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3,42

sur 1006 notes
Déçue. Alors que je n'avais pas lâché le précédent titre d'Annie Barrows écrit à quatre mains avec sa tante (Le cercle littéraire…), cette fois, je me suis régulièrement ennuyée.
L'histoire et le contexte sont très intéressants, l'irruption d'une personne étrangère au comté permet les révélations et les bouleversements, le tout pimenté par une fillette curieuse qui n'a pas froid aux yeux.
Mais…un je ne sais quoi tire l'histoire en longueur, les insertions de la correspondance ne servent pas le rythme de la lecture. Bref, c'est un livre qu'on vient de me prêter, et je suis contente de ne pas l'avoir acheté.
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J'ai du mal avec ces romans américains qui, finalement, quand on les referme, ne nous ont rien apporté... même pas un bon moment de détente.
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Résumé membres :
Willa, une jeune fille de douze ans, découvre la vie, la vraie, mais aussi qui sont réellement les gens qui l'entourent. La vie de sa famille, et celle de Layla, la jeune et jolie pensionnaire, mystérieuse, qui arrive à Macédoine dans la maison de la tante Jottie dans le but d'écrire l'histoire de la ville.
Willa, va de révélation en révélation. A chaque découverte, elle sort de la bulle où Jottie et ses tantes avaient voulu la garder bien à l'abri du monde extérieur, et plonge dans celui des adultes, Elle est loin d'être idiote, et ses intuitions s'avèrent très souvent exactes.
Que de blessures intimes dont elle devra se guérir, pour remettre à flot ce bateau qui risque de chavirer. Elle sait au fond de son coeur, que tout va dépendre d'elle !
Un très beau roman, qui nous fait découvrir la vie de cette petite ville Macédoine, sous une chaleur torride, qui force les gens à rechercher l'ombre, et à avancer doucement ...

J'ai beaucoup aimé ce livre. Je me suis laissée embarquer par les personnages, les histoires, les secrets.
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Franchement j'ai ouvert ce roman à reculons, je regrettais presque de l'avoir acheté, d'occasions à une bourse aux livres. et puis les premières pages, les premières lettres que s'échangent Layla Beck, limogée par son père pour avoir refusé d'épouser un beau parti et sa famille et ses amis m'ont bien amusée.... s'en suit un début de roman qui a mis du temps à démarrer, et une petite Willa qui m'a franchement agacée au début et puis on ne peut que s'attacher à cette gamine de 12 ans qui a un amour et une foi inconditionnels en son père. les autres personnages sont attachants, l'histoire à la fois douce et triste.
je me suis demandée à un moment si je ne préférais pas le cercle que j'avais moyennement aimé mais au final je crois que la manufacture a laissé son empreinte sur moi, même si l'histoire d'amour entre Layla et Emett est un peu facile, sans que je puisse définir pourquoi...
une bonne surprise au demeurant dans la mesure où je partais avec beaucoup d'a priori
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Ouf ... je dirai même enfin ! Oui il fut long à terminer ce livre.
Les 660 pages m'ont paru interminables.
J'avais adoré "Le Cercle Littéraire des amateurs d'épluchures de patates" d'Annie Barrows. C'était vif et bouleversant.
J'avais espéré retrouver les mêmes sensations chez Les Chaussettes Inusables. Mais rien. C'était long, ennuyeux. L'intrigue a commencé à me donner un semblant de plaisir au bout de la 400ème page.
Les personnages sont fades, pas attachants. L'histoire est sans réel intérêt.
Je me suis ennuyée :(
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Annie Barrows je l'ai découverte comme beaucoup de lecteurs à travers son fabuleux roman intitulé " le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates" (dont l'adaptation arrive d'ailleurs bientôt au ciné !) Je me souviens encore à quel point j'avais été complètement bouleversée par ce livre que j'avais lu en une seule journée (j'avais du temps, à l'époque)
Je me suis donc laissée tenté par son deux deuxième roman qui cette fois-ci parle d'une manufacture de chaussettes mais pas que évidemment ! C'est un long roman de plus de 400 pages super bien ficelées qui nous embarque dans l'Amérique des années 30, entre les deux guerres. La crise économique a frappé et les petites villes comme Macédonia sont touchées de plein fouet. Seuls celles et ceux qui travaillent à la manufacture ont pu, pour la plupart conserver un emploi.
Mais le roman débute ailleurs, à Washington où vit Layla et sa famille. Par un échange de lettres (le roman possède quelques parties épistolaires) l'on comprend que celle-ci est envoyé en Virginie-Occidentale loin du luxe et du faste de sa jeunesse. Cette petite bourgeoise va arriver à Macédonia et découvrir au delà de la ville, sa population. Car ici tout le monde se connait, tout le monde a quasiment toujours vécu là. Et s'il n'y avait pas le chômage de masse et la chaleur atroce la ville ressemblerait presque une petite bourgade sans histoire. Mais l'histoire, des histoires il y en a eu à Macédonia, et Layla va aller à la rencontrer de touts ceux et toutes celles qui l'ont faites pour venir à bout de la mission confiée par son oncle (et toucher son allocation chômage !)
La jeune femme va alors découvrir une famille, les Romeyn avec qui elle va tisser des liens très forts. Elle va également découvrir que les membres de cette fratrie cache un lourd secret.
C'est Willa une jeune fille de 12 ans qui raconte l'histoire la plupart du temps et cette petite fille a un sacré humour ! Elle nous permet de voir les faits et gestes des membres de sa famille à travers son propre regard et c'est extrêmement touchant.
Au fur et à mesure de la lecture il devient impossible de ne pas aimer les personnages, ils font presque partie de notre vie, comme si nous les avions véritablement croisés. Puis l'intrigue va crescendo et il devient difficile de lâcher le livre avant de savoir la fin !
Bref, j'ai adoré ! C'est un livre plein d'amour, qui raconte aussi une certaine partie de l'histoire sociale américaine, les liens qui peuvent unir une famille, c'est rempli de bonté, de beaux sentiments et ça fait du bien !
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J'avoue que j'ai d'abord été un peu déçue de ne pas être tout de suite charmée par le secret de la manufacture de chaussettes inusables comme je l'avais été par le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates. Mais bientôt je me suis laissée emporter par le texte d'Annie Barrows... L'auteur restitue très bien l'atmosphère d'une petite ville du sud des Etats-Unis au début du vingtième siècle. Entre la prohibition et les petits trafics qui en découlent, une canicule étouffante, la société bien pensante qui s'accroche aux traditions et une classe ouvrière qui cherche à améliorer sa condition, j'ai vraiment eu l'impression de me retrouver à Macedonia en 1938. Ce que j'ai préféré dans le secret de la manufacture de chaussettes inusables, ce sont les personnages particulièrement bien croqués, et plus spécialement les membres de la famille Romeyn, un peu excentriques mais très attachants chacun à leur façon. Une très belle lecture, agréablement dépaysante...
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L'histoire d'une famille dans les années 1930, dans une petite ville américaine, le temps d'un été … une famille simple en apparence, mais qui dissimule des secrets que l'héroïne, Willa, 12 ans, va tenter de découvrir.
Je me suis attachée à cette famille et à tous ses membres, j'ai aimé la fraternité qu'il y a entre les adultes Romeyn, même si j'ai trouvé dommage que les soeurs jumelles restent en retrait. Par contre, l'histoire en elle-même traîne en longueur, j'ai eu l'impression d'attendre pendant une grande partie du roman qu'il se passe quelque chose, une révélation, qui n'arrive finalement qu'à la fin, et qui n'est pas vraiment surprenante.
Un roman qui reste agréable, mais je m'attendais à mieux après lecture des critiques !
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Après avoir adoré le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates j'attendais avec impatience la sortie en poche du nouvel opus d'Annie Barrows. Et le moins que l'on puisse dire c'est que le secret de la Manufacture de chausettes inusables m'a (terriblement) déçue.

Nous sommes en 1938, dans la ville de Macedonia en Virginie Occidentale. Une jeune femme du nom de Layla Beck est reniée par son père, un congressman et se voit contrainte de bosser pour le Federal Writer's Project. Cette administration a été mise en place par Roosevelt dans le cadre du New Deal pour permettre à des journalistes et écrivains sans le sou du fait de la Grande Dépression, de travailler pour le gouvernement par le biais de la rédaction de livre de commande.
Ainsi, Layla Beck, pimpêche snob au possible (rien à voir avec Steinbeck la Beck croyez-moi !), se retrouve catapultée à Macedonia pour y rédiger l'histoire de la ville. Elle est logée chez les Romeyn frères et soeurs, ancienne illustre famille du bled car leur père avait ouvert la Manufacture des Inusables Américaines, une fabrique de chaussettes au tout début du XXe.
Les débuts de la cohabitation sont compliqués. Les grands airs que se donne Melle Beck sont assez vite balayés par la gentillesse et la nature bonnasse de la famille Romeyn composée de Jottie (la logeuse officielle), ses soeurs Mae et Minerva (des jumelles qui squattent la semaine chez leur frangine),Emmett, le petit frère érudit et gauchiste, les deux petites nièces Bird et Willa (cette dernière étant l'une des narratrices) et leur père Félix, le grand frère tombeur de ces dames et au passage, trafiquant d'alcool notoire divorcé.
Donc la mère Layla Beck va finalement se détendre du bulbe et se prendre au jeu de la rédaction de l'Histoire de Macedonia au fur et à mesure qu'elle va rencontrer les « personnalités » locales et que vont ressortir les petits travers et gros secrets de chacun tout en se faisant draguer de façon éhontée par un Félix plus narcissique que jamais et donc de plus en plus détestée par les fillettes de celui-ci qui voient en elle une rivale.
C'est chiant hein, comme peech ?! Attendez, ce n'est pas fini…
Plus on avance dans la lecture de ce bouquin, plus on sent qu'Annie Barrows en fait des tonnes pour garder un semblant de suspense quant à l'avenir quasi immédiat de ses personnages. Pour preuve l'exemple de la logeuse Jottie. Vause, son amour de jeunesse est décédé dans un incendie en 1920 et depuis, sa vie sentimentale se résume à de vagues impressions de sa présence et à des souvenirs de moments passés avec lui. Surtout que Jottie avait un autre prétendant, Sol, qui est devenu l'ennemi juré de son frère Félix après la mort de Vause. Mais, bien entendu, comme dans toutes les romances sans piquant et once d'originalité, Sol n'a pas oublié Jottie et rêve toujours de pouvoir faire sa vie avec. Mais Félix, le redoutable et égoïste frangin de Jottie, refuse catégoriquement qu'elle puisse vivre quelque chose avec Sol et comme tout bon macho écoeurant, demande à sa soeur de choisir entre lui, son frère qui lui a toujours été dévoué (mais qui au passage se barre tout le temps pour aller faire ses petites affaires en lui laissant ses gamines dans les pattes) et Sol. Ces tergiversations sont longues et poussives…
Quel ennui ! Ça ne fait que plomber l'ambiance déjà pas super méga jouasse du bouquin. J'ai eu beau me forcer, à aucun moment je n'ai trouvé un seul personnage attachant ou digne d'intérêt. Jottie me fatigue à ne pas savoir ce qu'elle veut. Félix est épuisant à force de domination et de chantage affectif auprès des siens. Layla est complètement aveuglée par Félix et en plus d'être et rester une fuck*** bourgeoise énamourée (sauf quand elle rédige l'histoire de Macedonia j'avoue, elle prend une autre dimension), on est exténué par son parti pris et la méfiance qu'elle inspire à tout le monde. Hey ho Ben Hur, descend de ton char et ouvre les yeux ma pauvre fille !!! Quant à Willa, la fille aînée de Félix, détective espion en herbe (ne me demandez pas comment ou pourquoi, ce n'est franchement pas intéressant) elle ne fonctionne que par un système de « Je t'aime, moi non plus » alors qu'elle est censée avoir 12 ans !! Quel gamin joue à ça passé 7 ans ?

En plus de l'ennui, historiquement, une question me taraude (en plus de d'autres âneries que je vous épargne, sympa la meuf !). L'histoire se passe en 1938 et on nous décrit Félix comme une sorte de bootlegger alors que la Prohibition a pris fin en 1933. Il y aurait-il un épisode que je n'ai pas suivi ?
Ce livre est l'histoire de la folie possessive et destructrice d'un homme, un véritable pervers narcissique qui pour se convaincre lui-même que sa vie n'est pas vaine, étouffe littéralement toutes les formes d'indépendance et de libre-arbitre de ceux qui l'entoure .
Les 150 dernières pages s'avèrent bien meilleures que le reste du roman. Ces 150 dernières pages sont mêmes rassurantes sur le genre humain à dire vrai. Mais de ce fait, on en vient à regretter les lourdeurs et la longueur de ce livre alors que tout devient « brillant » sur la fin. L'auteure ne pouvait-elle pas condenser son histoire plutôt que nous faire languir les 450 premières pages ?
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Layla Beck, jeune femme reniée par son père sénateur pour avoir refusée le riche parti qu'il lui proposait, se voit contrainte de devoir travailler pour subvenir à ses besoins. Recrutée d'office par une agence gouvernementale, elle doit écrire l'histoire de la petite ville de Macedonia. N'ayant pas le choix, elle fait ses valises et emménage donc là-bas, chez « l'excentrique désargentée » famille Romeyn. Sans le vouloir, son arrivée va chambouler l'avenir de cette famille et finir par mettre au jour un lourd secret…

Un résumé attrayant qui laisse présager une histoire pleine de mystères ! Et en effet, ce roman présente une intrigue très bien menée qui nous tient en haleine avec des personnages, dont plusieurs sont narrateurs, tous très attachants et décrits avec réalisme. Il est plaisant de se plonger au cœur de l'atypique famille Romeyn et de découvrir peu à peu son histoire, ses secrets, porté par la brillante plume d'Annie Barrows. Malgré les 6OO pages du roman, je n'ai trouvé pratiquement aucune longueur ; il faut juste être patient pour ne pas le lire non-stop toute la journée (et toute la nuit…) afin d'arriver le plus vite possible au dénouement qui se fait attendre, l'autrice maintenant un suspense jusqu'au bout. Et, la dernière page tournée, c'est avec un sourire qu'on referme ce livre…
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