie de Thomas) m'a bien plu :)

L'intrigue en question est en fait double. D'un côté, on va suivre Ray, un illustrateur qui perd son père dans un accident et qui revient chez lui pour l'enterrement et pour s'occuper de son frère schizophrène. Thomas passe ses journées sur Whirl 360 (l'équivalent de Google street view) et apprend par coeur les plans des villes du monde entier, persuadé qu'un jour, le gouvernement américain aura besoin de ses services. Un beau jour, il aperçoit sur une des images du site ce qu'il croit être une agression… mais n'est-ce pas là un nouveau délire de sa part?

De l'autre côté, on suit une jeune femme paumée et criblée de dettes, qui se rend compte que son dernier « plan cul » est en fait la femme d'un homme qui veut se présenter aux élections… elle voit là un excellent moyen de se faire de l'argent rapidement et décide de les faire chanter, au grand détriment du directeur de ladite campagne.

Comme dans toutes les intrigues doubles, on se demande comment ces deux-là vont bien pouvoir se rejoindre. On pense comprendre, et en fait non :) l‘auteur nous a ménagé un récit à tiroir avec des rebondissements que je n'avais pas toujours vu venir et j'ai bien aimé me faire balader comme ça (c'est toujours mieux que de tout comprendre à l'avance!). L'histoire n'est pas limitée à Thomas et Ray, il y a d'autres enjeux pour d'autres personnages, du coup c'est d'autant plus intéressant. le rythme et la tension sont maintenues grâce à des chapitres assez courts. Par contre, il faut bien avouer que le tout est un peu long à se mettre en place. le début du roman souffre de longueurs dans les 200 premières pages (il en fait 540 en tout). Ray cherche plus à comprendre la mort de son père (qui ne semble pas accidentelle) qu'à aider Thomas au départ.

Les personnages sont sympathiques. Personnellement, je me suis beaucoup identifiée à Ray, je me demandais comment je réagirais si j'avais un frère comme Thomas, qui vit complètement dans son monde. J'ai aussi bien accroché avec le personnage de Nicole, que je vous laisse découvrir :).

Ce n'est pas le premier Linwood Barclay que je lis, du coup je m'habitue à son style et aux ficelles qu'il utilise. J'ai bien aimé le roman, mais il ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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Un thriller assez longuet mais très agréable à lire. Au début, on a une impression de déjà-vu, de quelque chose d'assez convenu... d'ailleurs, l'auteur ne s'en est pas caché lors de la rencontre-dédicace, que le film de Hitchcock l'avait un peu influencé. Et puis au fur et à mesure, l'intrigue se révèle un peu plus ardue... je n'ai pas envie d'en développer plus car pas mal de choses ont déjà été dites. Il y a un petit "twist" à la fin qui laisse le lecteur surpris.
C'est un véritable page-turner à l'anglo-saxonne qui fonctionne plutôt bien où l'on suit le cheminement que font tous les personnages, dont les héros principaux, Thomas et Ray. le seul reproche c'est que c'est un peu long et c'est certainement du à certaines maladresses ou répétitions. Ca aurait pu être un peu plus court.
Sinon, un énorme merci à Babelio d'avoir pu rencontrer l'auteur. C'est toujours très intéressant d'entendre un auteur parler de son inspiration, de sa façon de travailler etc. C'est d'autant plus agréable quand l'écrivain se prête au jeu comme ça l'a été avec Linwood Barclay.
Un petit polar parfait pour cet été !

Mon résumé: Lorsqu'on exécute un contrat, même si l'on est reconnu dans le milieu, il peut arriver des choses incontrôlables qui font perdre la totale maîtrise des événements. Dans ce cas, il faut rattraper le boulot froidement et gérer les dommages collatéraux au fur et à mesure qu'ils se présentent. Mais il n'est pas simple de mettre la main sur un illustre inconnu venu fouiner dans le coin pour on ne sait pas trop quoi…

Cet illustre inconnu s'appelle Ray Kilbride, 37 ans, illustrateur de métier, qui vient d'enterrer son père et doit gérer la succession ainsi que son frère Thomas, 30 ans, schizophrène, agoraphobe, et obsédé des cartes. Ray a du mal à comprendre que son frère, malgré sa maladie, a développé une compétence si particulière que la CIA et Bill Clinton l'ont pour agent. La mission de Thomas est de mémoriser les plans de toutes les villes du monde à l'aide de Whirl360, une sorte de google street view, en prévision du jour où un attentat anéantirait tous moyens de communication. Mais l'étude des rues des villes prend une tournure extraordinaire lorsque Thomas, derrière son écran d'ordinateur, assiste à quelque chose qui pourrait bien s'apparenter à un meurtre sur Orchard Street, New York. Il convainc son frère de se rendre sur place pour en apprendre davantage…

New York est la ville Q.G de Morris Sawchuk, homme politique en pleine ascension politique qui vient de faire un mariage réussi avec la belle Bridget. Sauf que politique rime souvent avec magouilles en coulisse… « Fenêtre sur crime », titre choisit en français, est tout à fait approprié à ce thriller haletant qui confronte des gens ordinaires, comme vous et moi, à une histoire peu commune!

Mon avis: Cette histoire ressemble à des poupées russes jetées dans les chutes du Niagara. Les chapitres extrêmement courts donnent la parole à une foule de personnages au portrait étoffé et à la psychologie fouillée sans jamais noyer le lecteur. le développement de l'intrigue porte donc sur un point commun – le meurtre- et va progressivement relier les histoires dans l'histoire dans une dynamique incroyable où subsiste néanmoins des ramifications propres aux personnages. le point fort de ce thriller, selon moi, est la capacité de l'auteur à jouer sur les mots et à donner des directions qui ne sont jamais celles que l'on pense. D'ailleurs, le rebondissement final a lieu à la dernière page et laisse un sentiment de malaise, cadeau de l'auteur pour laisser l'imagination de ses lecteurs faire le reste!

Mais c'est sans compter sur des traits d'humour distillés et un attachement aux personnages auxquels on s'identifie dans le quotidien (faire les courses, le dîner…) ou qui nous attire de par leur singularité (la tueuse professionnelle). Mes deux préférés sont Thomas et Nicole, la fameuse tueuse. J'étais curieuse de voir comment l'auteur allait traiter la schizophrénie et j'ai été agréablement surprise par sa maîtrise de la description de la maladie; je sais, après l'échange que nous avons eu, que son frère en est atteint; d'où la justesse des attitudes…Quant à Nicole, elle fait l'unanimité, même son créateur est sous le charme de cette sportive hors pair!

Ensuite au-delà de la première couche, l'auteur égratigne la corruption qui sévit dans la politique américaine, (re)lance le débat « big brother » où nos faits et geste sont surveillés, filmés, enregistrés, et dénonce la prostitution. Oui, ce dernier thème arrive comme un cheveu sur la soupe mais impossible d'en dire plus sous peine de spoiler. Enfin, il met en lumière le combat internet et presse écrite qui est très présent aux USA, via le personnage de Ray, thème qui lui est cher en tant que journaliste.

Fenêtre sur crime est un excellent thriller, qui nous happe. Un compagnon idéal pour vos vacances estivales!

Je remercie Babelio de m'avoir à nouveau immergée dans les thrillers et d'avoir organisé cette rencontre avec l'auteur.
Lien : https://leslivresdecamille.w..

Ce polar est vraiment un coup de coeur, il est très intéressant. On suit les aventures de Ray, dessinateur qui retourne dans sa ville d'origine pour s'occuper de son jeune frère Thomas schizophrène, après la mort de son père. Il revient pour mettre en ordre la succession et trouver un établissement pour son frère, fasciné et obsédé par les cartes. Thomas a une mémoire extraordinaire depuis son enfance, il est persuadé de travailler pour la CIA et l'ex président Clinton, il se balade virtuellement grâce à une application de cartographie Whirl360 sur internet dans les rues des villes mondiales. Sauf qu'un jour il remarque un visage étrange qui semble entouré d'un sac plastique , a-t-il été témoin d'un crime ou est ce une erreur de logiciel? le titre fait un joli clin d'oeil à Hitchcock à mon avis et son fenêtre sur cour. Et c'est le début d'un fol engrenage pour Ray et Thomas qui va déterrer de biens sombres histoires que vous découvrirez au fil de l'intrigue.
J'ai aimé cette plongée dans le délire et les obsessions de Thomas, la rationalité à l'inverse de son frère, ses tentatives pour le comprendre. Les personnages de Ray et Thomas sont attachants tous comme celui de la journaliste Julie qui les aide.
L'utilisation des nouvelles technologies, de la paranoïa ambiante post 11 septembre est très intéressante, le fait que l'on soit constamment espionné par des caméras, aussi. Ce qui nous amène à réfléchir à cette vidéosurveillance permanente, ce big brother moderne auquel, on ne pense plus. L'argument du site de carte en ligne est original et intéressant, il sort des sentiers battus avec ces héros atypiques qui pour une fois ne sont ni policiers, ni médecins légistes ou consultants.
La plongée dans le monde politique avec le personnage du gouverneur Morris Sawchuck, de sa femme Bridget et de cette quête absolue du pouvoir est intéressante, avec les éminences grises Lewis Blocker et Harry Talliman chargés de veiller sur lui. Une vision acide de l'Amérique et du monde politique et de la conquête du pouvoir. On voit aussi l'émergence de la presse en ligne, avec la boss d'un des héros prête à lancer un journal en ligne et avec le personnage de Julie qui travaille dans un petit journal local à Promises. La perte de repère avec Allison Fitch, Nicole prête à tous pour se faire une place au soleil, sont un parfait contrepoint au rêve américain. L'hypocrisie, l'argent et la violence sont présents dans cette bonne société New Yorkaise.
Ecriture fluide, agréable qui installe bien une atmosphère prenante, qui dépeint les liens fraternels , l'ambiance de cette petite ville et une tension psychologique qui va crescendo. Les portraits psychologiques des différents personnages sont intéressants, nous font comprendre leurs points de vue et leurs choix parfois cornéliens. Ce qui est fort c'est que l'évènement du prologue est décrit par plusieurs personnes et à chaque fois qu'en tant que lecteur ; on se dit que ça y est on a compris, mais il y a un rebondissement, un détail qui change la donne. Il y a aussi des intrigues parallèles qui font qu'on est plongé dans un monde de chausse trappe, et de non dits importants, de secrets qui refont surface.
Bien malin celui qui prédira la fin, alors ouvrez ce roman et découvrez fenêtre sur crime et vous serez vraiment surpris jusqu'aux dernières lignes. Une fenêtre étonnante qui vous garantie une lecture palpitante alors n'hésitez pas à découvrir ce roman.
Ps: Merci à babelio de m'avoir permis de le découvrir
Lien : http://eirenamg.canalblog.co..

Autant le début est un peu lent, autant la fin se déroule à une vitesse incroyable. Si le lecteur est décontenancé par les premières pages, saisi de l'incompréhension et de l'incertitude qui agite le personnage principal, Ray, il n'en est pas moins totalement captivé par l'action lorsqu'elle finit par arriver.

Mettre à jour un énorme complot de sphère politicienne rien qu'en surfant sur Internet 24h/24? Incroyable mais vrai. Thomas a beau être psychologiquement instable, il n'en est pas moins atrocement intelligent. Il ne lui faut qu'un instant pour comprendre que cette petite chose blanche à la fenêtre d'Orchard Street n'est autres que la tête d'une personne en train d'être étouffée par un sac plastique. Et c'est là que commence l'enquête improbable de son frère Ray, aidé de Julie, une jolie journaliste décidément bien débrouillarde.

Un thriller vraiment bien ficelé, où l'on passe par toutes les émotions, du doute à la certitude, en passant par la peur et la joie. Aucun aspect du drame qui se joue n'est laissé au hasard, et ce jusqu'à la fin, ce qui nous tient en haleine pendant la bonne moitié du roman.

"Cette nuit-là" m'avait beaucoup plu , alors pas d'hésitation, je voulais absolument lire celui-ci , sorti chez Belfond en 2014.
Le temps a passé et voilà qu'il vient de sortir en poche chez J'ai Lu, voici la meilleure occasion de me pencher à la fenêtre !
Cette couverture est d'ailleurs assez évocatrice de mystères...
De suite , j'ai pris mes marques avec Thomas, ce schizophrène de 35 ans qui passe son temps devant son ordinateur à voyager grâce au site de localisation. Il est allé partout dans le monde et retient le moindre détail de ce qu'il voit pour éventuellement aider l'agence gouvernementale si une attaque devait se produire sur internet.
Mais voilà, Thomas vient de perdre son père qui s'occupait de lui. Ray, le grand frère, illustrateur prend le relais un peu dans l'urgence. Il vient habiter la maison de son père, la ville de son enfance et retrouve des personnes qu'il a connu.
Thomas refuse d'aller à l'enterrement de son père...
Un jour, Ray l'appelle pour déjeuner, Thomas navigue par Whirl 360 et voit une personne à une fenêtre lui semble bizarre...
Ce qui est intéressant avec Thomas, c'est qu'il n'est pas complètement fermé sur lui-même, il sait ouvrir son coeur, s'exprimer, mais aussi garder des secrets...
Ray est touchant car il veut bien faire et il a tellement de détails à régler pour la succession de son père, la vie de son frère et son avenir professionnel. J'ai apprécié rencontrer ceux qui vont graviter autour des deux frères.
Ce qu'il faut savoir, et je l'ai remarqué dans "cette nuit là " et "les voisins d'à côté", c'est que l'auteur aime les digressions. Et moi aussi! le lecteur va rentrer dans la vie des personnages ,sans même s'en rendre compte parfois, et c'est intéressant. J'aime ce talent chez Linwood Barclay. Pour moi, c'est un peu ce qui le distingue des autres écrivains de thrillers.
Dans ce roman, c'est Ray qui nous parle. J'aime bien son point de vue. Il se pose des questions, et se renseigne. Bien sûr, la fenêtre va nous interroger mais pas qu'elle... Ray va découvrir aussi certaines choses sur son père et Thomas.
Chut! Je ne veux pas trop en dire.
J'ai vraiment été emballée par ce roman. Je ne me suis pas ennuyée et les rebondissements sont abondants. La fin est à la hauteur de mes espérances.
Vraiment, je suis ravie de ma lecture que je vous conseille.

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