AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,85

sur 101 notes
5
3 avis
4
5 avis
3
5 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Et voilà fini mon premier livre de l'an 2017.
J'adore ces histoires d'assassins, c'est terrible. Mon penchant très prononcé pour la dark fantasy est largement flatté dans ces livres. Ainsi que dans le jeu, parce que oui, oui, j'ai commencé le jeu Assassin's creed II sur xbox360.
Certes en mode facile. Certes je mets 3H là où mes gosses mettent une demi-heure. Certes je dois m'y reprendre à 5 fois pour arriver à finir une quête, et parfois je dois me résoudre à demander l'aide de mon fillot, quand mes nerfs lâchent (notamment dans les quêtes pour récupérer l'armure, qu'est ce que je m'en suis vu pour monter tout en haut du dôme à Florence, c'est mon fils qui a fini... xD. Pareil pour la course-poursuite avec la chariotte de Léonard de Vinci, mais là j'ai fini par y arriver toute seule comme une grande, trop fière ! )
Il n'empêche que je fais une assassin tout à fait honorable, d'autant que c'est avec la double lame que je me débrouille le mieux - sans vraiment comprendre pourquoi. Qu'est-ce que j'ai pu tuer comme gardes sur les toits ! Et ça va continuer, je n'en suis qu'à la séquence 8. Il va me falloir "voler", je sens que ça va pas être simple, mdr...

Or donc ce livre est la suite directe du livre "Renaissance" (et donc du jeu n° II), et nous continuons à suivre Ezio, qui a bien vieilli et a dans les 40 ans, si je ne m'abuse... Il est toutefois toujours aussi bien entraîné, et désireux de compenser la grosse bourde qu'il faite des années plus tôt, cause de la destruction de sa base au début de ce second tome, et donc "vengeaaaaance" !, et dont je ne parlerai pas plus pour pas spoiler, et toc.

Son adversaire principal sera ici Cesare Borgia, le fils de Rodrigo (le pape, parce que ouai, le pape a des enfants lol). Une saleté de punaise aux talents multiples, doublé d'une anguille aux capacités de fuite assez impressionnantes ! Mdr ! La famille Borgia est dépeinte de façon assez crue, et j'en suis à me demander ce que certaines scènes donnent dans le jeu correspondant (sont-elles floutées ? muarf !). La curiosité m'assaille...

Il y a quelques coquilles dans ce livre, rien de rédhibitoire à part un contresens qui fait tiquer. C'est encore une histoire à multiples rebondissements que j'ai suivi avec beaucoup d'intérêt, j'avoue, je suis attachée à Ezio (voire totalement identifiée vu que je suis lui 2 à 3h par jour, lol !) (Et je déteste Caterina, saleté de bonne femme). C'est pain béni ces jeux pour un auteur au talent d'écriture certain mais en mal d'histoires, les scénaristes sont toujours au top.

En bref, ça se lit avec plaisir, sans prise de tête, hormis peut-être sur la fin quand je me suis mélangé les pinceaux entre les différents partis espagnols Castille/Aragon contre Navarre, j'ai du aller un peu réviser mon Histoire d'Espagne et d'Italie (et par conséquent de France vu les alliances), mais ça fait pas de mal... D'ailleurs c'est pas étonnant que j'ai rien retenu de mes années "d'études", c'est d'un compliqué !

Donc outre le fait qu'on suit une aventure haletante, en plus on apprend des tas de choses sur l'époque d'el Léonardo ! C'est maguenifaïque !
Commenter  J’apprécie          210
Assassin's Creed : Brotherhood est la suite immédiate de Assassin's Creed : Renaissance et reprend l'intrigue là où on l'avait quitté, à Rome. C'est bien dans la Ville éternelle que se déroule la majeure partie de ce roman toujours centré sur le personnage d'Ezio Auditore da Firenze, Maître Assassin qui lutte contre la tyrannie des Borgia et des Templiers en Italie.
Ce roman de fantasy est plutôt bon dans son ensemble. Bien rythmé, enjoué, il met en avant des thèmes très variés, même annexes à l'intrigue générale du jeu vidéo (sur laquelle je passe ici) et s'inspire parfaitement du contexte qui l'entoure : les tableaux et sculptures célèbres défilent devant nous au fil des courses-poursuites, le futur ouvrage de Niccolo Machiavelli, le Prince, est maintes fois abordé et on en apprend même beaucoup sur l'homosexualité affichée de Leonardo de Vinci). L'humour est largement présent, comme à la fin du tome précédent, ce qui fait alterner agréablement les scènes tragiques avec des moments plus légers malgré les aléas. On découvre de plus avec plaisir toute l'étendue et la désolation de cette Rome au tournant des années 1500 en proie à bien des périls.
Toutefois, il faut le dire, la fin laisse quelque peu à désirer et un goût assez amer à l'ensemble. L'intrigue retombe d'un coup et on attend la conclusion qui se fait prier pendant de trop longues pages, d'autant que ni l'humour, ni une quelconque découverte par rapport au scénario du jeu vidéo éponyme ne vient combler le vide.
Cela pose donc la question du rapport avec le jeu, question que je voulais éviter au premier abord. Si plusieurs détails évoluent pour répondre à une demande plus "réaliste" de l'intrigue, plusieurs pans entiers de la quête d'Ezio sont passés sous silence, et surtout sans ellipses pour nous laisser deviner le moment où cela se déroulerait ! Je pense ici notamment aux scènes de destructions des inventions modernes de Leonardo par Ezio.
Finalement, ne rejetons pas tout. Assassin's Creed : Brotherhood est un très bon roman d'aventure et sur la franchise des Assassins à la lame secrète, mais la fin gâche certes ce constat et nous fait espérer une suite (Revelations) qui clôturera en beauté la trilogie d'Ezio et surtout qui nous offrira un équilibre homogène et continu entre influence, inspiration et création autour de la franchise du jeu vidéo.
Commenter  J’apprécie          50
Une novélisation du jeu prenante, bien retranscrite et fluide. L'idéal pour raviver ses souvenirs du jeu vidéo ou pour découvrir une partie de cette grande firme…
Commenter  J’apprécie          10
Dans ce second opus, nous retrouvons Ezio, l'Assassin , qui va mener une lutte sans merci , contre Césare Borgia, afin de libérer l'Italie du joug de la corruption et de la tyrannie mais aussi venger sa famille.
Nettement plus agréable à lire que le premier, puisqu'il ne reprend pas les principes des jeux vidéos pour passer aux niveaux supérieurs.
Commenter  J’apprécie          10
Je ne suis pas fan du jeu vidéo assassin's creed, et un ami m'a offert le tome 3 de la collection et comme je suis un peu psychorigide sur certains points j'ai voulu commencé par le premier tome.

Verdict?: Je me mettrais peut être au jeu un de ces jours, pour le livre j'ai bien aimé à ma grande surprise, la série fera bientôt partie de ma collection de livres.

Petit bémol pour les deux premiers tomes, les traductions en français des passages en italien ne couvre pas toutes les citations dommage.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (456) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3206 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}