A la fin comme au commencement de sa vie, la destinée de d'Alembert le mit en lutte avec le malheur.
Vainqueur dans son enfance, il a su, par la force de son caractère et la grâce de son esprit, triompher d'une situation difficile et cruelle.
L'excès du mal était le meilleur des remèdes et l'ignorance complète le meilleur stimulant.