... espérer que les choses s'améliorent un jour, c'est comme vouloir puiser de l'eau dans un puits qui n'en a jamais contenu. Ce qu'on attend n'existe pas, n'a jamais existé, n'existera jamais.
Les responsabilités vont des parents vers les enfants ! Et jamais l’inverse ! C’est comme l’eau d’une rivière : elle ne remonte pas.
Certaines personnes pourtant très aimantes empêchent leurs enfants de s’élever.
Une année, ce n'est pas 365 jours. Une année, c'est 365 possibilités.
On n'est pas de son pays, on est de son enfance. (Catherine Enjolet)
Grâce à ma mamie, j'ai pu me réfugier dans le seul domaine auquel mes parents n'avaient pas accès : l'imagination.
Imagine qu'on ose et que tout se passe bien !
Ne pouvant rien essayer par moi-même, je ne risquais pas de rater...
Mais je ne pouvais pas non plus recommencer, réussir… et prendre confiance en moi.
Une année, ce n'est pas 365 jours,
une année, c'est 365 "possibles".
Imagine qu'on ose et que tout se passe bien !
- Ce que tu as vécu n'est ni juste, ni normal. Et donc, tu le portes encore.
- Ce n'est pas de ta faute.
- Non, ce n'est pas de ta faute.
- Tes parents et toi, vous avez deux façons différentes de voir les choses. Ils auraient dû comprendre et accepter ta façon d'être...
- Parce que tu es toi, et que tu n'es pas eux.
- Nous ne devons pas être empêchés d'être nous-même.
- Certains parents le réalisent, d'autres pas.