Avril 1792 dans Strasbourg en effervescence. Les troupes autrichiennes, prussiennes et russes se massent à nos frontières. La Patrie est en danger ! " Comme il est fâcheux que nous n'ayons pas un chant de guerre destiné à mener nos bataillons au combat ! " s'exclame Frédéric Dietrich, le maire de Strasbourg, en se tournant vers Claude-Joseph Rouget de Lisle : " Donnez-nous quelque chose de votre composition, un chant hardi qui puisse encourager nos soldats. " Ainsi ...
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