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3,63

sur 78 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Commencé sur le jeu de mot du titre , ce livre ne tient pas ses promesses de légèreté, et sa critique sociale est si inaboutie qu'elle ne peut lui servir d'excuse. .

Deux personnages principaux, au sein d'une même entreprise. Une jeune femme dynamique mais bien seule , arrivée à la force des poignets, responsable des ventes désignée par « tu ». Un VRP quinquagénaire bourru, affublé des surnoms de « l'ancêtre » et « l'ours », homme charmant et sensible, en fait, le livre nous le révélera (ha!ha ! Elle a su dénicher le rare en lui!), désigné par l'auteur par « vous ».
Elle est chargée de le licencier (on ne comprend pas très bien, car c'est lui qui réalise le plus gros chiffre de ventes, mais vous savez comme les entreprise sont méchantes). Tous deux apprennent au fil des pages que le travail et la reconnaissance sociale ne sont peut-être pas l'essentiel dans la vie. Sacrée découverte !
Bon, c'est assez cliché, même si il y a des descriptions parfois savoureuses de la solitude des êtres et de la vie de province.
Il y a quelques trouvailles littéraires (le tu/vous, les listes d'adjectifs) mais qui paraissent vite assez vaines. le fait que lui soit passionné de Rimbaud et qu'elle lise Anna Harendt alourdit plutôt qu'il n'élève le propos.
Ce n'est pas un mauvais livre, mais c'est loin d'en être un bon, je trouve.
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Je n'ai pas pu le finir, celui-là, pourtant le thème me plaisait, mais impossible de rentrer dedans! L'auteur a choisi d'alterner la voix de 2 personnages, le vieil employé historique de l'entreprise et la petite jeune qui débarque ; au premier l'usage du "vous" de rigueur, au deuxième le tutoiement de la jeunesse... Et ça, déjà, même si j'ai trouvé l'idée excellente, j'ai pas accroché, ce vous et ce tu m'ont tenu à l'écart, impossible de m'identifier aux héros.
Ensuite il y a ce fait que les descriptions qui sont censées creuser la psycho du personnage, le bâtir dans son ensemble mais aussi dans ses creux, ses failles, sont restées trop... descriptives: et pas assez dans le sentiment, l'émotion. Là aussi, je me suis sentie tenue à l'écart.
Donc... ben j'ai fini par arrêter, à la p.89, parce qu'il ne s'était toujours rien passé ou du moins pas grand chose, et que je sentais que pour moi, ben c'était peine perdue!!!!
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