voilà un livre bien sympathique à lire. J'avoue avoir moins apprécié celui-là que
la bibliothèque des coeurs cabossés, du même auteur... peut-être l'absence du thème de la littérature, de la librairie (dès qu'il il y a une librairie ou des livres au coeur du récit, ça provoque un écho particulier en moi, puisque ça fait partie des lieux que je préfère).
Anita, 38 ans, se retrouve sans sa fille de 19 ans partie faire des études (sa vie?) un peu plus loin. En tant que mère (célibataire), Anita, se rend compte comme sa vie est un peu vide sans sa fille et essaie de se (re)trouver. Elle est va tester de nouvelles choses, se confronter à de petits challenges et rencontrer de nouvelles personnes.
J'ai eu du mal à démarrer ce livre, les 150p sont longues et j'ai été assez peu touchée par Anita (heureusement le style est facile à lire!!). Et depuis quand 38 ans c'est vieux???? peut-être est-ce parce que je m'approche de cet âge là, mais je ne me reconnaissais en rien dans ses propos concernant son âge.
Et puis, petit à petit, je me suis laissée touchée par cette Anita, pleine d'énergie, douée d'empathie.
Le style de
Katarina Bivald est tours agréable. Dans certains passages, elle a réussi à me faire retrouver certaines émotions ou sentiments, liés aux petites choses de la vie, les petits anodins, mais qui sont très justes. Une petite lecture agréable parfaite pour un long weekend ensoleillé de l'ascension.