Les Exilées de Troie

J'ai trouvé, un peu hasard, la suite du « Silence des vaincues » sur une table de ma bibliothèque communale. Ce fut de nouveau une lecture facile, distrayante, mais finalement encore assez décevante, plus que le roman précédent.
Il faut dire qu'il ne se passe pas grand-chose entre la chute de Troie et le départ des Grecs. le vent est contraire, ils attendent, tout le monde est sur les nerfs, et les rivalités s'exacerbent. J'ai apprécié l'épisode de la prise de Troie, avec la description des Grecs entassés, suants, dans le ventre du cheval de bois, mais j'ai trouvé artificiel le fait que, pour combler le vide, l'auteure ait transposé le personnage d'Antigone sur une jeune Troyenne déterminée à rendre les hommages funéraires à Priam.
Reste que j'ai aimé retrouver Andromaque, Hécube et Cassandre. Réduites en esclavage, elles ne sont plus sur le piédestal auquel les tragédies de Racine nous avaient habitués, elles sont humaines, parfois même pitoyables, mais inévitablement elles perdent de leur grandeur tragique. Hélène semble un peu réhabilitée, en femme pour qui l'essentiel n'est pas tant de séduire les hommes que de se consacrer à son art de la tapisserie.

Avis à tous les fans de mythologie, « Les éxilées de Troie » est mon dernier coup de coeur ! J'ai souris dès les premières lignes, en lisant ce qui m'avait manqué pour que « Le silence des vaincues » soit à la hauteur des personnages légendaires qu'il ramène à la vie.

Pat Barker continue sans relâche de réécrire l'histoire d'un mythe raconté par un peuple pour expliquer la fondation d'une cité. Ce livre peut être lu séparément du premier, mais je ne vous le conseille pas. Cette lecture sensitive s'inscrit dans une continuité qu'il est, préférable de maintenir. Nous sommes après la chute de Troie. Briséis, le trophée de guerre d'Achille a été mariée, comme le voulait le héros grec, à Alcimos. Elle porte l'enfant du fils de la néréide Thétis et du roi des Myrmidons, Pélée.

L'auteure anglaise appelle l'attention du lecteur. Elle entretient le mystère qui entoure les mythes grecs tout en faisant en sorte que nous redécouvrions la portée tragique de ces textes anciens. Quand il s'agit de dépeindre les mauvais traitements infligés par les hommes au dernier roi de Troie et à toutes les femmes, y compris celles qui, étaient des reines pendant le régne de Priam, le mode d'expression est cru. En revanche, lorsqu'il faut faire état du point de vue féminin, Pat Barker témoigne de la considération et du respect envers les victimes de ce conflit millénaire.

Ce roman historique résolument féministe, parle d'abord, de la condamnation à l'exil pour les Troyennes captives, puis des accords passés entre elles, de leurs stratégies d'attente et enfin de la mise en oeuvre de leur vengeance. C'est dans les descriptions des paysages marins que j'ai reconnu la patte de la romancière. le vent soulève les pages de ce livre, il tourne et revient en ramenant vers nous, la poussière de gouttelettes formée par les vagues qui se brisent sur les rivages d'un site devenu, archéologique.

A quand une suite pour ce titre de la rentrée littéraire d'hiver 2022 ? Je veux lier connaissance avec le dernier né d'Achille aux pieds rapides.

J'avais lu et adoré le Silence des vaincues, le précédent roman de Pat Barker revisitant la guerre de Troie, j'étais donc très intéressée par l'idée de lire la suite, Les Exilées de Troie. J'ai une nouvelle fois été sous le charme du talent de l'autrice pour nous raconter de façon novatrice cet épisode si célèbre de la mythologie grecque.

Comme beaucoup de réécritures mythologiques, Les Exilées de Troie est avant tout un roman aux accents féministes : même si on suit parfois certains hommes (notamment Pyrrhus, fils d'Achille et jeune homme imbu de lui-même, capricieux et franchement détestable), le roman s'attache surtout aux femmes victimes de cette guerre, aux violences qu'elles ont subi ou dont elles ont été témoins, à leur condition d'esclaves après avoir été des femmes libres (parfois même de haut rang) et surtout à la vision qu'elles ont de leur sort et de leurs geôliers. Tout cela est vraiment passionnant à lire et suscite de nombreuses réflexions.
La figure de Briséis est très intéressante, un peu entre deux eaux : Troyenne mais épouse d'un Grec, donc mieux lotie en apparence que ses compatriotes mais pas vraiment acceptée que ce soit d'un camp ou de l'autre. Sa situation personnelle (je n'en dirais pas plus) lui donne également un statut particulier et même vis-à-vis d'elle-même, elle a du mal à accepter la situation : j'ai vraiment eu beaucoup d'affection et d'admiration pour cette femme qui a eu sa vie détruite par cette guerre mais qui pense quand même aux autres avant de penser à elle, qui s'efforce d'apporter soutien et réconfort aux différentes femmes croisées au fil de l'intrigue quel que soit leur origine sociale.
Enfin, comme dans toute réécriture mythologique, j'ai grandement apprécié la manière dont Pat Barker revisite la fin de la guerre de Troie et la manière dont elle dépeint des femmes célèbres comme Hécube, Andromaque ou Cassandre. Même en connaissant leur histoire, on a hâte de savoir ce qu'il va leur arriver et de découvrir comment l'autrice les présente. Je dirais même que le seul reproche que je ferais au livre est de ne pas avoir quelques chapitres de plus car je serais volontiers restée plus longtemps aux côtés de ces femmes et voir ce qu'il leur arrive par la suite.

Après le Silence des vaincues, Pat Barker prouve une nouvelle fois avec Les Exilées de Troie son talent pour revisiter la mythologie grecque et donner une voix aux femmes de ces histoires.

📚Les exilées de Troie, Pat Barker📚

Si vous remontez mon fil de publications, vous trouverez dans mes lectures de l'été dernier : le silence des vaincues.

Les exilées de Troie poursuit l'histoire de ce précédent tome. Briséis reprend la parole pour nous conter la suite de sa vie au camp grec après la mort d'Achille jusqu'au retour tant attendu des troupes grecques. Et ce retour se fait plus qu'attendre ! Les vents n'étant pas favorables à un départ en mer 🌊

Ce tome a été moins difficile à lire, Briséis n'est plus esclave mais femme d'un Grec puissant au sein du camp des Myrmidons. Par contre, le sort des femmes esclaves ou trophées de guerre n'est toujours pas glorieux. Les scènes décrites sont plus sobres que détaillées. Les propos sont explicites sans être choquants.

Ici, la ville de Troie est tombée, les Troyennes sont entre les mains des Grecques : Hélène est de retour auprès de Ménélas, Cassandre est prisonnière d'Agamemnon, Andromaque est l'esclave de Pyrrhus, Hécube est enfermée chez Ulysse… sans compter toutes les autres femmes !

Deux autres personnages sont également mis en avant au cours des chapitres. le seul reproche que j'ai à faire, c'est que l'auteur de ne spécifie pas que l'on change de narrateur au début du chapitre et il faut plusieurs lignes pour comprendre qui parle.

Après le succès du Silence des vaincues vient l'avis mitigé sur les Exilées de Troie.
Nous retrouvons Briséis, butin de guerre du légendaire Achille, dans le camp Grec au bord de la plage de Troie. Elle est alors mariée à Alcimos selon le souhait d'Achille qui pour la protéger après sa mort avait tout arrangé afin éviter son retour à l'esclavage. Mais en est-elle vraiment loin de cet esclavage ?
C'est elle qui nous raconte la suite de son histoire, elle porte l'enfant du héros, de celui qui a décimé sa famille, ravagé sa ville. Bien seule et impuissante face à son destin, elle erre dans ce huis clos donnant une image pseudo libre de sa nouvelle vie. Mais qui trompe-t-elle ? … Nul n'est à l'abri de la jalousie d'Agamemnon, de la colère de Pyrrhus fils d'Achille. Sa position n'est pas simple, elle veut aider les autres Troyennes, enfermées dans leur enclos, attendant d'aller servir le vin ou d'assouvir les besoins sexuels de tel ou tel soldat. Il faut protéger Maïra, cette force de la nature qui donne naissance en cachette à un garçon, un troyen mâle, voué à l'exécution s'il est trouvé par un Grec !
Il faut surveiller Amina qui n'a qu'en tête de donner une sépulture décente à la dépouille de son roi Priam malgré les menaces de mort à qui oserait déplacer le cadavre.
Elle essaie d'apporter réconfort à toutes ces femmes, Hécube, la veuve du roi, Cassandre dont personne n'écoute les prédiction, Andromaque qui doit partager la couche de Pyrrhus après qu'il ait jeté son fils du haut des remparts de Troie ...
Le temps passe, le vent souffle et tout le monde est coincé sur cette plage, même moi parfois je me suis sentie captive là à attendre la délivrance.
Bien que le roman soit bon, il m'a beaucoup moins touchée que son précédent opus, néanmoins, sur la fin j'aurais souhaité savoir ce que l'avenir réserve à Briséis et l'enfant qu'elle porte, alors je serai peut-être au rendez-vous d'un troisième et dernier récit.

Si le tome précédent nous laissait voir la place des femmes prisonnières dans une guerre interminable et éreintante pour tous les hommes, ici, nous sommes confrontés à l'attente. Ces femmes, anciennes reines, princesses ou tout simplement mères de famille, deviennent les esclaves d'hommes complètement à bout, anéantis par la perte d'êtres chers, par la séparation d'avec leur famille et surtout inoccupés. de cette absence d'action naît une tension nouvelle, dans laquelle l'ennui est le prétexte à toutes les querelles, à toutes les violences.

A la fougue impétueuse d'Achille succède l'irrévérence prétentieuse de Pyrrhus. Jeune encore, ce soldat doit faire ses preuves dans un combat dont il ne voit que la fin à l'ombre d'un père surpuissant qu'il ne parvient pas à égaler. J'avais été dérangée dans le Silence des Vaincues par cette peinture quasi-incestueuse d'un Achille qui recherchait constamment le souvenir de sa mère dans ses relations sexuelles. J'ai été davantage fascinée par cette relation au mort, à l'absent que dois affronter Pyrrhus, même si celle-ci le rend tout simplement détestable. Il a tous les défauts, et aucune qualité : il ment, il manipule, il agresse, insulte les vieillards, les prêtres, ne fait confiance à personne. Celui qui deviendra le persécuteur d'Andromaque est bien moins humain que son père à force d'essayer d'égaler son côté divin.

J'ai aimé me replonger dans ce camp achéen où la pourriture, les cadavres en décomposition (et notamment celui de Priam) côtoient les odeurs de sueur, de vin et de feu. J'ai également retrouvé le langage vulgaire qui m'avait dérangée dans le premier opus, mais uniquement dans la bouche de Pyrrhus, cela m'a semblé juste et bien plus facile à accepter.

Grande différence entre les deux romans : la posture de toutes ces femmes. Si Briséis était complètement anéantie et semblait ne rien ressentir, il n'en est pas de même ici. Enceinte du divin Achille, Briséis est toujours aussi indécise, sa grossesse n'est qu'une protection qui ne la préoccupe que légèrement. Elle lui permet simplement de bénéficier de la protection des Grecs et notamment de son nouvel époux, choisi par Achille. A l'inverse, si l'on excepte Andromaque qui brille par sa fragilité et son effacement, les Troyennes sont des révoltées, des colériques. Menées par la vieille Hécube, Cassandre, Hellé, Amina et tant d'autres ne courbent pas l'échine. Elles savent que le destin est en marche, notamment Cassandre, que personne n'écoute, mais elles ne se laissent pas faire. Elles feront tout pour protéger leurs aînés, leurs enfants, leur fierté. de cette colère en sourdine des personnages émerge chez le lecteur une plus grande compassion.

Bref, j'ai déjà hâte de découvrir ce que nous réserve l'autrice par la suite : que deviendront ces femmes une fois arrivées en Grèce ? Alors même que chacune d'elles va se retrouver en un lieu différent…

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Lorsque j'ai su que je devrais lire ce roman comme épreuve non corrigée Charleston, j'ai voulu lire le tome 1 (Le silence des vaincues) pour être à jour pour celui-ci (même si celui-ci peut être lu indépendamment)

Dans le résumé du tome 1, on nous annonçait que le point de vue des femmes pendant la guerre de Troie serait abordé. Cette période ne m'attirant pas du tout à la base, c'est donc ce qui m'avait attirée. Et malheureusement, je n'ai pas aimé le tome 1. 
J'ai trouvé que le point de vue de Briséis était délaissé dès le deuxième tiers du roman, ce qui a fait que mon intérêt pour l'histoire s'en est allé. Ça n'était pas ce qu'on m'avait promis dans le résumé. de plus, j'ai trouvé dommage que le langage utilisé ne soit pas approprié à l'époque.

Dans ce roman-ci, soit le tome 2, il m'a été difficile d'entrer dans l'histoire après avoir été déçue du tome 1. Ça a été comme le prolongement de ce que je pensais du tome 1. Evidemment, puisque c'est la suite. Certains personnages n'étaient plus là et je n'ai pas su m'attacher aux nouveaux. C'était juste pas possible d'entrer dans ce roman en n'ayant pas aimé le premier…

Néanmoins l'histoire liée à Troie était bien racontée et bien ficelée, et je pense que ce roman peut plaire aux personnes qui sont attirées par cette période !
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Il s'agit d'une réécriture de l'histoire de la Guerre de Troie. Les exilées de Troie est une suite mais qui peut être lue indépendamment du premier tome "Le silence des vaincues".

Le roman débute au moment du cheval de Troie. On se retrouve rapidement dans l'entre-deux, les Grecs ont gagné la guerre mais ne peuvent pas encore rentrer et reprendre leurs bateaux pour rentrer au pays car le vent en a décidé autrement.
Ce roman met vraiment en avant la condition des femmes à cette époque. Considérées comme des esclaves, on va principalement suivre Briséis, veuve d'Achille.

J'ai trouvé le personnage de Maïré intéressant, j'ai beaucoup aimé le fait que les femmes du camp prennent soins d'elle.
L'écriture et la plume de l'autrice en font un roman agréable à lire, cependant le style est cru, parfois trash, si tu es fan de mythologie cela va être clairement un plus pour toi.
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Les exilées de Troie – Pat Barker

Parution 12 janvier 2022 - lu dans le cadre des #lectricescharleston2022

Une plongée historique, engagée et féministe à travers l'Histoire de la Grèce Antique

Dans ce roman qui mêle l'Histoire à l'histoire, on débarque en tant que lecteur.trice après la chute de Troie. La ruse célèbre du cheval de Troie a fonctionné et la cité de Troie est tombée aux mains des Grecs.

L'autrice nous permet de nous (re)familiariser avec les grands noms de cette époque : les rois Agamemnon, Ménélas, Priam, les grands héros comme Ulysse, Ajax, Achille mais aussi et surtout les femmes, des reines comme Hécube et Hélène, des personnalités comme Andromaque ou Cassandre mais aussi des esclaves, des trophées comme Briséis, qui avait été octroyé à Achille comme trophée de guerre.

Pat Barker installe un récit captivant et sensoriel. On a l'impression d'être dans ce camp grec, battu par les vents avec cette foule d'hommes et de femmes, harassés après la guerre. Certains ont perdu des amis, des frères, des parents, d'autres des enfants. Personne n'est sorti indemne de cette guerre meurtrière tant pour le corps que pour l'esprit.

Briséis occupe un poste important, elle se sent responsable des femmes troyennes capturées et qui vivent à la merci des hommes du camp. Malgré sa position sociale difficile et sa condition physique de femme enceinte, elle aide toutes celles qu'elle peut, de l'esclave la plus effacée à la grande reine Hécube. Elle brille par son courage, n'hésitant pas à se mettre elle-même en danger plusieurs fois. Elle a connu son lot de chagrin, de tristesse. Arrachée à sa famille, à sa ville, à sa terre et utilisée comme trophée, elle continue tout de même de vivre et de survivre, incertaine pourtant sur son avenir.

Dans ce roman vous trouverez une course de char mais aussi une visite à un jardin d'Eden, une grande célébration mortuaire à des discussions chuchotées dans la nuit dans une cabane de femmes…

Le romanesque se lie si bien aux faits historiques que les personnages prennent vie sous la plume de Pat Barker et on a l'impression de connaître les caractères de ces personnages illustres comme Hélène, Agamemnon ou Pyrrhus.

Le contenu est très accessible et même sans connaissance de la guerre de Troie, on comprend très rapidement les systèmes de pouvoir et de relations.

J'ai passé un agréable moment de lecture qui complète bien le silence des vaincus qui correspond à la première partie de l'histoire de Briséis et son temps avec Achille. Il m'en a manqué tout de même un peu pour avoir un coup de coeur. Les personnages ont un ton et un phrasé assez moderne – parfois trop moderne – qui m'a parfois un peu déstabilisée et fait revenir immédiatement à notre réalité contemporaine.

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« Les Exilées de Troie » est la suite du roman « le Silence des vaincues ». C'est un tome 2, qui selon moi, peut se lire indépendamment du premier car il y a quelques retours en arrière pour poser le contexte. Je conseille malgré tout de lire le Tome 1 avant pour faciliter la compréhension des personnages et de l'époque, mais disons que ça n'est pas obligatoire.
Il s'agit donc d'un roman historique qui se déroule à l'époque de la guerre de Troie.

Ce roman met à nouveau en scène Briséis, l'esclave d'Achille qui porte d'ailleurs son enfant. Elle est désormais entourée par toutes ces femmes arrachées de Troie lorsque la ville est tombée.
Au même titre que dans le Tome 1, j'ai beaucoup aimé ce point de vue féminin, avec ces conditions de vie dramatiques pour les femmes à l'époque, qui ne sont pas vraiment considérées et qui ne sont finalement que des esclaves sexuelles. On leur prête tellement peu d'attention qu'on les croit « incapables »… Incapables de tout, même de se rebeller.

J'ai beaucoup aimé voir l'évolution de Briséis, qui s'ouvre au fil des pages, elle gagne en confiance. Et son aura ne laisse pas indifférent.

Cette histoire m'a plu, ce tome est bien ficelé. Je lui ai trouvé, comme dans le roman précédent, quelques redites… Des descriptions de personnages ou des expressions reprises plusieurs fois à l'identique… Et c'est dommage car cela alourdi la lecture.
Il faut dire que j'ai enchaîné les deux tomes donc ce sentiment a probablement été exacerbé et j'ai peiné sur la fin parce que cela faisait un peu trop pour moi. J'aurais davantage apprécié de retrouver Briséis si j'avais eu quelques autres lectures entre deux.

Et tous les cas, c'est un roman historique à la plume moderne, qui arbore un point de vue féminin en mettant en scène des femmes au courage remarquable. On se demande alors qui sont les vrais héros de la guerre de Troie…?
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