Il me revint en mémoire le vieil adage des esclaves et des déportés : " Dans une prison, cohabitent deux sortes de prisonniers, ceux qu'on enferme et ceux qui les gardent. "
p.364.
Un homme qui avait survécu aux geôles pestilentielles des Spaniards ne méritait pas d’être enfermé une fois de plus, de toute son existence.
p.361.
Alourdi par l’inconscience, le visage marqué de Fèfè semblait moins sauvage ; sa trogne couturée avait retrouvé un peu de son humanité originelle. Privé de ses grimaces nerveuses, il affichait les traits de l’homme qu’il avait été autrefois.
p.331.
Assister à cet accident, c’était comme témoigner de la chute des anges et comprendre qu’ils saignaient.
Je passais ma ceinture, pris mon sabre et mes pistolets, avant de gagner le pont supérieur et les ennuis.
Pour le reste, ils étaient aussi chaleureux qu'une veuve bretonne.
Le temps est un escroc.... L'histoire est une catin.... Une illusion infinie qui n'a de sens que pour ceux qui y baignent
Une lame, c'est utile dans la prison, pas contre la prison.
Voilà, le vilain mot était lâché. L'instruction, le poison des gens simples, qui leur rongeait la cervelle quand il était mal versé.