Tu me trouveras au bout du monde

Je referme ce livre, un peu déçue. Je ne m'attendais certes pas à un chef d'oeuvre. Je savais que ce serait une lecture amoureuse et légère mais je n'avais pas prévu ressentir une impression de déjà-vu aussi intense dès les premières pages.Tout m'a semblé téléguidé. le suspense n'a pas pris. La romance non plus. Je ne me suis pas attachée aux personnages ni aux situations. Et l'écriture ne m'a pas transcendée malgré quelques belles tournures.
Seul avantage de cette lecture : l'aller-retour en train vers Fribourg aujourd'hui pour une formation est passé à vitesse grand V.
Dommage...

Le ton est léger, l'écriture agréable mais j'ai eu un peu de mal à me laisser emporter par cette comédie romantique légère dont la fin est prévisible!
Je donnerai une autre chance à cet auteur avec son premier livre qui a eu beaucoup de succès " le sourire des femmes "

J'avais bien aimé " le sourire des femmes" premier livre de l'auteur. Avec "Tu me trouveras au bout du monde" je pensais trouvé un roman feel-good. Je ressors déçue de cette lecture que j'ai trouvé plate, surfaite et cousue de fil blanc. Une lecture qui se lit aussi vite qu'elle s'oublie.

J'entends régulièrement parler de Nicolas Barreau, en bien comme en mal et j'avais envie de le découvrir à mon tour. J'ai alors jeté mon dévolu sur un roman assez court dont le résumé me paraissait sympa. Et puis, c'est une publication de la maison d'édition Eloïse d'Ormesson que j'aime beaucoup. Tout était réuni pour me faire passer un bon moment. J'ai profité d'un week-end planplan pour me lancer enfin ...

Jean-Luc Champollion, galeriste parisien, s'était promis de ne plus jamais écrire une seule lettre d'amour depuis une terrible déception à l'adolescence. Pourtant, lorsqu'il en découvre une dans sa boîte à lettres, intrigué, il ne peut s'empêcher d'y répondre. Une relation épistolaire nourrie naît alors entre le jeune homme et l'énigmatique Principessa. Mais cette dernière sait ménager le suspense, et l'entraîne dans un jeu de piste amoureux avant d'accepter de se dévoiler en chair et en os. Pris au jeu de ce tendre duel, Jean-Luc s'enflamme. Qui est donc cette femme qu'il imagine sans la voir, qu'il comprend sans la connaître ? Comment la convaincre de se livrer ? Devra-t-il aller jusqu'au bout de la terre pour la tenir enfin serrée dans ses bras ?

J'ai lu ce roman en une seule après-midi, il est assez court (260 pages environ) et pourtant, je n'ai pas passé un aussi bon moment que je l'aurai souhaité. J'ai eu du mal avec la plume et le ton de l'auteur. J'ai trouvé ça très pompeux, très lourd au final et pas très adapté au type de roman que Nicolas Barreau nous propose ici. On est dans de la comédie romantique légère et on a la sensation de lire du Proust ...

L'histoire en elle-même est plutôt banale, les échanges épistolaires sont tout de même légion dans ce genre de littérature légère. J'ai bien aimé lire les mails que nos deux héros s'échangent mais c'était tout de même bien classique. Un peu ennuyeux au bout du compte.

Ce manque d'originalité, ce ton bien trop lourd ainsi que l'identité de la Princessa que j'avais deviné depuis bien longtemps ont fait que je suis passée à côté de ce bouquin. Je n'ai pas été convaincue par ma lecture, j'aime bien lire un peu de comédie légère et là, je n'ai pas trouvé ce que je recherche lorsque je me lance dans ce genre de livres ... Je ne me suis jamais sentie transportée et je n'ai jamais vibré avec les personnages ... Dommage ...

A découvrir si vous avez quelques heures à tuer, mais ce n'est pas indispensable ...

Dire que j'ai été déçue est un bien faible mot. Moi qui m'attendais à lire une comédie drôle et enlevée, je me suis profondément ennuyée, d'un bout à l'autre du livre.

Nicolas Barreau m'avait pourtant séduite avec son précédent roman "Le sourire des femmes". L'écriture était pleine de finesse et d'humour. Quant à l'intrigue elle était à la fois émouvante, surprenante et drôle. Les quiproquos entre les personnages étaient particulièrement amusants.

Ici, l'intrigue n'est tout simplement pas crédible. Les personnages sont caricaturaux et frisent parfois le ridicule. le ridicule ne tue pas, certes, mais il n'aide pas à rendre l'histoire prenante... J'ai trouvé l'écriture fade, sans relief, parfois pompeuse, à l'image des personnages que celle-ci met en scène. le style choisit pour l'échange de lettres entre les deux protagonistes principaux ne m'a pas convaincu. J'ai eu le sentiment que l'auteur cherchait seulement à faire son petit effet. La sauce n'a pas pris, tant pis !

Je n'ai pas tellement accroché les lettres sont belles mais m'histoire reste en surface pas assez fouillée. C'est un peu rapide et lent à la fois en fin de compte. Je ne connaissais pas l'auteur mais je reste un peu sur ma faim. Je n'ai pas spécialement aimé être plongée dans ce milieu de l'art.

Je n'ai pas vraiment accroché avec le personnage principal, sans doute à cause de son côté "Don Juan". de ce fait, j'ai eu du mal à croire à cet amour épistolaire.
L'envie de découvrir l'identité de la "Principessa" m'a tout de même poussée à finir ce livre.

C'est ici une histoire très simple. Les sentiments sont toutefois bien décrits, les phrases très bien construites, et l'envie de terminer le récit bien présent. C'est une lecture fraiche qui fonctionne parfaitement bien quand on ne souhaite rien de compliqué et où la réflexion du lecteur n'est pas mise à l'épreuve.
Lien : https://lilygrant.wordpress...

L'histoire de Jean-Luc séduit par une lettre d'une inconnue ne m'a pas convaincue. J'avais pourtant plutôt aimé "Le sourire des femmes"...
J'ai détesté le personnage principal qui ne veut pas, je cite, "d'une hideuse reine-grenouille" ou d'une femme avec "un nez de taille raisonnable" ! Non, mais l'autre !!!
Le style employé dans la correspondance des deux amoureux met également un frein à l'identification qu'on peut attendre dans ce type de récit.
En clair, je suis passée à côté...

Déçue... la fin est prévisible... bof.