Entre chiens et loups, tome 2 : La couleur de la haine

Très déçue par ce tome 2. L'univers est toujours aussi peu exploité. Je n'ai pas du tout aimé les personnages principaux et ce qu'ils deviennent. L'intrigue est tellement faiblarde que j'ai trop ressenti le côté jeunesse. La fin est presque absurde tellement je n'y ai pas cru. Bref, je ne continue pas cette saga.

Ce deuxième opus permet de creuser en profondeur les fragilités de Sephy et de Jude, le frère de Callum, jusqu'à ce que ces dernières les submergent chacun leur tour et les amènent à commettre l'irréparable💥

Malorie Blackman a le don de nous tenir en haleine dès les premières pages du livre et de manier le cliffhanger comme personne 🧨 En bref, si tu débutes un de ces romans tu sais qu'il sera fini dans les 48 heures 😱 et c'est très clairement ce qu'il s'est passé pour moi avec ce second opus !

Il y est question de maternité, de dépression post-partum, de deuil, de harcèlement, de solitude, de sentiment d'amour sous toutes ces formes et de haine.

Pour moi, l'autrice réussit avec brio à démontrer les affres et les horreurs que la haine et ou le désespoir peuvent amener à commettre. C'est bluffant d'humanité et de tristesse ❤

J'ai également adoré que les personnages de Jasmine (la mère de Sephy) et de Meggie (la mère de Callum) soient plus présentes et qu'elles accompagnent tant bien que mal les 2 protagonistes face à leur profonde solitude.

La toute fin est simplement horrible. Elle est criante de réalisme et de questionnements sur la manière dont l'humain peut faire face avec son enfant, la chair de sa chair, à un deuil impossible et à une réalité qui manque à la fois de tolérance et de bienvaillance.

La dernière interrogations qui demeure est sans doute celle-ci : comment peut on se résigner à offrir à son enfant un monde plein de haine et de rejet de l'autre ? 👩‍👧 Et peut-être également : comment peut-on le priver du choix de ce monde ?
Un coup de foudre incroyable 🎆

Un second tome qui me brise encore plus le coeur que le premier! Je suis passée par tous les stades de colères et de peines possibles. Ce second tome est d'une certaines manières encore plus sombre que le premier. On se concentre plus sur l'état psychologique des personnages. À quel point les événements précédents ont impacté le mental des protagonistes. C'est déchirant. D'autant plis avec cette fin horrible. Malgré le fait que je trouve ce tome un peu au-dessous du premier, j'ai une envie irrépressible de sauter sur le troisième tome, que n'ai pas encore, malheureusement.

Ce tome est aussi prenant que le premier.
Les thèmes forts, tels que le racisme, l'intolérance, les classes sociales..., restent inchangés.
J'ai moins apprécié le personnage de Sephy dans cet opus, je l'ai trouvé moins combattive mais plus dans la réflexion.
On suit plus Jude, un personnage machiavélique , parfois déchiré entre ses convictions et ses sentiments.
J'ai aimé retrouvé les chapitres dans lesquels on suit la narration d'un personnage.
J'ai hâte de poursuive la saga.

un second tome qui me décoit tout autant que le premier. Une histoire pas accrochante, ici même plus de romance, juste une future maman qui semble détester sa fille. de plus, alors qu'on lui apporte de l'aide, elle se montre d'une méchanceté incroyable, tape des crises dignes d'une enfant de 5 ans. Alors qu'avant elle semblait au moins vouloir la disparition de ce racisme, ici on n'a même plus cette impression. Bref, j'ai beau avoir l'intégral, je pense m'arrêter ici.
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La suite est vraiment captivante mais mes 2 tomes préférés sur les 4 sont le tome1 et le tome 4.

Ici nous suivons l'histoire entre l'héroïne et le frère de l'homme qu'elle a aimé dans le tome 1. le lien est très tendue et le frère de son amour perdu a plein de ressentiments envers elle. Ca reste très addictif et dramatique

Ce deuxième tome est plus sombre et plus dur que le premier. Dès les premières pages le ton est annoncé, ce qui nous fait plonger directement au coeur de l'action.

Ce deuxième opus est principalement concentré sur les personnages de Sephy et de Jude le frère de Callum.

Tandis que Sephy tente d'avancer dans sa vie de jeune mère et d'élever sa fille dans un monde de chaos et d'hostilité, Jude lui tend à échapper à ses erreurs du passé malgré l'aversion qu'il éprouve envers les primates. Ce que l'on peut remarquer c'est que les deux personnages sont très seuls, se renferment sur eux même et sont très méfiants vis à vis de leurs proches. Leurs blessures du passé les empêchent d'avancer ce qui finit par leur faire commettre les mêmes erreurs entraînant des conséquences dramatiques. L'autrice a su parfaitement dépeindre le déclin progressive des personnages par les évènements auxquels ils sont confrontés ainsi que par le point de vue de personnages secondaires.

C'est une suite assez dure à lire qui ne laisse aucune perspective d'espoir et d'harmonie entre ces deux peuples. J'ai apprécié ma lecture et l'avancée de cette histoire avec ce second tome tout aussi captivant que le premier. Décidément je suis conquise par la plume de Malorie Blackman ! L'écriture y était fluide et poétique ce qui rendait ma lecture très agréable. Il me tarde de m'engager sur la suite de cette saga dont les thématiques font écho dans notre société.
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Aux commandes de la Couleur de la haine, il y a tout d'abord Sephy qui va encore davantage se battre pour ses idéaux sans prendre le chemin de la haine, et Jude, le grand frère de Callum, qui lui, se laisse totalement dévorer par celle-ci. Mettre en lumière ce personnage assoiffé de vengeance et de justice a été un pari plus que gagnant pour Malorie Blackman. C'est même la raison pour laquelle ce deuxième tome est mon préféré de la saga. Avec Sephy et Jude, La Couleur de la haine emprunte deux chemins en totale opposition.

La Couleur de la haine émeut et prend aux tripes, bien plus qu'Entre chiens et loups avec d'un côté un jeune homme torturé et perdu dans cette violence meurtrière et cette jeune femme à la recherche d'une solution plus pacifique pour elle et l'ensemble de la société.
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Il y a quelques jours seulement, je découvrais le premier tome de la saga entre chiens et loups (retrouvez ma chronique juste ici). Je vous le rappelle brièvement, c'était une oeuvre poignante et émouvante qui m'a bouleversée jusqu'à la dernière page. Des sujets forts étaient abordés de manière percutante et c'était dur à lire. J'ai pris une claque. Pourtant, j'en veux à l'autrice pour la fin qu'elle a choisi.. même si elle était nécessaire. Évidemment, après ça, je ne pouvais pas rester dans le flou et enchaîner avec une nouvelle lecture comme si de rien n'était. Il fallait absolument que je continue sur ma lancée. J'ai donc commencé le deuxième opus.

Bon. Je préfère vous prévenir tout de suite, ça ne l'a pas fait du tout. Cette suite a été une bien belle déception. On a droit à du blabla, encore du blabla, toujours du blabla, et basta. J'ai trouvé ça long et lent, voire interminable. C'était mou, c'était plat et j'ai passé mon temps à attendre qu'il se passe quelque chose (de bon ou de mauvais, peu importe, je désespérais). Malheureusement, pas de rebondissements ou de coups de théâtre à l'horizon. Nous suivons les points de vue de plusieurs protagonistes et leurs histoires s'enchaînent — ce qui nous permet d'en apprendre plus sur certains — mais c'est tout, ça s'arrête là. Rien n'avance par rapport à l'intrigue principale et ça m'a frustrée parce que j'avais mille et une attentes. Je pensais à des choses, j'en espérais d'autres, j'imaginais des scènes, et tout a été balayé d'un revers de main.

Côté personnages, nous n'avons pas été gâtés. Perséphone Hadley — autrement appelée « Sephy » — est peut-être la pire, vu qu'il s'agit de l'héroïne et que tout tourne autour d'elle. Je peux aisément comprendre le malheur dans lequel elle vit suite au drame qui s'est passé à la fin du volume précédent, il n'y a pas de problème avec ça, seulement, après cet évènement, elle a complètement changé (et ce n'est pas un compliment). Oubliez la jeune fille qui a eu une prise de conscience et qui a ouvert les yeux sur le monde. À présent, nous sommes face à une princesse qui prend les gens de haut et les envoie bouler si un mot qui ne lui convient pas sort de leur bouche. On l'aide, on la soutient, on l'épaule, on la protège.. et madame n'en fait qu'à sa tête. Quelle ingrate ! À plusieurs reprises j'ai eu envie de la secouer comme un prunier ou même de la baffer. Comment peut-elle agir de cette manière quand des gens se plient en quatre pour la préserver chaque jour qui passe ? Comment peut-elle se coucher le soir sans une once de regrets ? Comme peut-elle se servir de certaines personnes pour son propre intérêt ? Comment ose-t-elle repousser celles et ceux qui ne lui veulent que du bien et qui, surtout, l'aiment ? Je n'ai pas compris la plupart de ses réactions. Il en va de même pour son opinion sur les nihils et les primas. Un coup elle veut se battre pour l'égalité des deux camps, la fois d'après elle veut déglinguer tout le monde. Ah là là. Jude, en ce qui le concerne, est aussi sur le devant de la scène. On le suit d'un peu plus près et on en apprend plus sur lui, sur ses humeurs ou ses sentiments. Ne vous détrompez pas, l'autrice n'a pas cherché à le rendre plus humain pour le lecteur. On le voit simplement sous un nouveau jour.. le temps de quelques chapitres uniquement. Après un certain passage qui m'a choquée (je m'y attendais mais pas maintenant, pas comme ça), il est redevenu cet être aveuglé par la haine. Je le méprise et je suis curieuse de voir le sort qui lui est réservé dans les prochains tomes. Sinon, nous suivons Meggie McGrégor (qui a besoin de s'accrocher à quelque chose pour ne pas sombrer) et Jasmine Hadley (qui a pris du recul et s'est remise en question), les mères de notre couple phare. Quant à Minerva et Cara Imega, un nouveau personnage assez touchant, je les ai appréciées, mais sans plus. Finalement, je me rends compte que Callum faisait tout, dans le volume précédent. Il dégageait du charisme et était fort, brave, intelligent et courageux.. Il me manque.

Je vais me répéter mais cette suite n'a pas été à la hauteur de mes espérances. Beaucoup de dialogues, de monologues, de conversations qui ne mènent à rien, peu d'émotions, bref, rien de bien captivant. Je ne sais pas où Malorie Blackman a voulu nous mener, néanmoins, je retiens une chose : la couleur de la haine n'est qu'un tome passerelle / de transition. D'un côté ça se lit très vite (j'ai achevé ma lecture en moins de vingt-quatre heures), d'un autre je n'en voyais pas le bout. le rythme n'avait rien d'accrocheur et les personnages, qui ne savent pas ce qu'ils veulent et passent leur temps à changer d'avis ou s'apitoyer sur leur sort, m'ont posé problème. Malgré tout je reste curieuse de découvrir la suite, qui m'attend bien sagement sur mes bibliothèques. Merci aux éditions Page Turners pour l'envoi de ce livre et pour la confiance qui m'a été accordée. ♥
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A l'inverse du premier tome, j'ai trouvé que tout était très lent et très long. Il ne se passe pratiquement rien dans celui-ci. On continue à suivre la vie de nos protagonistes, à alterner leurs points de vue, mais rien n'avance dans l'intrigue que je pensais principale. On ne nous parle plus des rebelles et on accepte presque le racisme. L'histoire tourne autour de Sephy et d'un nouveau personnage qui apparait. On a de long monologues sur le sujet et franchement, je n'ai pas trouvé ça intéressant. Pas plus que les états d'âme de Jude, le frère de Callum, qui reste un personnage franchement antipathique. Je ne le supporte pas. J'ai cru à un moment qu'il allait changer mais, en fait, c'est devenu pire. Je le déteste. Il véhicule tous les clichés que les Primas ont sur les Nihil (et en gros, dans notre société, que les Blancs ont sur les personnes Noires, en disant qu'elles sont toutes violentes, sanguines et irréfléchies).

Le parallèle avec notre société m'a semblé moins marqué. Ici, ce n'est pas le principal sujet, et je n'ai rien vu de véritablement « choc ». Il n'y a qu'un passage qui m'a semblé plutôt très violent, mais sur lequel je suis restée assez imperméable tant j'étais détachée de l'histoire. C'est pourtant un élément qui va donner le ton aux chapitres suivants, qui va donner une sorte de trame. Seulement, j'étais en dehors de tout ça… Je ne retrouve pas notre intrigue principale, celle que j'avais imaginée. Je me suis donc plutôt ennuyée, et je ne comprends pas du tout les réactions de Sephy.

Les personnages sont comme très lointains pour moi. Ils ont tous des actions et des pensées qui m'échappent, ils changent d'idée comme ça et il faut pouvoir les suivre. Il y a beaucoup de blabla qui au final, ne fait rien avancer. Je n'ai pas vraiment compris l'intérêt de ce tome, du coup, et j'espère que les choses vont changer dans le tome suivant.
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