Darkest Minds, tome 1 : Rébellion

Ravie d'être enfin arrivée à la fin de cette trilogie..
Je l'ai trouvée longue, épuisante, brouillonne. Il y a soit trop d'informations en même temps, soit pas assez. Soit trop d'actions, soit trop de lenteurs. Trop de personnages, mais peu sont importants. Il n'y a aucun équilibre, c'est trop ou pas assez, selon les chapitres.
L'histoire promettait pourtant d'être prenante, une dystopie jeunesse parmi un ras de marée d'autres, mais elle avait de quoi s'en distinguer. Mais l'écriture gâche tout : c'est flou, mal écrit, l'ambiance que voulait l'auteur n'est pas du tout retransmise, c'est chaotique.
Plus facile à oublier qu'à lire, et temps mieux.

Dans ce monde du futur, les enfants ont tous été atteints par un virus qui les décime et donne aux survivants des pouvoirs paranormaux plus ou moins puissants. Effrayés par leurs enfants, les parents et le gouvernement enferment les rescapés dans des camps où il sont étudiés en fonction du code couleur de leur danger potentiel (de vert à rouge). Ruby, 16 ans, fait partie de ces ados enfermés mais un jour, une jeune médecin l'aide à s'échapper et c'est le début d'une odyssée mouvementée à travers les États-Unis, en compagnie d'autres fugitifs...

Le scénario proposé me paraissait pourtant alléchant mais j'arrête ma lecture à la moitié, déçue par l'intrigue brouillonne dont je ne vois pas bien où elle me mène. Certes, il y a de l'action (souvent très violente), des personnages assez bien campés, du suspense mais je n'accroche pas du tout à ce road-movie (pourtant j'aime ça) tellement long à démarrer que j'abandonne. Je sais que ce roman marchera très fort auprès des ados mais pour ma part, je n'y trouve pas mon compte.

Surfant sur la vague des romans dystopiques comme Divergent ou Promise, "Insoumis" nous propulse dans un avenir pessimiste où une épidémie décime peu à peu les enfants. Les rescapés, eux, se mettent à développer des habiletés hors du commun : télékinésie, synesthésie, empathie, etc. Et bien sûr, la populace (ou devrais-je dire les adultes ?), prise de peur décide de réprimer et assujettir la nouvelle génération. Je dis bien sûr, car le point d'orgue de ces romans YA nouvelle vague, est de montrer un futur apocalyptique, où les lois sont bafouées et la jeunesse opprimée. Comme je l'avais déjà remarqué avec « Divergent », ces romans sont de plus en plus alarmistes et violents, et bien que le but est de servir d'électrochoc aux dérives possibles de notre société, j'ai un peu l'impression qu'il y a une surenchère malsaine de virulence qui n'est pas pour me plaire. Mais j'oubliais que l'amour résout tout !

...la suite sur mon blog !
Lien : http://avideslectures.wordpr..

Je l'ai lu il y a déjà plusieurs années, quand le genre - les "dystopies" , terme discutable pour décrire ces oeuvres jeunesses d'anticipation - commençait à envahir sérieusement les rayonnages e ma bibliothèque municipale.

Et comme la plupart des autres du même genre il y a un côté trop cadré, trop convenu, aussi bien au niveau de l'intrigue, de l'univers, des pseudos-révélation et de la romance qui font que son histoire s'emmêle joliment avec tout ceux que j'ai pu lire, à quelques exceptions près.

Peut-être que les amateurs du genre trouverons leur compte dans ce shéma cent fois répété mais pour ma part, il reste aussi anonyme avant qu'après la lecture.

J'aime beaucoup les dystopies et j'ai vu la BA du film ce qui m'a donné envie de lire le livre avant de voir le film.
L'histoire commence bien, on rentre directement dans le vif du sujet (la contamination par le virus et l'envoi des enfants dans des camps)
J'aime bien la narration à la 1ère personne, c'est un style que j'affectionne particulièrement car j'aime me sentir proche du héros d'un livre.
Mais ici, la narration n'apporte aucune empathie envers l'héroïne.
Je suis vraiment passée à côté de ce livre. C'est d'une lenteur !
J'en suis à 300 pages, et j'ai l'impression d'être engluée dans un jour sans fin. Certes, il se passe des choses, il y a de l'action mais tout est décrit avec une telle lenteur que c'est ennuyeux à mourir.
Je trouve que les scènes d'action sont mal décrites, j'ai mis 10 pages avant de comprendre qui était qui dans les nouveaux amis que Ruby rencontre.
Les différents "méchants" sont également très mal décrits, on confond un peu tout.
Bref, écriture très mauvaise, histoire trop longue à se mettre en place et personnages peu intéressants ni attachants.

moyen, j'ai vu mieux pour ce type de sujet.