Document inédit, le carnet de route qu’a tenu en 1480 un aristocrate faisant métier d’entrepreneur de transhumance, Noé de Barras, est transcrit, traduit du provençal et commenté par Jean-Yves Royer, qui le compare à d’autres documents de l’époque.
Le carnet que Noé de Barras tenait dans sa poche, pendant l'été 1480, et où il notait jour après jour les repères de son activité d'entrepreneur de transhumance en Provence, a été retrouvé, cinq siècles apr...
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