Et pour le pire

86 ans, toutes ses dents et toute sa tête, Vincent n'attend qu'une seule chose avant de pouvoir trépasser, se venger. Une vengeance qu'il rumine depuis vingt années. Pas un seul jour, il ne vit pas avec le souvenir de sa chère Bénédicte, l'amour de sa vie, sauvagement tuée par une bande de bon à rien. Il revoit ce qu'a dû endurer sa femme : les sévices, les brûlures, les viols, les lacérations, les humiliations, la mort lente. Il hurle la douleur de sa perte. Il pleure sa disparition, jour après jour. Il noie sa tristesse dans la boisson. Il est devenu le vieux grincheux, celui que l'on montre du doigt, celui qu'on évite à tout prix. Sa solitude est brisée lorsque la belle « sunshine », Magalie, son aide ménagère, passe des petits moments avec lui. Son neveu malgré sa servitude n'est qu'un petit avorton qu'il adore enquiquiner. Vincent et toute sa douceur de vivre se sont enfuis ce maudit jour. Il se prépare. Plus que quelques jours et son plan se mettra en marche. Il n'a pas peur de la mort, il l'attend avec impatience, les bras grands ouverts. Seul petit bémol, ses nouveaux voisins. Il n'y a rien contre eux, même pas leur origine évidente, au contraire cela lui rappelle de merveilleux souvenirs. Ce qui l'embête c'est le fait qu'ils écoutent ses confidences. Malgré toute son énergie à les éviter, il ne veut pas que les malheurs, les siens, s'abattent sur cette magnifique famille. Il faut dire que les bras de ce papa seraient la force qu'il lui manque. Et puis la maman, flic, a plus d'un tour dans son sac. Une team exceptionnelle pour un boulot machiavélique !


Je crois que j'ai été accaparée dès les premiers instants par ce vieux monsieur et son caractère exécrable. Un véritable ronchonneur qui n'a pas sa langue dans sa poche et surtout qui ne déroge pas à ce qu'il a planifié. Sa douleur est évidente et son moyen de l'évincer est d'une certaine façon honorable. Qui n'a pas rêvé de se faire soi-même justice ?! Malgré son grand âge, il n'a pas perdu le nord. Son côté acariâtre, fonceur, têtu, et un peu maso sur les bords, j'approuve à 100%. Il est loin le papi pantouflard. En dehors de ce contexte de vengeance « terrible de la mort qui tue », une autre histoire tisse sa toile et je l'ai trouvée splendide. Elle contrecarre parfaitement l'image du papi en tenu de camouflage apprêté de son fusil. Un thriller que j'ai tout simplement adoré. le scénario est hors du commun (non mais franchement un papi en commando, il fallait le faire). de l'action, de nombreux rebondissements, une intrigue magnifiquement bien ficelée et surtout des voisins au top. J'ai apprécié le rythme que donne Noël Boudou à son histoire. Une plume vive, souvent agrémentée d'un humour tranchant, qui sait nous mener par le bout du nez.


Si au départ c'était pour le meilleur … ET POUR LE PIRE a su me séduire par son originalité. Un personnage atypique motivé par un puissant sentiment de vengeance. Un cocktail explosif qui t'explose à la figure, là, gentiment pendant que toi t'es bien installé.


Je recommande vivement et chaleureusement. Vous n'allez pas être déçus !
Lien : https://lesmisschocolatinebo..

Après avoir lu "Benzos" du même auteur - un thriller tourné vers la psychologie des personnages - c'est ici dans un thriller pur que l'auteur nous entraîne. Vincent Dolt, personnage clé de l'histoire, a 86 ans, une seule idée le tient en vie : la vengeance de l'assassinat de sa chère et tendre Bénédicte, il y a 20 ans de cela.

"Ma Bénédicte est morte, donc, il y a vingt ans. À 65 ans. Violée, battue, … Son calvaire a duré dix-huit heures. Dix-huit heures pendant lesquelles ses agresseurs se sont défoulés sur elle…"

Reclus chez lui, sa vie millimétrée aux mêmes activités journalières, il a délaissé sa vie sociale et attend! de nouveaux voisins vont, petit à petit, le faire revenir à une vie presque normale, une belle amitié va naître. Mais sa vengeance est toujours ancrée en lui… et le pire est à venir!

Je n'en dirais pas plus sur l'histoire, mais l'auteur a fait fort et des scènes terribles vont se jouer sous nos yeux, alors attention âmes sensibles s'abstenir. Quelques rebondissements viennent accentuer ce drame. La vengeance sera dure et amère. Une révélation inattendue…

Attention à vous, c'est chaud bouillant, les mots et scènes sont posés là sans détour. Je remercie vivement les éditions Taurnada, Joël Maïssa ainsi que l'auteur pour cette lecture décapante.

Lien : https://passionlectureannick..

Le destin a malheureusement décidé de séparer Vincent de sa douce Bénédicte.
Il y a vingt ans...

Vingt ans que Vincent attend la sortie des assassins de sa femme.
Vingt ans que Vincent prévoit sa vengeance.
Vingt ans que la haine lui donne la force.
Vingt ans qu'il est mort de l'intérieur et survit.

"Pour le Meilleur et pour le Pire"

Vincent Dolt est un petit papy de 86 ans, au sal caractère, grincheux et associable qui n'a pas peur de faire l'apéro à toute heure de la journée.
Après un mauvais départ avec ses nouveaux voisins d'en face France et Bao vont lui changer la vie, prendre soin de lui mais aussi prendre tous les risques possibles pour l'aider.

Une histoire de vengeance mais de famille également.
J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur que je découvre. Des mots simples mais qui ont de la puissance ce qui donne beaucoup d'émotion avec un brin d'humour.
Le personnage de Vincent est extrêmement bien construit, je me suis beaucoup attaché à ce petit vieux ronchon et têtu. Il aime sa Bénédicte sa ne fait aucun doute.
Le personnage de Bao m'a un peu moins convaincue, avec ses plus de deux mètres de haut et ses cent-trente kilos de muscle avec une force sur humaine.
Une histoire qui se lit incroyablement bien, j'ai passé un super moment avec toutes les péripéties que va traverser le trio même si j'ai trouvé le scénario un peu farfelu.
Est-ce que cette vengeance va être une réussite ?
Vincent va-t-il retrouver le goût de vivre?
À vous de le découvrir.

Un très bon petit roman, de facture assez classique au final, mais extrêmement agréable à lire. le style cinématographique est plaisant, les personnages sont attachants, l'écriture simple mais efficace, ... tout concourt à faire passer de bons moments de lecture.
Un auteur à découvrir.

A-t-on le droit, de se venger alors même que les coupables d'un meurtre ont été arrêtés, jugés et condamnés à 20 ans de prison ? Question difficile, la justice ayant été créée pour que l'envie d'appliquer la loi du talion ne soit plus qu'un souvenir. En théorie, c'est logique. En pratique, c'est tout autre chose.
Que vaut une peine de prison, même sévère, même justifiée, face à la douleur de celui qui reste ?
Vincent est vieux, vieux en âge mais aussi vieux en peine. Veuf depuis 20 longues années, parce que trois monstres lui ont arraché l'amour de sa vie. Violée, torturée, tuée. Vingt ans que Vincent ne vit plus, il survit, avec une seule idée fixe : punir les meurtriers de son épouse.
Son plan est déjà conçu, il attend la sortie de prison des tueurs. En attendant, il boit, beaucoup, de tout. Et il attend. L'installation d'une famille dans la maison voisine de la sienne lui fait un choc, comment accomplir son plan de vengeance maintenant qu'il n'est plus seul dans son coin tranquille ?
Le ciel est avec lui, les voisins sont sympathiques, à l'écoute, pleins d'empathie et prêts à l'aider.
Alors, oui, les évènements se succèdent de façon un peu trop improbable, voire irréaliste, mais je dirais que ce n'est pas grave, ils ne sont que le prétexte à la mise en scène de la souffrance de ce vieux monsieur.
Certains diront que les détails du calvaire de la victime sont répétés trop souvent, qu'une fois aurait suffi. Pour ma part, je dirais qu'on contraire, cette répétition est indispensable car Vincent revit les détails de cette mise à mort au quotidien.
L'histoire est noire, très noire. L'auteur a réussi à mettre de l'humour dans son récit, souvent noir l'humour mais rudement efficace.
Est-ce mal d'approuver le parcours de vengeance de Vincent ? Si oui, alors je suis bonne pour l'hôpital psychiatrique, car je l'ai compris et encouragé.

Merci à Babelio de m'avoir offert ce livre grâce à Masse critique. Il m'est donc d'autant plus difficile d'écrire ma critique car je n'ai pas du tout aimé ce livre. le synopsis était intrigant, d'où mon choix : la vengeance d'un homme dont on a tué la femme, mais d'un homme de 86 ans qui attend patiemment depuis 20 ans que les criminels sortent de prison.

Les bons points.
Un style simple, efficace. Quelques débuts de suspenses.
On a vraiment envie de savoir comment toute cette histoire va se terminer, tout l'intérêt étant l'âge du héros ou plutôt du anti-héros, un vieux con comme il le dit lui-même, qui veut se venger. Ça se lit très vite (ce n'est ni un bon, ni un mauvais point).
Concernant l'objet en lui-même, j'ai trouvé la couverture du livre des Editions Taurnada magnifique. Et la couverture est un élément important d'un livre.
De plus, il m'est arrivé (rarement) d'abandonner un livre en cours de lecture. Celui-là ne m'en a pas donné l'envie du tout.

Les mauvais points.
C'est très répétitif : toutes les deux pages : soit il est question de boire des bières, soit de tirer sur les curés (que le héros ne supporte pas).
Le calvaire de l'épouse qui doit être vengée n'avait peut-être pas besoin d'être décrit plusieurs fois. Âmes sensibles s'abstenir.

Ça peut se résumer chaque jour à :
on boit à en être ivre dès le matin (pour le héros, ça peut se comprendre vu son chagrin et sa colère, mais tous les personnages ? A se demander comment ils peuvent tenir le coup et se lever tous les jours), une insulte aux curés, une attaque ennemie, le secours du voisin monstrueusement costaud (ça aussi c'est répété à tout bout de champ qu'il est costaud), un mort, on pleure et on va se coucher...
Le lendemain, aucune enquête, aucune intervention de la police et rebelote. La même journée recommence.
Tous les débuts de mystères et twists de fins de chapitres n'aboutissent finalement à rien de surprenant.
Beaucoup d'invraisemblances, d'incohérences. C'est poussif. Cousu de fil blanc (les nouveaux voisins très (trop) serviables (ce qui s'explique par la suite mais c'est assez improbable).
Ça m'a parfois paru ridicule jusque dans certaines expressions incompréhensibles ou tournures de phrases étranges.
C'est tiré par les cheveux jusqu'à la dernière ligne (sans divulgacher).

Peut-être est-ce totalement assumé. Après tout, je découvre l'auteur. Il a l'air très apprécié. Je penche donc pour une erreur de casting de lectrice et non pour un manque de talent de l'auteur qui trouve son lectorat. Mais une lectrice qui ne regrette pas d'être sortie de ses habitudes de lecture.

En résumé, décevant par rapport au synopsis. Pour ma défense, on est loin de ce que je lis habituellement et c'était ma première masse critique. La prochaine fois je viserai plus dans mon genre de lectures. Je ne veux plus avoir à donner une mauvaise critique ainsi. Sans Masse Critique, je n'aurais rien écrit sur ce livre. (Il est probable que je ne l'aurais pas lu).

Noël Boudou offre avec « Et pour le pire » un roman très original à plusieurs niveaux. Il est difficile de définir cette histoire mettant en scène Vincent, un vieil homme qui a perdu sa femme vingt ans auparavant. Il a durant tout ce temps ruminé sa vengeance et sa haine envers le coupable qui va sortir de prison ! C'est alors que commence véritablement « Et pour le pire ».

" Vingt ans de rage qui marine, ça fait mal, c'est comme la gnôle. "

On pourrait sous-titrer ce thriller « Tonton fait de la résistance à l'oubli ». En effet ne cessent de tourner dans sa tête les conditions horribles dans lesquelles sa femme est morte. le style de Noël Boudou fait mal pour justement faire comprendre pourquoi le pardon est impossible. Sa plume est épicée, alcoolisée et chamboule tout sur son passage.

" L'alcool a ce dangereux pouvoir de faire fuir les démons, les mauvais souvenirs, les douleurs et les insomnies. Je deviens peut-être alcoolique, mais je m'en fous. A mon âge, devenir dépendant n'est pas vraiment grave. Je serai mort bien avant que cette dépendance ne devienne dangereuse. "

Le personnage de Vincent est atypique. Cet homme est très vieux mais c'est aussi quelqu'un qui a la dent dure (fausse ou pas !) et qui ne lâche rien. Il personnifie la notion même de vengeance. Ou est-ce la vengeance qui est le personnage principal du roman ? C'est au lecteur de juger et de ressentir puisque les mots sont forts et lapidaires. Les autres protagonistes trouvent leur place autour de Vincent et renforce une analyse personnelle de la société.

J'ai ressenti au fil des pages l'âpreté de la vie. Cela ne s'est pas fait sans un certain malaise. Ainsi attention, la violence est très présente dans « Et pour le pire » et il faut avoir le coeur solide pour suivre certains chapitres. C'est un choix de l'auteur qui se défend par rapport au sujet traité.


« Et pour le pire » est un thriller qui dépote, cogne et marque les esprits. Noël Boudou prend des libertés avec la logique mais cela n'empêche pas de passer un moment de lecture intense. le récit est acide voire malsain. Mais depuis quand les éditions Taurnada font-elles dans le feel good ?

Vincent est un vieil homme qui vit seul, replié sur lui-même depuis le meurtre horrible de son épouse bien-aimée,  Bénédicte, vingt ans auparavant.
Ce qui le fait tenir, c'est la vengeance. Condamné par un cancer, il se ménage pour être là à la sortie prochaine de prison des assassins de sa femme.
L'emménagement de nouveaux voisins maliens suscite un peu de remue-ménage dans ce petit village, mais Vincent, nostalgique du Sénégal où  il a brièvement vécu,  se lie d'amitié avec eux et trouvé en Bao, véritable force de la nature, et la lumineuse  France des alliés à sa cause...
Un style simple, non dénué d'humour ou de sarcasme, pour une histoire classique de vengeance. 
Mais les moments d'actions sont parfois traités abruptement,  les détails sanglants en surenchère, notamment la répétition de l'assassinat de Bénédicte,  les personnages un peu caricaturaux, et certaines situations invraisemblables. Je n'ai donc pas été particulièrement convaincue, même si j'ai beaucoup aimé ce personnage de vieux ronchon plein d'autodérision ( et qui tient très bien l'alcool, même la Leffe!)

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Deuxième roman que je lis de l'auteur (je n'ai pas encore lu son tout premier Elijah) et de nouveau je reste scotchée à l'histoire.

Noël Boudou réussit à faire cohabiter dans une petite impasse un "vieux con" ronchon, grincheux de 86 ans avec une jeune couple, leur deux enfants. Pourtant ça commençait mal, c'est qu'il a des projets de vengeance solides ce vieux Vincent et pour cela il ne faudrait pas que le gentil couple se rapproche trop de lui quand il mettra en oeuvre sa riposte mortelle contre ceux qui ont assassiné sa femme il y a 20 ans.
Mais ce couple est particulier, plein d'empathie, le coeur sur la main, et surtout ils veulent le cocooner leur vieux bonhomme, quitte à l'aider dans sa quête.

Que d'émotions tout au long de ma lecture, énervement au départ pour son côté faux raciste, puis bienveillance pour tous les maux dont Vincent fait un scanner à chaque pas. Jusqu'au sourire carrément à sa vitesse d'escargot, ses muscles inconnus de lui. Et puis la tension, intense qui flamboie, l'écoeurement pour ce qu'a subi sa femme. Une fois que je me suis mise à aimer Vincent et ce couple, l'action monte crescendo, sanguinolente, un peu, puis souvent....

Noël Boudou décrit son petit vieux au coeur d'un quotidien qui s'est ralenti. Un rage, une haine le fait tenir bon, pour autant il doit faire avec ce que la nature lui octroie à l'âge avancé qu'il a. C'est un chieur, mais qu'on a envie d'aimer, vous savez un peu comme ce bonhomme de Disney "Là-haut".

Si petit bémol il doit y avoir c'est la récurrence de l'ouverture des bouteilles de bière.... un peu trop à mon avis, l'alcool est omniprésent, et à ce niveau, on est face à des spécialistes de la descente!!

Le thème du racisme est amené sans fausse pudeur, oui il existe dans les petits villages comme partout ailleurs, les réflexions bateau que l'on peut entendre, toutes faites, plus bêtes les unes que les autres, l'auteur ne protège pas ses protagonistes. Au contraire, il en joue en surjouant sur la force physique de Bao, le voisin de notre petit vieux. A ses yeux, il est un roc, une montagne, un être inébranlable.

Alors oui j'ai eu un coup de coeur pour cette histoire excellemment contée, il prend aux tripes comme rarement, mettant en scène des héros atypiques mais au charme certain.

Enjoy!
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Nous faisons la connaissance de Vincent, homme âgé de 86 ans, qui est mort mentalement, détruit psychologiquement;
Il y a 20 ans sa femme Bénédicte ,est décédée d'une manière abominable, violée, torturée, rien ne lui a été épargnée.
20 ans que Vincent attend la libération de ces meurtriers.
Il n'a plus rien à perdre, il est déjà détruit psychologiquement, et la vieillesse l'a énormément diminuée.
Un homme qui est devenu associable, un caractère diabolique, atypique.
Malgré tout , Vincent est un personnage, touchant, émouvant, nous avons envie de lui venir en aide face aux démons qui le torturent.
Son comportement va radicalement changer, avec l'aménagement de ses nouveaux voisins, France ,Bao et leurs deux enfants.
Boa est aussi torturé mentalement depuis le viol de sa soeur.
Deux personnes qui se sentent coupables de se désastre.
Pourquoi étaient-ils absents au moment des faits.
Auraient-ils pu éviter ces tragédies.
Deux êtres assoiffés de vengeance.
Ce venger est une chose, mais passer à l'acte est beaucoup plus difficile à réaliser
Comment vont -ils réussir à se libérer mentalement et reprendre le court normal d'une vie.
Une thématique maitrisée et bien ficelée
L'auteur nous nous épargne pas dans les détails de cette barbarie
L'auteur nous tient en haleine du début jusqu'à l'aboutissement final.
Une écriture fluide, visuelle et percutante
Une lecture addictive, captivante , émouvante.
Un sujet qui reste malheureusement d'actualité.
Une histoire qui nous prend aux tripes.
On ne sort pas indemne de cette lecture
Un livre émouvant.
Un véritable uppercut
Une pépite.