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3,33

sur 470 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Après avoir adoré "la bibliothèque des coeurs cabossés", j'ai sauté de joie en voyant ce titre sur les rayons de ma médiathèque.
Sauf que je n'ai pas du tout accroché.
Tout m'a semblé fade et long.
Anita est une maman solo de 38 ans qui travaille dans un supermarché. Sa fille rentre à la fac et quitte le nid familial. Anita se sent désoeuvrée. Elle qui a consacré toutes ses heures de libres à sa fille pendant 19 ans.
Elle compte les heures qu'elle doit tuer, meubler, occuper.
Se retient d'appeler sa fille au téléphone.
Et au détour d'une bière partagée entre copines, elle se décide à réaliser ses rêves de jeune fille.
Prendre des cours de moto.
Avoir une maison.
Etre indépendante.
Quelques bières plus tard, elle rajoute se trouver un mec.

En fait je n'ai pas adhéré au postulat de départ que l'héroïne s'ennuie au point d'enfiler tout doucement son pull pour que le temps passe plus vite. J'ai trouvé que c'était exagéré, que ça manquait de crédibilité (même pour un chick lit). 38 ans, on a la vie devant soi. Sa fille n'est pas morte. En plus elle travaille même si son job n'est peut être pas le plus palpitant. Elle a un réseau d'amis et collègues.

J'ai persévéré dans ma lecture en me disant que j'avais adoré son premier livre, que des copines avaient bien aimé et qu'il finirait pas y avoir des choses intéressantes ou passionnantes. Mais il ne se passe vraiment pas grand chose dans cette histoire.

Bref déçue.
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Ouille....
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans la vie d'Anita, la quarantaine bientôt mais qui parait en avoir plus de 60.
Anita, maman célibataire, voit sa fille partir à la fac. Elle lui a tout donner, ses rêves et sa liberté. Elle mène une vie plus que tranquille entre le mise en rayon dans son supermarché, sa clope et ses deux copines avec une bière dans un bar pas tiptop.
L'attrape lecteur est bon. Un avant gout qui s'annonce prometteur et une héroïne tout en couleur. Et bien encore maintenant j'attend encore que l'héroïne m'éblouisse vraiment.
Anita aurait du me plaire, je suis de sa tranche d'âge mais malheureusement elle a mis du temps à me convaincre. Trop de temps même. J'ai commencé à vraiment accrocher au bout de 55% de ma lecture (je parle en ebook désolée).
Tout l'avant-gout post coït est une succession de jours sans trop de saveurs.
C'est bien dommage.
Alors que c'est le second roman de Katarina Bivald qui ne me convaincs pas trop, je me demande si je devrais abandonner le chick lit suédois. Sachant que ce genre de littérature c'est quitte ou double pour moi.
J'ai toujours besoin de personnages forts pour me faire passer la pilule sinon je m'ennuie fortement.
C'est loin d'être désagréable à lire loin de là, je ne suis pas le bon public.
Affaire à suivre pour des prochains chick lit.
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Ce deuxième roman m'a paru très long, il m'arrivait de décrocher régulièrement et de devoir relire le passage.
Il n'y a pas de surprise, juste des personnages à fort caractères qui sont plus ou moins attachants. Des relations compliquées.
En fait, il est construit plus ou moins sur la même trame que le premier roman "La bibliothèque des coeurs cabossés".
Ce sera donc mon dernier Katarina Bivald.
Pour ceux qui l'ont lu, venez tester vos souvenirs de ce livre, s'il vous en reste ;-), sur le quiz du même nom.
Merci à Basileusa pour ce pioche dans ma PAL.
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Lecture détente après le très sombre "Candyland "
Une lecture de hasard , je voulais juste m'aérer la tête
Une histoire pas désagréable mais pas transcendentale non plus
Une récréation avec Anita suédoise un brin foldingue qui décide à presque 40 ans de prendre des cours de moto
Assez drôle et léger , juste ce qu'il me fallait
Une lecture de parenthèse
Livre trouvé dans une boîte à livres par ma soeur et paf tombé entre mes mains et voilà
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Arrgh ! C'est une chose rare, mais je me suis arrêtée au premier tiers du livre. C'est terriblement lent et ennuyeux. Quand donc vient le jour où Anita envoie tout valser ?... car elle reste à stagner dans son quotidien durant tout le premier tiers.
Rien de palpitant dans ses rêves ni ses rencontres. le rythme est extrêmement plat, sans surprise. Une grue serait bien utile pour tourner les pages... à défaut de motivation.
On est également loin de la délicieuse ambiance de "La bibliothèque des coeurs cabossés". Difficile de s'attacher à l'histoire, trop lente, et aux personnages, mous et insipides.
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Anita Grankvist est une femme de 38 ans qui se retrouve seule, le jour où sa fille Emma, 18 ans, décide de poursuivre ses études loin de la maison. Ce départ est difficile à accepter pour la jeune maman qui n'avait pas prévu de passer son temps libre et ses soirées sans sa fille adorée. du coup, notre chère héroïne décide de réaliser ses rêves les plus fous qu'elle avait mis de côté depuis plus de 20 ans, des rêves de jeunesse comme : être indépendante, acheter une maison ou encore apprendre à faire de la moto. Ces idées, qui au fond ne sont pas si extravagantes que ça, vont dans un premier temps mener Anita dans une moto école où elle y fera la connaissance d'un jeune et beau moniteur...
Le jour où Anita envoya tout balader est un roman contemporain avec une petite touche de chick-lit, sans oublier la romance qui s'invite pour un joli et doux mélange.
Je viens de vous faire en quelques lignes le résumé du livre complet qui fait 464 pages !
Évidemment, l'histoire est étoffée de petites choses rigolotes, d'une petite pointe d'humour qui est la bienvenue, de personnages sympathiques, drôles, touchants et plaisants, mais malheureusement l'ensemble est trop plat et manque d'originalité et de rebondissements.[...] La suite → http://www.leslecturesdelily.com/2016/08/le-jour-ou-anita-envoya-tout-balader.html

Pour plus d'avis et d'actualités littéraires, RDV sur www.leslecturesdelily.com
Lien : http://www.leslecturesdelily..
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Comme dans La bibliothèque des coeurs cabossés, le jour où Anita envoya tout balader trace le portrait d'une femme effacée qui, suite à un événement marquant, décide de prendre sa vie en main, quitte à s'attarder sur le devant de la scène. Depuis de nombreuses années, Anita travaille à Extra-Market : elle s'est forgé une vie remplie par un boulot et quelques soirées entre amies, qui lui offraient un sentiment de plénitude. Toutefois, le départ de sa fille agit comme un élément révélateur sur cet univers bancal qu'elle s'est créé. Anita devient alors lucide sur cette vie qui ne correspond en rien à ses attentes et ses espérances de jeune femme. L'insouciance qui gouvernait ses 18 ans s'est envolée et, pourtant, ses rêves ne l'ont pas quittée.

Une fois de plus, Katarina Bivald élabore des portraits de personnages hauts en couleurs. On s'attache facilement à l'héroïne comme aux personnes qui composent son entourage. Ensemble, ils forment une galerie qui entre parfaitement dans le genre de la chick-lit. Peu d'originalité donc dans ce schéma romanesque mis en récit à maintes reprises. Seule se démarque la relation d'Anita avec sa mère qui est, de fait, touchante. La complexité du lien qui unit les deux femmes est à l'origine du comportement d'Anita qui peut paraître insensé face à certaines situations. Ainsi, elle fait preuve d'une véritable obsession lorsqu'elle apprend que sa mère a eu un amant. En recherchant avec frénésie l'identité de cet homme, elle réalise malgré elle un transfert sur sa propre relation avec son jeune amant, qui ne pourra être résolue qu'une fois sa quête achevée. Alors qu'Anita cherche à accomplir ses rêves de jeune femme, aux dépends de sa vie de mère, elle prend connaissance de la vie sentimentale de sa mère et découvre ainsi qu'elle était, elle aussi, une femme avant tout.
Lien : http://www.laplumedeco.fr/le..
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Anita Grankvist a 38 ans et sa vie se résume ainsi : mère célibataire, elle travaille chez Extra-Market et habite à Skogahammar avec sa fille Emma qui, à 19 ans, part faire ses études à Karlskrona (ailleurs en Suède). Sans sa fille à la maison, le quotidien d'Anita devient morne. Elle se retient de ne pas harceler sa fille par téléphone et compte les heures avant son prochain retour. Alors, sans réfléchir, pour ne pas tourner en rond elle décide de faire quelque chose qu'elle a toujours rêvé de faire : prendre des cours de moto.
Personnellement j'avais adoré son premier roman La bibliothèque des coeurs cabossés, alors forcément je voulais absolument lire le petit nouveau. La ressemblance des couvertures fraiches, colorées et rigolotes y était pour beaucoup je crois. Mais je préfère vous prévenir tout de suite : les deux romans sont très différents (et malheureusement le deuxième ne supporte pas la comparaison avec le premier). Oublions La bibliothèque des coeurs cabossés (qui était un roman avec une héroïne passionnée de lecture et dont l'intrigue tournait autour des livres) et concentrons-nous sur le jour où Anita envoya tout balader car, sans cette comparaison, ce roman a du bon.

Anita est une anti-héroïne : enceinte à 19 ans, elle a appris à se débrouiller seule. Elle mène une vie simple avec sa fille, son travail, sa mère légèrement sénile en maison de retraite spécialisée et ses copines Pia et Nesrin avec qui elle décompresse au bar le Réchaud à alcool. N'ayant pas de permis de conduire, elle fait tout à pieds (mais pourquoi en aurait-elle besoin puisque ses centres d'intérêts son à portée de main ?). Mais quand Emma quitte la maison, Anita a «le syndrome du nid vide» : beaucoup de temps pour s'apitoyer et repenser à ses rêves de jeunesse qu'elle a laissés de côté.
Alors, sur l'insistance de ses copines, elle décide de reprendre sa vie en mains. Pour occuper son temps libre, elle s'implique dans l'organisation de la Journée de la Ville et s'inscrit à des cours de moto. Lukas, son moniteur de 9 ans de moins qu'elle, ne la laisse pas indifférente et, petit à petit, elle s'aperçoit que même si sa fille peut encore parfois avoir besoin de son aide, elle est tellement occupée que le temps file. Elle en profite aussi pour rendre plus souvent visite à sa mère et bizarrement ça lui fait du bien.
Ainsi va la vie d'Anita qui lui réserve bien des surprises. Elle dont l'existence suivait son train-train quotidien, va se retrouver au coeur d'un tourbillon d'événements. Il va lui falloir choisir, décider et parfois même souffrir pour avancer, car à 38 ans une jeune femme a encore tellement à faire ! La crise de la quarantaine n'a qu'à bien se tenir, Anita et ses copines sont gonflées à bloc pour la surmonter.
Katarina Bivald écrit avec des mots simples et accessibles à tous, les chapitres sont courts, les paragraphes aussi et nombreux sont les dialogues. Si les prénoms des personnages sont courts donc assez simples à retenir, les noms des villes suédoises en revanche sont tellement complexes que nous sommes bien incapables de nous repérer (Emma est-elle vraiment partie loin de chez sa mère ?). L'histoire a du mal à démarrer je trouve mais la deuxième moitié du roman est bien sympathique et il ne faut pas rater la fin. le gros bémol à mes yeux, c'est le fait de citer des marques en permanence (produit, magasin ou même jeu-télé), je ne vois vraiment pas ce que cela apporte…

Le jour où Anita envoya tout balader est un «feel-good book» en ce sens qu'il raconte la vie extraordinaire d'une femme ordinaire. Chacun de nous va à un moment donné se retrouver dans une situation de la vie quotidienne, et cette sensation de vécu nous accorde une place privilégiée à nous lecteur, une sensation de proximité avec les personnages du roman. C'est très plaisant et très agréable à lire.
Lien : http://carobookine.com/le-jo..
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Petit livre tranquille issu de la plume de l'auteur des Bibliothèques cabossées. Moins de fraîcheur ici et d'inventivité. le thème aurait pu s'y prêter mais la vie dans une petite ville suédoise semble être un tel pensum, un tel fardeau à traîner que l'on se demande comment cette endroit est encore habité. Y trouver l'inspiration peut être une gageure tant la platitude des vies, les préoccupations de chacun suintent l'ennui. Mais le charme de ce roman réside dans les petites choses nécessaires, tout petits évènements, brèves rencontres, amitiés et amours naissantes et l'importance que l'on accorde à la communauté permet à chaque personne de meubler sa vie au milieu d'un environnement qui, sans cela, serait invivable. La richesse des relations, l'humour omniprésent rend cette bourgade presque sympathique. Ce n'est pas tant la pléthore d'activités qui rend la vie supportable que le coeur que l'on y met pour réaliser ce que l'on fait.
Une leçon de vie, toute simple, l'air de rien, tel est ce roman.
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livre sympathique à lire durant les vacances.
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