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Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Sous l'école, premier tome de la série le monde des cancres.
St Joseph est un internat d'excellence, aux résultats inégalés et à la discipline exemplaire.
Du moins, en apparence..
Car dans les sous-sols se cache une partie secrète et escamotée, construite par la directrice, afin de remettre les mauvais élèves et les récalcitrants dans le droit chemin.
Mieux vaut ne pas être collé et envoyé là-bas ! Des salles de punition incroyables y ont été installées avec de véritables épreuves à passer et des machines en guise d'enseignants..
Sous l'école est le premier tome de la série le monde des cancres et il pose les bases.
Cela commence avec une scène forte qui laisse présager de très bonnes choses.
J'ai tout de suite apprécié les dessins et la colorisation. Cela colle parfaitement avec le scénario.
J'ai aimé l'histoire, toutefois je trouve dommage que les personnages ne soient pas mieux présentés. Tout va super vite, une petite introduction, une découverte un peu plus approfondie des personnages n'auraient pas été de trop. Il est un peu difficile au début de s'attacher à eux, et en fait ce premier tome est plus une introduction. En tout cas, je l'ai ressenti comme tel.
Et la fin nous laisse vraiment sur notre faim. Vivement la publication du tome deux :)
C'est très sympathique et ça ravira les jeunes lecteurs, qui seront stupéfaits par ce sous-sol.. très imaginatif ! Cela leur fera froid dans le dos ;)
Heureusement que cela n'existe pas pour de vrai, il y aurait de quoi cauchemarder à l'idée d'aller à l'école lol
Sous l'école est une bonne bande dessinée. Pas de coup de coeur en ce qui me concerne mais je suis certaine qu'elle plaira aux enfants :)
Ma note : 3.5 étoiles.
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Benjamin Laurin arrive à l'internat St Joseph, ici la discipline est exemplaire car si on n'a pas les résultats attendus, on est punis et envoyés dans la partie basse de l'école, un endroit qui redresse les mentalités de nos petits collégiens. Il se fait rapidement des amis mais il finit par être envoyé en colle dans les sous-sols. Il retrouve là-bas Yoriko et Charal, deux de ses amis qui font une punition assez étrange...
Une bande dessinée jeunesse dans laquelle on rentre rapidement, on découvre cet endroit étrange, ceux qui paraissent plus sympathiques que d'autres... et on est dans le feu de l'action. Ca va presque un peu trop vite, j'ai parfois du m'arrêter pour chercher les détails qui liaient les scènes les unes aux autres. Il y a du suspens et quelques questions mathématiques rigolotes sur un train A qui rencontre un train B (la base des maths !)
Une course-poursuite à deux cents à l'heure ! Une BD d'aventure qui devrait plaire à ma fille de onze ans. Les graphiques sont très sombres pour montrer le côté noir de cette école mais nos jeunes paraissent tout à fait sympathiques avec leur tête ronde et souriante.
J'ai hâte de retrouver notre groupe de jeunes dans le second tome et savoir s'ils pourront vaincre ce monde des cancres.
#LeMondedescancres #NetGalleyFrance
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• le Monde des Cancres, Tome 1
Nicolas Bary & Nina Phillips (Scénario) & Cunha (Dessin)
• Dupuis

Le titre et la couverture de ce titre ont suffit à m'intriguer pour que je me lance dans sa lecture.
L'intrigue se déroule dans une école bien particulière où les parents envoient leurs enfants en situation d'échec scolaire. Une école bien particulière avec des méthodes bien particulières...

Côté scénario, si j'ai trouvé les personnages intéressants, j'ai trouvé le récit trop rapide et il ne se passe au final qu'assez peu de choses.
Pour le dessin, j'ai pris plaisir à retrouver Cunha que j'avais pu voir oeuvrer sur la série Dans les Yeux de Lya.
J'irais sur la suite en espérant avoir un peu plus de contenu.
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Ben est envoyé à St Joseph, un pensionnat d'excellence très accès sur la discipline. Une discipline qui s'exerce dans les sous-sols où les élèves sont envoyés quand ils sont collés.
J'ai vraiment apprécié ce premier tome qui arrive à faire avancer son intrigue tout en présentant son univers et les bases de la série. le récit est prenant et sans temps mort. Malgré le format assez court, on arrive à ressentir de l'empathie pour les personnages et à s'attacher à leur parcours pour découvrir la suite.
Côté graphique, le style est agréable, avec des dessins sans contours noirs et une palette très jolie. Les visages des personnages sont plein de rondeur. Un rendu qui va bien avec la cible jeunesse de cet album, tout en restant plaisant pour les plus grands.
Ce premier tome est une jolie surprise qui met en place un univers intéressant que j'aurais plaisir à retrouver.

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Ebook reçu en service presse grâce à @netgalleyfrance. Merci à @dupuis_bd !

Aaaaaaaaargh, je dois dire que cette BD est vachement frustrante ! C'est trop court !

On est plongé dans l'histoire dès la 1re planche, d'ailleurs, on ne comprend pas trop bien ce qu'il se passe au début mais c'est prenant. Ensuite petit retour en arrière mais à la fin du 1er tome, on n'est pas encore arrivé à l'évènement du début.

C'est très intriguant comme histoire, déjà rien que la couverture donne envie avec son illustration et le titre. On se demande ce qu'il y a derrière. Il nous faut un peu de temps dans le “passé” pour découvrir ce qui est étrange dans cette école. Je me demandais aussi qui était les autres élèves avec notre héros, Ben, au début car il n'a pas l'air d'avoir beaucoup sociabiliser avec les autres. Je pense que l'histoire va bien s'étoffer au fur et à mesure des différents tomes et qu'on comprendra beaucoup plus de choses. Pour le moment, je suis intriguée et je dois dire que cette école ne me donne pas du tout envie, c'est limite creepy. Par contre, le système se trouvant sous l'école est vachement ingénieux !

Les planches sont très belles à regarder. On reste dans des tons similaires à la couverture, cela permet de bien ressentir l'ambiance pesante et à la fois étrange de l'école. Même les couleurs vives ne le sont pas tant que cela mais ressortent un peu quand même. J'ai beaucoup apprécié le design des planches qui n'est pas toujours classiques, on sort des cases habituelles et c'est agréable.

Une belle promesse, à voir avec la suite.
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Tout d'abord je tiens à remercier @dupuis_bd ainsi que @netgalleyfrance de m'avoir permis de découvrir cette bande dessinée !

Il est rare que je lise des romans graphiques, mais j'ai tout de suite été attirée par les illustrations de celui-ci. L'environnement obscur, presque un peu gothique, peuplé de personnages qui semblent tout droit sortis de dessins animés : je valide. L'ambiance est effrayante sans être réellement horrifique, et laisse une grande place à l'imagination des jeunes lecteurs. Nous sommes tout de suite enveloppés par l'atmosphère de ce pensionnat particulier, dont la direction nous apparaît tout de suite cruelle et punitive.

J'ai cependant trouvé que l'histoire se déroulait trop vite. Elle ne nous laisse pas véritablement le temps de découvrir les personnages ou leur environnement, ni même d'apprécier les liens qui se nouent pourtant entre eux. J'apprécie les actions qui s'enchaînent mais j'aurais malgré tout aimé pouvoir me familiariser un peu avec les protagonistes avant d'être propulsée dans l'histoire qui semble nous échapper un peu.

J'ai malgré tout passé un bon moment, et je lirais avec plaisir les prochains tomes de cette série, dans lesquels j'espère en apprendre plus sur la petite bande envoyée à St-Joseph, ainsi que sur l'univers !
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Une profonde inspiration entre deux pavés et un joli prétexte pour renouer avec mes amours graphiques d'enfance, ce premier tome, signé Bary Nicolas et Roger Phillips, m'a tout de suite fait de l'oeil. Les dessins et les couleurs sont tout simplement sublimes, d'une grande finesse ; on soulignera le soin tout particulier apporté au travail de la lumière et des contrastes.

Le Monde des Cancres nous invite dans l'enceinte austère du Collège St Joseph, un pensionnat fidèle à l'image que l'on peut s'en faire, un édifice de pierres juché au bord d'une falaise, bordé par une route sinueuse, perdu dans la campagne et mené d'une poigne de fer par une direction peu protocolaire.

Entre les murs de cet établissement dont la réputation n'est plus à faire, se trament des choses peu recommandables qui feraient se retourner cent fois Dolto dans sa tombe. St Joseph s'illustre comme une fabrique à élèves modèles et lobotomisés, une drôle de façon, à l'heure de l'éducation positive, de tirer le meilleur de cette marmaille en piétinant son estime et bridant sa confiance en soi. Mais l'heure est à la rébellion, et Ben et sa bande comptent bien déployer leur ingéniosité et leur sens de la camaraderie pour mettre à mal la perversion et les rouages de ce système.

Dès les premières planches, le lecteur se trouve harponné par une scène, dont on devine qu'elle annoncera les périls auxquels s'exposeront ce gang de mômes un peu particulier, ces derniers se trouvant aux prises avec un automate déchaîné. Un choix plutôt judicieux pour nous tenir en haleine car ce premier volet file à toute allure, se posant davantage comme une introduction des aventures, que l'on entrevoit riches en rebondissements, qui attendent nos joyeux drilles, que comme un volume à part entière.

Une découverte sympathique qui trouvera à n'en pas douter son public parmi nos têtes blondes.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions DUPUIS.
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Attirée par la couverture de cette BD, je me suis lancée dans sa lecture, plutôt confiante. C'était une erreur....

Nous suivons un jeune homme dont j'ai oublié le nom qui fait sa rentrée dans un pensionnat assez spécial appelé Saint Joseph. Ici, pas questions que les élèves soient des cancres. Ceux qui sortent du lot, qui se font remarquer, qui font des vagues, sont aussitôt envoyés en colle au sous-sol d'où ils ressortent comme formatés. Notre jeune héros va se retrouver parmi eux et, à l'aide de ses amis eux aussi envoyés en colle, ils vont trouver un moyen de s'échapper de cet horrible sous-sol...

Je n'ai pas, mais alors pas du tout, accroché à cette histoire. C'est totalement loufoque, totalement tiré par les cheveux. Les enfants passent les obstacles avec une facilité déconcertante, ils déjouent le système qui n'a absolument aucune logique. Ce sous-sol, c'est comme si nous tombions dans un endroit fabuleux, gigantesque, qui semble n'avoir aucune fin, aucune limite. Cela m'a fait penser à un mauvais cauchemar.

Niveau dessins, par contre, j'aime bien. C'est un style moderne, actuel. Les couleurs sont chouettes, vives, dynamiques. Les personnages sont assez expressifs avec leurs grands yeux. C'est la même dessinatrice que pour la BD Les yeux de Lya que je n'ai pas encore lue mais qui m'attire beaucoup aussi, par son style graphique.
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J'ai récemment découvert le coup de crayon de Justine Cunha avec sa bande-dessinée « Héloïse et les Larmes de Givre » et j'ai adoré sa patte unique, sa façon de traiter les couleurs, de mettre en exergue les yeux de ses personnages. J'avais donc hâte de remettre le couvert et c'est son nom qui m'a convaincue de sauter le pas avec ce titre !

Dans « le Monde des Cancres », on retrouve bien ce style qui caractérise Justine Cunha, avec une palette nettement plus sombre, cette fois. Les regards sont toujours légèrement surdimensionnés et arborent ici des cernes marqués, même chez notre joyeuse petite troupe de collégiens. Il en résulte une ambiance gothique, renforcée par l'architecture de cette école à flanc de falaise. On se croirait presque en plein film de Tim Burton !

Côté scénario, nous partons à la rencontre du jeune Ben, récemment admis dans un pensionnat des plus stricts après une série de mauvaises notes. La directrice est décidée à remonter la barre très haut, comme avec chacun de ses élèves, « Ordre et Discipline » étant en effet les maîtres-mots de cette école glaçante à souhait. Malgré ses bonnes intentions, Ben se retrouve vite en retenue. Il découvre alors dans les sous-sols un véritable labyrinthe rempli d'énigmes à résoudre, d'exercices de mathématiques et de punitions épiques ! Dans sa fuite, il rencontre d'autres victimes du système et ils s'allient tous ensemble pour maximiser leurs chances de se sortir de ce pétrin sans être reformatés à l'instar de leurs autres camarades collés.

L'idée de base n'est pas forcément des plus originales, mais son traitement a su piquer ma curiosité. le symbolisme est conséquent, l'école et ses dirigeants cherchant à tout prix à faire rentrer chaque enfant dans le moule, quitte à effacer sa personnalité, ses passions, ses envies. Une critique de l'éducation qui peine encore et toujours à prendre en compte les individualités, et conditionne parfois les mentalités à tort et à travers. L'oeuvre reste toutefois très ciblée « jeunesse » tant les choses vont vite. Nous avons à peine le temps d'apprendre le prénom du premier personnage et les raisons de sa venue dans une école aussi saugrenue qu'il se retrouve déjà collé, en fuite, et entouré de la bande affichée en couverture alors que certains n'apparaissent que le temps de quelques cases. On en retire un certain manque de matière, tant au niveau du contexte général que des caractères et histoires des différents protagonistes. Un petit défaut sûrement dû au format très court, qui ne m'empêchera pas de découvrir la suite à sa parution, car le concept reste intéressant et divertissant à mes yeux !
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
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Déjà, je souhaite vivement remercier les éditions Dupuis et NetGalley pour ce Service Press et pour leur confiance.

Ben arrive dans un internat où la discipline est le maître-mot. Cependant, cela cache un lourd secret : si un élève sort du droit chemin, il est envoyé dans des salles de punition assez spéciales qui changent totalement son comportement.

J'ai bien aimé le personnage de Ben, il est curieux et par-dessus tout c'est un artiste. J'espère que son art sera plus développé dans la suite.

Avec lui, nous découvrons très vite Aria. Il y a beaucoup de mystère autour d'elle, mais rien que visuellement, j'aime beaucoup son personnage. Je suis curieuse de voir comment le tome deux va se passer pour elle au vu de ce qui lui arrive dans le tome un.

Il y a aussi Charal qui est très présent dans ce premier tome. Je l'ai bien aimé, il semble un peu « je-m'en-foutiste » sur les bords, mais en vérité, on sent qu'il y a plus en lui.

En soi, c'était une bonne découverte, mais… trop rapide à mon goût. J'aurais aimé qu'il y ait au moins une cinquantaine de pages supplémentaires, histoire d'avoir plus d'éléments. Après, ça reste une lecture jeunesse, donc je ne suis pas la cible première.
Lien : https://lecturesmmdoriane.wo..
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