Je sais pas pourquoi, mais le côté surréaliste de la scène m'a complètement paralysé. Les mauvaises langues diront que j'ai pas le courage ou, pire, que c'est une sorte de subterfuge narratif pour faire durer l'histoire plus longtemps. Franchement, autant de négativité me choque.
C'est magnifique comme l'autosatisfaction peut se persuader qu'elle convoque le génie chaque fois qu'elle balance une phrase ampoulée dans l'air.
_ On finit toujours par vouloir rejoindre l'hypercentre.
_ C'est joli comme formulation, on dirait une citation de Damasio...
Et moi ? Pourquoi je suis ici ? Bonne question. Je crois que le passage dans le néant m'a un peu réinitialisé les neurones. Ou alors c'est la plaine de gazon qui m'a converti au flou mémoriel.