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Citations sur Le Déchronologue (140)

Les Espagnols sont fous, Villon. Ils n'ont d'oreille que pour leur dieu mort. N"ont d'yeux que pour ce qu'ils comprennent. Et ils ne veulent rien comprendre de ce qui ne leur ressemble pas. Ils ne méritent pas de vivre sur ces terres qu'ils ont volées !
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- On les a pas bien vus... Sont retournés au galop jusque dans le cul qui les a chiés, sitôt qu'on en a fait beugler un !
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La malchance n'est qu'un autre nom pour l'inaptitude, l'homme véritablement libre apprend à plier le destin à sa volonté.
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Rock pour « caillou » en anglais, un mot qui convenait parfaitement à cette musique lourde et grossière. J’avisai un banc éloigné de haut-parleurs et m’y posai prestement, avant de héler le patron :
- Serait-il possible d’écouter cette sérénade un peu moins fort ? Le sang me coule des oreilles.
- Il paraît que c’est ainsi que ça doit être écouté, brailla l’aubergiste, du moins c’est ainsi que les clients l’apprécient.
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À force de déchirer les voiles qui vous dissimulent la vérité, vous n’accordez plus au monde l’illusion nécessaire à la paix de l’esprit.
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- La malchance n'est qu'un autre nom pour l'inaptitude, objecta Pakal, l'homme véritablement libre apprend à plier le destin à sa volonté.
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Laissons aux brutes les tâches discutables et contentons-nous d’en discuter.
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« Fugit irreparabile tempus », écrivit le poète Virgile... Comme il avait tort !
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L'enfer, ce n'est ni les flammes ni les tourments. L'enfer, c'est un désert sans écho.
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p.215.

- Sa belle république huguenote prend chaque jour davantage des airs de royauté, soupira-t-il. Et nos amis boucaniers venus d’Hispaniola, qui nous aidèrent naguère à prendre Tortuga, n’apprécient pas la pluie de nouvelles taxes décrétées depuis le début de l’année.

- Il faut bien financer toutes ces dépenses, souris-je méchamment. Nouveau palais déguisé en bastion, nouvelle estacade, grande campagne de défrichement… Le progrès à un coût…

- Oui, heureusement que votre voyage a été un succès. Notre fortune est assurée désormais… J’espère seulement que cela incitera le gouverneur à alléger les impôts.

Je m’esclaffai :
- S’il y a une chose qui ne sait que prendre du poids avec l’âge, à la manière des gros bourgeois de nos villes de France, ce sont bien les taxes et les octrois. A-t-on jamais entendu parler, ici ou ailleurs, de la suppression d’un impôt, les caisses des puissants déborderaient-elles de louis d’or, de doublons et de guinées ?
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    Afin de mieux exprimer la déchronologie de son récit et ainsi de favoriser l’immersion du lecteur, à quel procédé Stéphane Beauverger fait-il appel ?

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    Il raconte son histoire à l’envers
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