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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Si vous vous attendez à un roman qui vous plonge au coeur de la cour de Nicolas II, ce roman est fait pour vous. Dans le sillage de Gueorgui, John Boyne nous donne à lire le quotidien du tsar, de la tsarine et de leurs enfants à un moment crucial : de 1915 jusqu'à l'abdication de Nicolas II.

On retrouve aussi Raspoutine et son influence sur la tsarine, l'hémophilie du tsarévitch et l'ascension des bolchevicks jusqu'à l'issue fatale de la famille Romanov, la nuit du 17 au 18 juillet 1918, à la maison Ipatiev.

Mais ce roman, ce n'est pas que cela. Une grande partie du récit raconté par Gueorgui revient sur ses années d'exil de 1918 à 1981, ce qui m'a nettement moins plu puisqu'il s'attarde beaucoup sur le cancer de sa femme Zoïa et leur mariage. J'ai très vite deviné qui se cachait sous ce sobriquet, pas de suspens de ce côté, ce qui manque en revanche c'est la façon dont le couple a pu quitter la Russie ni vu ni connu !

John Boyne prend des libertés avec l'histoire tragique des Romanov et cela m'a semblé peu crédible. Qu'un simple moujik comme Gueorgui puisse être choisi comme garde du corps du tsarévitch, passe encore puisque Raspoutine a pu s'immiscer dans l'intimité du couple royal.

Mais qu'une romance ait pu se nouer entre Gueorgui et Anastasia et qu'elle ait pu s'échapper de la maison Impatiev pour faire sa vie avec le garde du corps de son frère reconverti en bibliothécaire, cela semble totalement tiré par les cheveux. Mais, comme nous sommes dans un roman, pourquoi pas, l'auteur a le droit d'inventer tant qu'il le veut.

Partant de 1981 pour arriver au drame de la maison Ipatiev en 1918, l'auteur alterne entre souvenirs présents et passés grâce à de multiples allers retours. Si j'ai beaucoup apprécié séjourner au palais d'hiver, les passages au présent m'ont bien déçue.

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C'est dernières années, nombreux d'auteurs anglais ou américains ont décidé d'écrire sur la Russie autant sous le règne de Staline que pendant les Romanov. le roman de John Boyne n'innove en rien le récit d'un histoire de famille. On commence 1981 et on finit en 1918 à la mort de la famille Romanov ainsi que l'exil de la seule survivante Anastasia. le personnage de Gueorgui, je l'ai trouvé parfois très égoïste par rapport à sa famille et aussi stéréotyper d'une certaine façon comme bibliothécaire sont rapport aux livres en est un exemple.. Peut-être parce que j'ai des soeurs mais Anastasia me plaisait beaucoup et j'aurais voulu que l'histoire soit plus axer sur les événements de 1914 à 1918 pour moi c'est les moments que j'entendais de lire avec une certaine impatience.
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Le recit alterne entre deux époques, passé et présent.
Sans surprise jai beaucoup aimé les passages au passé. Je me suis un peu ennuyé dans ceux au présent.
Le style est fluide et agréable à lire.
J'ai trouvé quelques longueurs mais dans l'eensemble j'ai aimé cette lecture.
Cest un livre que je recommanderai aux lecteurs intéressés par le destin de la famille Romanov.
#b
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