Tu me trouveras au bout du monde

Jean - Luc Champollion, dit « Le duc » un jeune galeriste renommé, don Juan à ses heures, aux conquêtes féminines nombreuses, flanqué d'amis sûrs et rassurants , reçoit un jour une lettre énigmatique,d'une correspondante inconnue qui signe « La  Principessa . »

S'ensuit une excursion aventureuse doublée de recherches infructueuses qui nous promènent dans un Paris aux restaurants chics, des hôtels particuliers aux rues du coeur de Paris ...

Telle une enquête à la Hercule Poirot nous entraînant au sein de la Gare de Lyon , ses salles immenses hautes de dix mètres respirant l'esprit Belle Époque....et bien d'autres lieux emblématiques à la recherche de « La Principessa . »
Cette enigmatique correspondante distille au fil de ses missives de savants indices ...qui donnent des ailes à l'imagination de Jean - Luc, occupent ses pensées , lui insufflent de l'énergie....le découragent aussi....
«  Qui était la Principessa? Une femme hideuse au grand nez? Ou peut - être Lucille, son amoureuse de l'adolescence, à la beauté surnaturelle qui l'avait trahie jusqu'a L'humiliation ?
Que désire cette femme?
Et comment la convaincre de tomber le masque ?

Jean- Luc devra- t- il aller jusqu'au bout du monde pour la tenir dans ses bras ?

C'est un court roman épistolaire léger et distrayant, un marivaudage savoureux chatoyant , semblable à une bulle de plaisir servi par une écriture simple et imagée, fluide et alerte avec une touche de préciosité , désuète, un voyage galant et inventif , en compagnie de « Cézanne » le chien fidèle de Jean - Luc ...
Une comédie sensuelle et romantique , un jeu de piste amoureux à lire au soleil , pendant les vacances ......
Je ne connais pas l'auteur , on m'a prêté cet ouvrage ...

« Tu me trouveras au bout du monde » est un roman parfait pour les vacances, il est léger dans tous les sens du terme. Ici, le mot « léger » n'est pas péjoratif, mais a plus une connotation de fraicheur, c'est une lecture facile.
Un jeu de séduction par l'intermédiaire de courrier, va s'installer entre Jean-Luc Champollion, galeriste et une mystérieuse personne signant Principessa.
Je me suis laissé prendre dans le jeu de ce Jean-Luc (alias le Duc) et de cette Principessa et j'ai accéléré ma lecture pour savoir qui se cachait derrière Principessa.
Ce livre est un peu construit comme un jeu de pistes, on a des indices et avec Jean-Luc, on essaie de deviner qui peut bien se dissimuler sous ce mystérieux nom Principessa. Alors bien sûr, tout le monde y est passé, de la personne la plus probable à la plus invraisemblable mais c'est sans doute ce que souhaitait Nicolas Barreau.
Ce livre ne restera certainement pas longtemps dans ma mémoire mais il a bien rempli son rôle, il m'a divertie et ce fût bien agréable.

Jean-Luc Champollion, surnommé Duc, est galeriste à Paris. Il partage sa vie entre son appartement, sa galerie, ses amis, son chien et quelques conquêtes amoureuses. Jusqu'au jour où il reçoit une mystérieuse lettre d'une femme qui l'invite à correspondre par e-mail et qui se transforme rapidement en jeu de piste amoureux.

Une comédie romantique dans les rues de Paris savamment orchestrée grâce aux quelques rebondissements. Nous suivons pas à pas cette quête de l'âme soeur qui va nous mener au Bout du monde pour découvrir cette mystérieuse femme qui envoie des billets doux au Duc.

J'avais déjà apprécié lire "Le sourire des femmes". J'ai également pris plaisir à lire ce nouveau roman dont l'opération Masse critique et les Éditions Héloïse d'Ormesson m'ont permis de passer quelques heures agréables en compagnie de personnages plus ou moins fictifs...
A découvrir!

Il s'agit en effet bien là d'un marivaudage contemporain, comme il est annoncé en quatrième de couverture. le ton est léger, le personnage, Jean-Luc, surnommé Jean-Duc par ses amis, règne sur une galerie de tableaux comme il règne au milieu des femmes. Nous sommes loin des soucis d'argent, de travail, de familles. L'amour seul importe. A travers des lettres et des messages , une femme va emporter ce séducteur vers une recherche qui le dépasse. La fin est un peu prévisible, c'est dommage.

Nous suivons ici Jean-Luc Champollion oui comme le fameux Champollion qui a déchiffrer les hiéroglyphes qui reçoit une lettre d'une mystérieuse inconnue qui se nomme dans celle-ci la Principessa.

Jeune galériste le jeune homme croise beaucoup de monde et de jeune femme et il va cherché à savoir de qui provient cette lettre, nous amenant avec lui sur les traces de celle-ci et les fausses pistes sont nombreuses la jeune femme lui indiquant uniquement une adresse mail pour communiquer avec elle.

Jean-Luc dont le surnom est Duc nous entraîne avec lui dans son quotidien entre la découverte de nouveaux talents et certains clients ou clientes qui sont très particuliers. Il va se rendre sur différents lieux pour tenter de débusquer sa prétendante comme par exemple au Train Bleu le fameux restaurant de la Gare de Lyon avec son chien nommé Cézanne.

Une lecture sympathique mais qui ne me laissera pas un grand souvenir, la morale de l'histoire étant qu'on a souvent sous le bout de son nez la personne avec qui faire sa vie.

Je referme ce livre, un peu déçue. Je ne m'attendais certes pas à un chef d'oeuvre. Je savais que ce serait une lecture amoureuse et légère mais je n'avais pas prévu ressentir une impression de déjà-vu aussi intense dès les premières pages.Tout m'a semblé téléguidé. le suspense n'a pas pris. La romance non plus. Je ne me suis pas attachée aux personnages ni aux situations. Et l'écriture ne m'a pas transcendée malgré quelques belles tournures.
Seul avantage de cette lecture : l'aller-retour en train vers Fribourg aujourd'hui pour une formation est passé à vitesse grand V.
Dommage...

Jean-Luc Champollion tient une galerie d'art à Paris, c'est un Don Juan amoureux de la gent féminine qui vit seul avec son labrador Cézanne. Quand il reçoit une lettre enflammée d'une mystérieuse Principessa, il s'interroge. Qui est cette correspondante énigmatique qui lui déclare sa flamme et qui paraît si bien le connaître ? Avec ses amis Bruno, Aristide et Soleil, Jean-Luc mène l'enquête. Trouvera-t-il à temps celle dont il s'éprend chaque jour davantage ?
J'avais envie d'un livre léger pour me changer les idées pendant ces vacances, aussi ce roman déniché chez un bouquiniste dernièrement, m'a fait de l'oeil. J'avais lu de N. Barreau ses deux précédents ouvrages et je connaissais un peu le style de l'auteur. Ce roman, lu en 2 jours, est distrayant, il se lit facilement et on se laisse prendre au jeu du "qui est-ce" avec plaisir. Les personnages nombreux sont bien campés, ils prêtent parfois au sourire mais ils sont sympathiques. Paris est toujours aussi bien suggéré que dans les précédents livres de N. Barreau, c'est une jolie ballade romanesque une fois encore. La fin du roman en revanche m'a surprise, je ne m'attendais pas à ce dénouement. Un livre sans prise de tête, idéal pour les vacances. Je vous conseille néanmoins, si vous cherchez à découvrir son auteur, plutôt La vie en Rosalie ou le sourire des femmes.

on retrouve l'auteur avec plaisir
mais on se trouve un peu chahutés
un peu trop simple
dans la seconde partie, il nous entraîne
quand même !

"Le Sourire des Femmes" est un livre qui vous redonne le sourire.

Le deuxième livre de Nicolas Barreau paru chez les Editions Héloïse d'Ormesson a sensiblement le même effet, la touche de mystère en plus!

Jean-Luc Champollion, séducteur aguerri, craintif de l'humiliation amoureuse, reçoit une lettre des plus mystérieuses. Que faire? Que penser? Surtout ... qui de ses anciennes conquêtes peut bien se cacher derrière la mystérieuse Principessa, auteur des missives tendres et joueuses à la fois qui lui sont adressées?

Nicolas Barreau entraîne ses lecteurs dans les méandres de l'âme des hommes, et de celui de la ville romantique par excellence, Paris. Tout dans son écriture, respire le bonheur et la tendresse. L'amour coule le long des pages sans clichés, avec douceur comme la caresse d'un être aimé.

Ce roman rechauffe le coeur tel un feu d'âtre, de petit feu aux flemmes ardentes!

Le style d'écriture de Nicolas Barreau est simple, efficace, et surtout juste. Aucun mot n'est là par hasard, aucune phrase mal tournée. du début à la fin, on se laisse guider sur ce long fleuve tranquille à contempler les environs magnifiques du voyage que nous offre l'auteur.

Comment vous raconter toute la tendresse, toute la beauté, toute la poésie de ce roman? Il n'y a qu'un seul moyen : lisez-le ... tentez le voyage à Paris avec Nicolas Barreau. Vous en reviendrez le coeur léger, l'âme en feu et les larmes aux yeux.

Lien : http://autourdeslivres.blogs..

3.5*
Jean-Luc Champollion, galeriste parisien, a une vie bien accomplie. Entre ses artistes qu'il s'efforce de motiver quand ils sont en panne d'inspiration, ses amis fidèles, les cafeś où il aime traîner, son fidèle chien, sa voisine, et ses conquêtes féminines, il a un quotidien bien rempli.

Une jolie lettre, bien écrite, va venir perturber ses habitudes. Avec cette première missive va alors commencer une course effrénée pour tenter de découvrir qui se cache derrière ces belles déclaration et qui attise tant sa curiosité.

C'est une comédie romantique légère, qui nous plonge dans l'atmosphère parisienne des artistes, en plein coeur de St Germain. Pour cet homme si souvent entouré de femmes et dont le charme n'est plus à prouver, celle qui se fait appeler Principessa représente la femme inaccessible. Tout d'abord très sur de lui, il est persuadé qu'il va rapidement trouver son identité et nous lecteurs menons avec lui cette enquête. On se laisse prendre à ce jeu qui dévoile peu à peu les faiblesses du caractère de notre héros et peut être bien aussi un peu des nôtres au passage.

Les échanges épistolères vont rapidement passer du papier à l'email, mais le style des missives gardera ce côté un peu désuet qui fait le charme des lettres romantiques. Nos deux amis vont, au fil de leurs courriers, apprendre à se connaître, sans pour autant jamais se dévoiler. Les mots vont devenir voluptueux et les échanges coquins à tel point que notre pauvre héros sera bientôt à bout de souffle et souhaitera de tout son être connaître l'identité de la mystérieuse Principessa.

C'est une comédie pleine de tendresse et écrite d'une plume très romantique. On est vraiment transportés dans l'ambiance parisienne avec des personnages sympathiques et attendrissants qui gravitent autour du héros. C'est aussi une jolie leçon pour nous aider à ouvrir les yeux sur notre entourage, notre quotidien et les gens qui peuplent notre vie et qu'on ne voit pas toujours.

L'amour est peut être là sous votre nez pour vous aussi il suffit parfois d'ouvrir les yeux...

Piquée par la curiosité et par cet auteur je tenterai également son autre roman "Sourire des femmes" qui a connu un joli succès.

Cette lecture est l'objet d'une Masse critique Babelio que je remercie ainsi que les Editions Eloïse d'Ormesson pour cette découverte.
Lien : http://evenusia.canalblog.co..