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C'est une relecture, j'avais gardé un excellent souvenir de ce livre mais j'avais plus ou moins oublié le roi Marc et je voulais lire La folie du roi Marc de Clara Dupont-Monod et avoir les deux visions en tête.
La magie de ce roman est due au fait que nous magnifions cette histoire de Tristan et Iseut alors qu'en fait si ils n'avaient pas bu le philtre rien ne se serait produit. Ce breuvage a fait de nos héros des parjures, des menteurs et des assassins ; ils sont devenus esclaves de leur attraction. Avec le roi Marc tous trois sont victimes du destin qui s'est joué d'eux. Quand au pauvre roi Marc il les aiment tellement qu'il finira par leur pardonner.
D'ici quelques temps, car après avoir posé la question, beaucoup de personnes oublient le philtre, je garderai certainement dans mon souvenir, l'histoire de ces deux amants qui après bien des vicissitudes trouvèrent le repos dans la mort.
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Quelle merveilleuse histoire d'amour !
Dans mon coeur, elle dépasse de loin celle de Roméo et Juliette.

Tristan et Iseut s'aiment et doivent tout braver : la culpabilité, la trahison, la vie précaire, l'éloignement...et malgré l'adversité et les obstacles, ils continuent à s'aimer d'un amour pur et inconditionnel.
Cette histoire d'amour a traversé les siècles. de l'amour courtois du moyen âge à nos films modernes, elle n'a pas pris une ride. C'est une histoire universelle. Comme l'amour peut l'être...

Chacun y retrouvera les sarments d'un amour d'adolescent, les lierres d'un amour bien trop encombrant, les buissons d'un amour ardent, les épines d'un amour interdit, les branches sinueuses et tortueuses d'un amour tourmenté, les ronces s'entrelaçant d'un amour fusionnel et éternel...
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" Iseut, amie, et vous, Tristan, c'est votre mort que vous avez bue !"

Une mort lente, qui consume les amants les plus célèbres de la littérature occidentale, devant Guenièvre et Lancelot, Juliette et Roméo, Scarlett et Rhett, Blanche-Neige et les sept nains ( non, là je m'égare...).

Je ne vous ferai pas l'affront de vous trousser un petit résumé à ma façon, censé dire sans dire, histoire de vous appâter.
Le roman de Tristan et Iseut, on y vient tout naturellement, ou bien contraint par un(e) professeur(e) de français au coeur tendre sous des dehors de dragon.
Pour moi, ç'avait été la seconde option.
Les histoires d'amour dont je savais qu'elles finissent mal en général, comme dit la chanson, très peu pour moi.

Et voilà que cette prof, Mademoiselle S., un dragon, un vrai, dont les yeux lançaient des éclairs pour anéantir l'imprudente qui chuchotait au troisième rang, et qui crachait des flammes pour réduire en cendres la moindre faute de ponctuation, je ne vous parle même pas de l'orthographe, et son ennemi juré, j'ai nommé Montaigne dont elle disait pis que pendre, Mademoiselle S. donc, nous mit cet ouvrage entre les mains en espérant que nos coeurs adolescents y répondraient mieux que nos hormones.
Ricanements des vingt-cinq filles et des deux garçons de ma classe de seconde.
Soit ça allait être cucul, soit on n'allait rien y comprendre, vu que passé Balzac avec qui certains avaient déjà bien du mal, la littérature française virait facilement au javanais pour la plupart.

Au premier round, Mademoiselle S. prit les rênes, et nous fit la lecture, dans un silence d'église. Sa voix était pleine de la passion qu'elle mettait en tout, et elle nous embarqua facilement dans le frêle esquif de cet amour nourri au vin herbé.
Mais nous résistions, tout de même. Explications de texte et devoirs se faisaient avec un sourire narquois.
Au second round, Mademoiselle S. fit lire chacun(e) d'entre nous à voix haute, dans la classe un peu chahuteuse pour le coup. Oh, très peu et à bas bruit, le dragon veillait.
Au troisième round, elle nous demanda de relire l'ensemble de l'ouvrage, tranquillement à la maison, pendant les vacances de février.
Dès le mercredi matin de la rentrée, devoir sur table, quatre heures de dissert' à la clé. Une perspective pas follement alléchante...

Quatrième round, le devoir sur table. Tristan et sa copine Iseut nous avaient eu par KO, tous autant que nous étions. Vingt-sept gamins, à gratter comme des fous furieux jusqu'à la dernière seconde, jusqu'au bout de nos mots tant ces deux-là nous avaient rendus intarissables sur leur amour, courtois ou non.

Mademoiselle S., en nous rendant nos copies, irradiait de fierté : le meilleur travail rendu par cette classe de cancres et d'ignorants sauvages, depuis le début de l'année.
Comme dirait Cyrano, "Qu'à la fin de l'envoi, je touche !"

Grâce à Mademoiselle S., superbe Cyrano de la littérature qu'elle défendait avec fougue, cette magnifique et terrible histoire d'un amour maudit est entrée dans mon coeur pour y faire son nid. Comment y résister ?
C'est une merveille.
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Ma centième critique mérite bien une attention particulière ; ça tombe bien, il s'agit de critiquer une oeuvre elle-même très particulière !

Folio nous propose un récit qui bien qu'étant issu d'une chanson de geste, c'est-à-dire, d'une narration orale, m'a agréablement surprise par la facilité avec laquelle il se lit. le phrasé, pour être ancien, n'en demeure pas moins clair, précis et facile à assimiler. le fond du récit est d'une telle modernité, abordant le thème éternel de l'amour passionné entre un homme et une femme (et plus universellement les rapports entre hommes et femmes) que le lecteur (ou l'auditeur car j'ai lu plusieurs chapitres à haute voix pour essayer de m'imaginer écoutant un ménestrel conter cette très belle épopée) n'est jamais perdu mais se trouve, au contraire, en terrain familier.

En termes de synopsis, je me permettrai de faire court ; les amants dont nous parlons sont célèbres. (Oui, ça y est, j'en est terminé avec le synopsis)

En vérité, en fermant le livre, ma première pensée a été la suivante : "Roméo et Juliette peuvent aller se rhabiller !" parce que l'amour courtois, si certains d'entre vous pensent encore qu'il s'agit d'une forme platonique de la passion amoureuse, ils se trompent ! Au Moyen-Âge, on sait aimer avec son coeur, son âme et son CORPS ! Vous n'attendez pas la dernière ligne du dernier chapitre pour enfin voir s'unir les lèvres tremblantes d'émotion d'amants frustrés dans leur désir depuis trop longtemps... Non, non, non, vous découvrez, tout au long de la chanson de geste un amour très physique, une passion très charnelle, une volupté très incandescente... bref l'Amour. Et cela ne signifie pas qu'il est dénué de poésie ou de charme, bien au contraire, il vous captive par sa pureté, vous ensorcelle par son intensité et vous fait définitivement succomber par sa fidélité !

Mais là où le récit m'a totalement déroutée, c'est par sa VIOLENCE. Non, je ne vais pas vous parler de sadomasochisme et si ça vous déçoit, laissez là cette critique et allez acheter "50 nuances de Grey", je ne vous retiens pas...

Aux autres qui ont poursuivi leur lecture, je disais donc que le récit nous décrit un amour absolument violent et destructeur. Bien sûr, me direz-vous avec raison, à cette époque, les temps sont durs, le quotidien c'est la guerre, le rapport à la mort est différent du nôtre, l'espérance de vie n'excède que rarement la quarantaine etc, etc, etc... Il n'empêche ! Il n'empêche que nos amants en prennent plein la tête (bon, là, j'avoue que comme ils trompent très bien leur monde, cocufient le roi, se montrent experts dans l'art du mensonge et de la ruse, je ne peux pas vraiment les défendre mes agneaux mais... quand même, ils en prennent plein la tête alors qu'en réalité, ils ne sont QUE les victimes d'un philtre d'amour et que sans ce philtre magique il y aurait eu peu de chance, voire aucune, qu'ils tombassent un jour follement amoureux l'un de l'autre étant donné qu'ils étaient tous les deux beaux comme des dieux, jeunes et qu'ils dormaient dans la même chambre au château du vieux roi Marc, l'époux légitime d'Iseut...) et que les dommages collatéraux qu'ils causent dans leur entourage sont totalement dévastateurs : trahison, tentative d'assassinat et MEURTRES (oui, au pluriel svp) ! Et n'allez pas croire que nos blonds tourtereaux sont les seules victimes de cette violence, loin s'en faut, ils en sont très souvent les instigateurs ! Ainsi, Iseut n'hésitera pas à commanditer, sur une humeur, l'assassinat de sa plus proche et fidèle servante ; Tristan tuera froidement de son arc et son épée les "félons" qui ont juré sa perte ("rien de plus normal!" vous indignerez-vous. Euh, minute, des jaloux y en a partout, ça ne signifie pas qu'il faille tous les zigouiller, sinon on n'en a pas fini !). Tristan ira même jusqu'à torturer psychologiquement un de ses amis qui l'a recueilli dans son exil pour pouvoir lui soutirer son... petit chien magique ! Juste énorme.

Bon, je vais m'arrêter là, de peur de vous lasser ou de tout vous dévoiler. J'espère seulement vous avoir donné envie de parcourir au plus tôt les 150 pages de cette superbe légende qui a toute sa place dans notre patrimoine culturel.


Challenge ABC 2012/2013
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A l'origine, il existe de nombreux poèmes du douzième siècle qui fondent la légende de Tristan.
Puis elle est comme illuminée par la musique de Wagner.
Et prend finalement place dans la littérature, grâce à Joseph Bédier, De l'Académie Française, qui reconstitue la légende, dans un langage châtié et poétique, à peine teinté d'archaïsme dans son "Roman de Tristan et Iseut".
De son ouvrage devenu classique, Joseph Bédier a décidé, en collaboration avec le célèbre dramaturge Louis Artus, de tirer une pièce.
L'audace est grande d'adapter cette vieille légende celtique, après Wagner et sans la puissance de la musique.
Mais l'auteur de la pièce prouve, grâce à son talent, que le sujet, sans cesse repris depuis des siècles, dans toutes les littératures est encore plein d'émotion.
Il en fait un beau spectacle dramatique en trois actes. Mais ce n'est plus le spectacle romantique de Wagner, c'est un roman d'amour médiéval plein d'humanité et de sincérité.
Le style y est tantôt lyrique, tantôt familier et il fallait l'adresse des deux auteurs pour donner le ton juste à cette adaptation.
En lisant ce texte, paru dans "La petite illustration" on se prend à rêver d'être présent dans ce prestigieux Théâtre "Sarah-Bernhard" en mars 1929 pour la première.
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Voilà une légende du Moyen-Age, qui a parcouru les siècles, inspiré Shakespeare, et que l'on lit encore avec plaisir aujourd'hui.
Il faut souligner le travail de (re)composition de Joseph Bédier qui en a fait, début du 20e siècle, une oeuvre qui reste accessible après plus d'un siècle.

L'histoire en elle-même, on la connait tous même si c'est sans les détails. Une histoire d'amour tragique, qui finit mal comme il se doit. C'est l'histoire, comme le précise la préface, de la fatalité de l'amour, qui l'élève ainsi au-dessus de toutes les lois. Même si ici, de fatalité il n'est point puisque tout commence par un philtre bu par erreur.

Le récit ressemble à toutes ces histoires moyenâgeuses, colportées de villages en villages par les ménestrels et autres troubadours et destinés à faire frémir et rêver. Notre brave Tristan vit moult aventures, tandis que sa belle se morfond et seule la mort réunira les deux amants.
Un classique à lire au moins une fois.
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"Tristan et Iseut" est un grand classique que je connaissais vaguement alors j'ai voulu combler une lacune d'autant plus que le fils de ma copine s'appelle Tristan. C'est une très belle légende médiévale même si le prénom de Tristan lui a été donné parce qu'il est né de la tristesse de sa mère devenue veuve.
C'est l'histoire d'une passion due au philtre d'amour entre Tristan, le chevalier, et la reine Iseut la blonde, alors qu'il doit la conduire à son époux, le roi Marc de Cornouailles. Leur amour est impossible et il va les mener à la mort. Sur leurs deux tombes, les plantes vont s'entrelacer comme pour les relier à jamais.
Richard Wagner en a fait un opéra en 1865 qui lui a fait dire que cette tragédie était un « Poème d'amour séculaire, fondateur, écrit et récrit à l'encre indélébile dans toutes les langues européennes du Moyen-âge. »


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A l'origine, il existe de nombreux poèmes du douzième siècle qui fondent la légende de Tristan.
Puis elle est comme illuminée par la musique de Wagner.
Et prend finalement place dans la littérature, grâce à Joseph Bédier, De l'Académie Française, qui reconstitue la légende, dans un langage châtié et poétique, à peine teinté d'archaïsme dans son "Roman de Tristan et iseut".
De son ouvrage devenu classique, Joseph Bédier a décidé, en collaboration avec le célèbre dramaturge Louis Artus, de tirer une pièce.
L'audace est grande d'adapter cette vieille légende celtique, après Wagner et sans la puissance de la musique.
Mais l'auteur de la pièce prouve, grâce à son talent, que le sujet, sans cesse repris depuis des siècles, dans toutes les littératures est encore plein d'émotion.
Il en fait un beau spectacle dramatique en trois actes. Mais ce n'est plus le spectacle romantique de Wagner, c'est un roman d'amour médiéval plein d'humanité et de sincérité.
Le style y est tantôt lyrique, tantôt familier et il fallait l'adresse des deux auteurs pour donner le ton juste à cette adaptation.
En lisant ce texte, paru dans "La petite illustration" on se prend à rêver d'être présent dans ce prestigieux Théâtre "Sarah-Bernhard" en mars 1929 pour la première.
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Tristan et Iseut, quelle légende magnifique. En fait, nous devrions plutôt dire un mythe, car il transcende tout et nous frappe de plein fouet dans les émotions et nos rêves romantiques. C'est une oeuvre d'origine celtique qui a traversé les siècles pour être encore présente aujourd'hui sur nos étagères et sur nos écrans.

Tout d'abord, le mythe est de tradition orale et fait son entrée dans la littérature écrite au 12e siècle. D'après le bouquin que j'ai entre les mains (Tristan et Iseut selon Joseph Bédier, Texte intégral, Édition Beauchemin), la première apparition d'un récit celtique qui serait sans doute à l'origine de Tristan et Iseut aurait vu le jour en l'an 800. (Il n'y a aucun autre renseignement à son sujet).

Il m'est difficile de donner un score à une telle légende, vu qu'elle transcende le temps. Possiblement, justement, que le fait que je ressens autant de puissance venant d'une oeuvre vaudrait largement la note de dix. C'est ce que je lui attribuerai alors, sans trop de questionnement, car, de toute façon, ce mythe continuera de progresser et de vivre à travers les décennies à venir.
Lien : http://www.sergeleonard.net/..
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A partir des fragments épars retrouvés de la légende de Tristan et Iseut, Joseph Bédier – philologue romaniste français du XIX-XXème siècle, spécialiste de la littérature médiévale – n'a pas simplement joué un rôle de traducteur dans la rédaction du livre et le Roman de Tristan et d'Iseut, mais s'est également évertué à s'imprégner de l'un des morceaux littéraires préservés. Il s'est effectivement largement appuyé sur celui de Béroul, avant d'octroyer au centre du récit de ce dernier, un commencement et une fin en adéquation avec l'esprit Celtique originel.
Gaston Paris affirme dans la préface que « le Tristan et l'Iseut de Béroul, ressuscités par M. Bédier avec leurs costumes et leurs allures d'autrefois, avec leurs façons de vivre, de sentir et de parler moitié barbares moitié médiévales, seront pour les lecteurs modernes comme les personnages d'un vieux vitrail, aux gestes raides, aux expressions naïves, aux physionomies énigmatiques » mais que « derrière cette image, marquée de l'empreinte spéciales d'une époque, on voit, comme le soleil derrière le vitrail, resplendir la passion toujours identique à elle-même, qui l'illumine et la fait flamboyer tout entière ». Comme s'il avait le dessein de résumer le projet du philologue, Gaston Paris rajoute : « C'est donc un poème français du milieu du douzième siècle, mais composé à la fin du dix-neuvième, que contint le livre de M. Bédier. »

***

Évocatrice, la merveilleuse, poignante, tragique, involontaire, éternelle romance des deux amants prouve l'étendue de sa beauté, de sa puissance, de sa magie à travers les lignes de l'aventure inoubliable retranscrite grâce au délicat travail de Joseph Bédier.
Les chapitres s'enchainent habilement au rythme de l'impossible idylle et apportent leurs lots de surprises.
Des sentiments divers de lecture se créent, alors, atour de personnages attachants que des péripéties, où la loyauté et le courage affrontent la couardise et la félonie, attendent.
Le symbolisme, qui agrémente l'histoire dans son intégralité, charme par la force de ses messages.
La narration simple, épurée, singulière touche. La manière de présenter le futur avant que l'action à venir ne se déroule est presque jouissive et réconfortante à l'instant où la promesse finale de la justice se dessine à l'horizon.
Chargée en émotion, la dernière scène, digne des plus grandes tragédies, bouleverse. Il en va évidemment de même pour de nombreux épisodes; d'autant plus les précieux passages gorgés de métaphores magnifiquement bien tournées, trouvées, placées.

***

Le lecteur doit néanmoins s'habituer à l'écriture désuète proposée par l'auteur, afin d'en apprécier les couleurs, la richesse, l'éclat. Comme le souligne Gaston Paris au sujet des protagonistes et de leurs images figées dans le temps, l'écrit authentique possède lui-même une aura d'antan particulière appréciable. Il est par conséquent nécessaire de prendre en considération ce constat pour appréhender correctement l'entrée dans un univers aux trésors insoupçonnés.
Si le dernier épisode marque indéniablement les esprits, la destinée d'Iseut dans le contexte s'avère trop abrupte. En ce sens, les dernières lignes larmoyantes de la fin déçoivent. Il en est de même pour certains passages parfois excessivement brefs. Toutefois, la narration telle qu'elle apparaît peut paradoxalement offrir une plus-value à l'ensemble, puisque son originalité – ou sa forme – proche de la formulation des contes, a le pouvoir de charmer.
Le dernier détail désavantageux concerne la première de couverture de l'ensemble des collections qui aurait visiblement tendance, esthétiquement parlant, à rebuter à tort les potentiels intéressés.

***

Les curieux d'histoire et de poésie, ainsi que les amoureux des passions interdites, trouveront aisément dans le Roman de Tristan et Iseut les clés d'une émotion dont l'intensité n'a d'égal que la pureté vibrante de son essence.
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