Quand j'étais lycéen, les lectures qu'on devait faire et certaines mêmes, qu'on présenterait au bac à la fin de l'année, me laissaient froides, voire m'assommaient grandement.
Je ne vous parle pas de la poésie qui pour le coup finissait de me tourner vers d'autres lectures moins gnan-gnans.
Et puis, on nous a fait lire du
Baudelaire. Comment ça ? On peut faire de la poésie à décrire un cadavre ? On peut exprimer son mal de vivre sans tomber dans le mièvre ? La poésie c'est donc autre chose que
Rimbaud ?
Baudelaire c'est rude, c'est cash, mais c'est aussi énorme ! Je vous conseille, Ô ! Combien !