Les chroniques de Bond Street, tome 3 : Colonel Sandhurst à la rescousse - La Dernière Saison

♫ This is the end...♫

Ce troisième tome , comprenant comme pour les autres deux histoires, s'achéve comme en bouquet final , car on a droit à la "visite" de deux personnages vus au tout début des chroniques.
Je me suis régalée...

Certes c'est une romance, et certes, tout se finit bien, un peu trop bien pour être réaliste, mais MC Beaton a le don de vous emberlificoter grave !
D'abord, il y a le rythme . Pas le temps d'analyser de réfléchir, le lecteur est entrainé dans une farandole d'évènements, de drames divers et variés, d'anecdotes croustillantes et pleins de personnages..
Ensuite, il y a la connaissance historique de l'auteur et sans que ce soit lourd, elle parsème ses histoires de petits détails charmants, ( sur les moeurs, les convenances, l'habillement, la cuisine,etc... ), qui font qu'on s'y croit vraiment ...
Et puis , il y a les citations d'autres auteurs à chaque début de chapitre, dont certaines sont savoureuses.
Pour toutes ces raisons, , cette série composée de trois tomes ( mais six histoires, si vous avez tout suivi !), fut un régal. à lire.
Mais tout a une fin, et MC Beaton étant décédée en 2019, il n'y aura pas de quatrième tome. Quel dommage !

Charmante, virevoltante, amusante, une vraie lecture "détente" .

DÉJANTÉE
Lecture anti "Blue Monday"!
Dans Londres du XIX ème siècle, les comptes de l'hôtel du "parent pauvre" sont au plus bas. Les aristocrates sont de bien mauvais payeurs.

le colonel Sandhurst décide de se charger de récupérer six mois de dettes accumulées par Lord Gray. En chemin, il croise Frederika en fugue pour fuir un mariage forcé et orchestré par son père, qui n'est autre que la fille de Lord Gray. le colonel organise alors une prise d'otage en échange d'une rançon...

Frederika va-t-elle parvenir à déjouer les plans du colonel ?

On y retrouve tous les codes de la romance anglaise de nombreux personnages et rebondissements du début à la fin !

Un romance anglaise déjantée et riche en rebondissements, écrite par l'auteure de Agatha Raisin qu'on ne présente plus!

Les chroniques de B O N d'S T R E E T 3 🎩

Ça y est, c'est la fin de la saga 😭
J'ai traîné pour lire ce tome parce que je savais que c'était le dernier, et que je refusais tout simplement la fin. J'aime tellement ce petit groupe déjanté, chacun avec leur personnalité distincte; tantôt attachant, tantôt détestable (Sir Philip 👀), et je dois avouer qu'ils vont tous me manquer. Ces 3 tomes sont des petites pépites, et comme dans les deux précédents, nous avons droit à deux histoires ! 🤍

🎩 COLONEL SANDHURST A LA RESCOUSSE
Bien que cette histoire commence avec le Colonnel, ce n'est pas autour de lui que ça va tourner, mais autour de Frederica, cette jeune fille qu'il a sauvée/ « kidnappée » en échange d'une rançon. En effet, son père a osé passer six mois au Parent Pauvre, et a refusé de régler sa note ! Aux grands maux, les grands remèdes, n'est-ce pas ? 👀
Mais cette entourloupe changera le cours de la vie de notre belle Frederica, car l'amour va croiser son chemin… 🥰
Et il en sera de même pour notre chère Miss Tonks, on sent que quelque chose se prépare… 🥰

🎩 LA DERNIÈRE SAISON
Notre chère Harriet est de retour à Londres, invitée par Miss Tonks, afin de chaperonner Lady Jane, qui fuit son père, le tyrannique comte de Durby. En tant que Duchesse de Rowcester, Harriet est la mieux placée pour aider Jane à faire son entrée dans le monde. Avec son amie Frances, elles sillonneront les bals à la recherche d'époux.
Mais cette dernière saison, si elle met en avant de nouveaux succès romantiques du Parent Pauvre, signe aussi la fin et la séparation de notre petit groupe d'amis. Une fin heureuse, certes, mais très nostalgique aussi. C'est qu'ils vont nous manquez, ces parents pauvres…! 🥹

Ces personnages hauts en couleurs me font toujours autant rire, je suis ABSOLUMENT fan ! 💙 C'est frais, bon enfant, et drôle ! Une bonne dose de bonne humeur, vraiment la lecture parfaite pour commencer l'année. L'époque et la classe apportent vraiment un plus, c'est pétillant ! Et c'est avec beaucoup d'émotion que je leur dis au revoir 🥹
Cette courte saga de trois tomes mérite vraiment un 10/10 ♥

Avec ce troisième et dernier tome des Chroniques de Bond Street, il est temps de dire au revoir aux aristocrates désargentés et refermer les portes du Parent Pauvre. La lecture du tome 1 et du tome 2 m'avait fait passer un excellent moment et j'étais à la fois ravie et triste de me replonger dans les péripéties de ce petit groupe de personnes complètement hétéroclites. Et pour ne pas changer en ce début de roman, les caisses du Parent Pauvre sont vides et il va falloir trouver un moyen de les remplir. C'est peut-être le reproche que je pourrais à M.C. Beaton pour cette première histoire, c'est qu'elle m'a semblée terriblement banale même si la plume caustique qui me plaît tant est bel et bien présente.

Je ne partais pas forcément conquise pour cette première histoire puisque le colonel Sandhurst ne faisait pas parti de mes personnages préférés, je le trouvais fade, en retrait et plutôt attentiste. Alors quand il doit se rendre chez Sir Randolph pour recouvrer la faramineuse note impayées, cela sentait le sapin pour ce pauvre colonel, je le voyais abandonner sa mission avant d'arriver à destination. Une nouvelle fois, M.C. Beaton dénonce le comportement des riches aristocrates qui rechignent bien souvent à sortir leur portefeuille pourtant bien garni, ils sont riches de leur avarice. Je pourrais reprocher les méthodes pas très académiques des propriétaires du Parent Pauvre pour s'en sortir, mais non, je n'y arrive pas. Pour en revenir à l'histoire en elle-même, elle est donc plutôt classique par sa construction même si j'avoue avoir été surprise par les choix du colonel Sandhurst qui sont surprenants… Bonne surprise !!! C'est la porte ouverte à un ensemble de quiproquo vaudevillesque, c'est drôle, rythmé mais sans réelle surprise.

La seconde histoire pourrait sembler semblable à la première puisqu'il est également question d'un mariage arrangé et d'une autorité paternelle abusive mais je l'ai trouvée mieux construite même si certaines ficelles scénaristiques sont un peu grosses. Lady Jane fuit le carcan familial et compte mettre fin à ses jours après avoir profiter des services et de la table du Parent Pauvre. Mais c'était sans compter sur le flair des propriétaires qui sentent qu'il y a cachalot sous gravillons. Ils vont bien évidemment prendre les choses en main et ils vont faire appel à une ancienne associée pour s'occuper de Lady Jane. Je n'ai pas boudé mon plaisir lors de la lecture puisque M.C. Beaton y a saupoudré une pincée de mystère et une soupçon d'espionnage donnant à cette histoire un tout autre relief. La fin de cette intrigue est même étonnante et détonante, inattendue mais bienvenue.

L'autrice en profite également pour conclure certains arcs scénaristiques qu'elle étalait depuis un certain temps, je pense notamment au fameux collier par lequel tout à commencer ou encore les idylles des parents pauvres qui tiennent encore l'hôtel. Chaque développement trouve sa conclusion et permet à M.C. Beaton de conclure parfaitement sa série. Alors oui, c'est parfois répétitif mais cette critique de la société londonienne fait mouche. Une série drôle et acide avec des personnages haut en couleur et attachant. J'ai adoré détesté Sir Philip 😀

Lien : https://missbiblioaddict.wor..

MC Beaton clôt cette série, probablement sa meilleure, par un véritable feu d'artifice ! Ce tome 3 est une réussite, on est complètement plongé dans l'atmosphère de l'époque. Et ces romans dissuader n'importe quelle lectrice de vivre en Angleterre au début du 19e siècle .

LES CHRONIQUES DE BOND STREET tome 3 de #mcbeaton @agatharaisin_and_co chez @editionsalbinmichel

Quel petit bonheur d'avoir retrouvé mes petits aristocrates désargentés de Bond Street pour ce troisième et dernier tome de la saga.
Je m'y suis attachée, il vont me manquer !

Une belle saga romantique et déjantée sous l'époque de la régence anglaise. Des personnages attachants et pour certains complètent farfelus !

Je ne peux que vous dire, lisez #leschroniquesdebondstreet vous passerez un bon moment de lecture rafraîchissant !

L'hôtel du Parent Pauvre est dans l'impasse ! Lord Gray après un séjour de 6 mois chez Lady Fortescue et sa clique est parti sans payer la note. Sir Philippe las d'être toujours le recouvreur de dettes s'en remet cette fois au colonel Sandhurst pour s'acquitter de cette pénible tâche. C'était sans compter qu'en lieu et place de ramener ladite somme, notre dandy croise la jeune Frederika sur le point de fuir son terrible père et ses idées de mariage forcé. Lui vient alors l'idée d'une rançon …

Quel plaisir de retrouver dans ce troisième tome, l'hôtel du Parent Pauvre et tous ses joyeux résidents, toujours prêts à sauver les demoiselles en détresse et jouant in fine plus aux entremetteurs de rencontres romantiques qu'aux véritables hôteliers. Ce dernier épisode clos les aventures de nos aristocrates désargentés. Alors, le colonel Sandhurst finira-t-il par convaincre Lady Fortescue de vendre, l'épouser et se retirer dans un domaine à la campagne ? Sir Philippe empêchera-t-il l'idylle entre Miss Tonks et l'acteur Mr Davy ? Que deviendra le prodigieux cuisinier Despard ? Arriveront-ils à empêcher Lady Jane de se suicider et recouvrer goût à la vie ? le comte de Mornay de se faire assassiner ? Et ce fameux collier … qu'est -il devenu ? C'est l'épisode de toutes les réponses, accrochez-vous, en route – une toute dernière fois - pour les rues huppées du Londres du XIXè siècle !

Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Chroniques de Bond Street 3 ?
"J'ai eu une nouvelle fois la chance de recevoir ce dernier tome de la part des éditions Albin Michel, que je remercie. J'étais impatience de connaître le destin de nos aristocrates désargentés."

Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Les affaires du Parent Pauvre marchent bien et avec ce nouveau client, un prince, nul doute que les hôteliers pourront bientôt vendre et se retirer enfin du commerce. À moins qu'une jeune femme désespérée ne décide de mettre fin à ses jours dans leur établissement, ruinant du même coup leur réputation..."

Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"Avec M.C. Beaton, ce qui est bien, c'est que l'on sait toujours à peu près à quoi s'attendre. le point négatif, c'est que c'est parfois un peu répétitif. J'ai trouvé que c'était le cas ici pour la première histoire, qui ressemble à la précédente, mais je me suis vraiment régalée avec la seconde. Nous y trouvons un soupçon de mystère, d'espionnage et de crime qui ne sont pas pour me déplaire. Cela ajoute un peu de piquant. J'ai même été extrêmement surprise par l'un des rebondissements, voire même un peu choquée. J'avais encore une fois oublié que rien n'est jamais aussi lisse qu'il y paraît avec cet auteur."

Et comment cela s'est-il fini ?
"J'ai beaucoup aimé la fin, à la hauteur de cette série, extrêmement satisfaisante et qui, pour moi, arrive au bon moment. Prolonger l'histoire n'aurait pas été judicieux et M.C. Beaton a su s'arrêter quand il le fallait."
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* Colonel Standhurst à la rescousse
Le point faible du Parent Pauvre, se faire payer. Lord Gray doit une grosse somme aux hôteliers. le colonel est chargé de le faire payer, mais il préfère recueillir sa fille Frederica qui fuit pour échapper à un mariage forcé, il y voit l'opportunité de demander une rançon pour couvrir les dettes. Jusqu'où iront ils pour récupérer leurs argents ?
* La dernière saison.
Lady Jane Fremney pour échapper à un mariage arrangé et la maltraitance de son père, a fuit le toit paternel, pour se réfugier au Parent Pauvre et profiter d'une semaine sereine et se donner la mort ensuite.
L'hôtel est réservé pour le Prince Hugo Panic, il paye rubis sur ongle. Les aristocrates se doutant que Lady Jane souhaite en finir, lui sauve la vie et décide de l'aider. Ils la confient à la Duchesse de Rowcester, inconsolable de la perte de son enfant. Lady Jane rencontrera le Comté de Mornay.
Points positifs : toujours bien écrit, 2 nouvelles courtes. le livre est le dernier de la série.
Points négatifs : les histoires se ressemblent bien toujours, elles manquent un peu de variétés.