"Comme la vie serait plus belle si les télés nous rendaient l'amour qu'on leur porte !!"
Cette exclamation de Robert, grand nigaud enthousiaste devant l'écran fétiche, constitue l'essence sous-jacente au déroulement de l'album. Affection, attachement, agacement, les Bidochon sont pieds et poings liés à la vitrine magique. Et elle leur rend bien, ne les lâche pas, pénètre chez eux au galop, s'immisce dans leur lit. La télé a évolué depuis la parution de l'album en 1991, mais le pouvoir de fascination de l'image sonne toujours juste. Seule l'omniprésence des émissions de cuisine a dépassé les pouvoirs prédictifs de Binet.
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