Le Boiteux de Varsovie, tome 8 : Les larmes de Marie-Antoinette

Voisiner avec les plants de fraisiers c’est plus agréable qu’avec le marché aux Puces.

Toujours très amoureux de Lisa, il ne put s’empêcher de craindre égoïstement que les seins ravissants de sa femme eussent à pâtir des assauts répétés de ce jeune goinfre. Mais il n’osa rien dire tant le regard violet s’illuminait quand l’un des mamelons roses disparaissait dans la petite bouche avide. L’époux frustré préférait alors rejoindre son cabinet de travail avec l’impression qu’on lui volait quelque chose.

- Ça alors ! lâcha Adalbert. Décidément, j'ai de plus en plus de mal à connaître le sexe qu'on dit faible !
- Ce qui veut dire que tu commences à vieillir ... que nous commençons à vieillir, corrigea Aldo avec une grimace. Parce que si tu veux le fond de ma pensée, je suis exactement comme toi ...
Et il se hâta d'allumer une autre cigarette...

Quand on espère une belle pêche, il faut appâter sérieusement.

On peut être criminel sans avoir jamais manié une arme ou une pince-monseigneur !

Une jolie femme a le droit de rêver l’impossible.