Les étranges talents de Flavia de Luce

Petit roman et raffraichissant comme son héroine de 11 ans seulement. Tout est vu par son oeil assez sarcastique. Avant que ne démare l'intrigue proprement dite elle tente d'empoisonner sa soeur ainée. Ses relations familiales sont pour le moins limitées? C'est en cela que si le llvre est un bon moment de détente, il manque d'un minimum de descriptions temporelles, géographiques et de portraits un peu plus fouillés des autres intervenants. Ces soeurs sont des pestes, son père est lointaine; la cuisinière cuisine, ah non un passage indique qu'elle n'est pas si sotte que cela, au grand damne de notre jeune Flavia.
Quid de la disparition de la maman, Harriett? Quid des relations familiales pour le moins incongrues?
Peut être en saurons un peu plus dans les suites de ce premier tome.

Comme je l'ai dis plus haut, j'ai eu énormément du mal à lire ce livre. Ce n'est pas dût à l'écriture qui à mon sens était plutôt bonne, l'histoire paraissait assez intéressante, l'enquête originale. Flavia une enfant de 11 ans cherche qui a pu tuer l'homme qu'elle retrouve mort dans son jardin. MAIS… Rien. Je ne suis pas entrée dedans, je m'ennuyais, je n'accrochais pas du tout. Peut-être parce que Flavia est un personnage trop mâture, trop froid dans ses sentiments aussi. Je n'ai pas aimé ses soeurs (sauf à la fin, et par contre j'adorais leur passion, le fait que Flavie joue du piano, que Daphné lit une tonne de bouquins), ni son père. Et pas trop les autres personnages non plus. Les policiers paraissent vraiment être des incapables puisque Flavia est bien plus douée qu'eux (je ne sais pas pourquoi mais … ça me dérange un peu). Bref je ne me suis pas attachée aux personnages, j'ai trouve qu'il y avait trop peu de sentiments, quelques pointes d'humour mais qui n'ont pas suffit. de plus j'ai assez vite lâché l'histoire car ça se perdait parfois dans des explications qui ne m'intéressaient pas forcément, j'ai eu ma période philatéliste mais moi les timbres c'est pas non plus ma grande passion et l'histoire tourne autour de timbres. La fin est sympa et m'a presque fait dire « tiens j'aimerais en relire un » sauf que non, je ne pense pas lire le tome 2, j'ai eu vraiment trop de mal avec celui là. Sans même tout à fait comprendre pourquoi, il avait tout pour me plaire mais voilà j'étais trop loin de l'histoire, et si ça avait bien commencé mon envie de lire ce livre est très très vite retombée. Je ne sais pas quoi en dire de plus, l'avoir lu sur si longtemps m'a fait oublié pas mal de trucs. Flavia est aussi très intelligente, elle s'y connait en poison (peut-être un peu trop), comme je l'ai déjà dit ses réactions m'ont parfois dérangé (comme par exemple celle qu'elle a quand elle trouve le type dans son jardin). L'enquête aurait peut-être pu durer moins longtemps, je sais pas… Enfin bref je n'ai pas accroché. Un bon point tout de même, toutes les références sur la musique classique et sur les livres (oui j'adore ça !)

Une héroïne fantasque des plus réjouissantes. Si l'intrigue manque parfois de tonus, elle est tout de même prenante et réserve quelques surprises.

Un policier sympathique avec des personnages amusants. L'héroine a 11 ans, passionnée de chimie et avec un bon sens de l'humour.

Flavia, adolescente dégourdie et passionnée de chimie, grandit dans un manoir entre son père, le colonel de Luce, très renfermé depuis le décès de sa femme, et Ophélie et Daphné, ses deux chipies de soeurs... Un beau matin, un inconnu vient mourir dans le potager et c'est Flavia qui le découvre et le signale à la police. Une double enquête commence, celle de l'inspecteur Hewitt et celle de la jeune fille qui cherche par tous les moyens à innocenter son père...

Un roman bien agréable, bien qu'un peu longuet, à l'atmosphère indéniablement britannique, jusque dans l'humour, très pince-sans-rire... le personnage de Flavia rappelle un peu celui d'Enola Holmes (petite soeur fictive de Sherlock) mais en beaucoup plus vif et dégourdi et surtout, plus original de par sa passion pour la chimie. L'intrigue se perd un peu dans les méandres de l'imagination de l'auteur, ce qui gâche un peu mon plaisir de lecture mais la légèreté du ton fait du bien dans le contexte actuel de l'édition pour la jeunesse, souvent tourné vers des sujets plus sombres.

Lien : http://1000etunepages.canalb..

Assez bonne surprise.

J'ai trouvé ce roman à tout petit prix. La couverture aidant, je n'ai pas hésité...au pire, il repartait en occasion.

La frayeur : que ce soit niais, trop simple et long à mourir.
Eh bien c'est presque tout l'inverse.
L'histoire n'est pas transcendante mais se lit bien, les personnages sont sympathiques et assez drôles, la gamine n'est pas niaise.
Beaucoup de chimie, d'humour et d'enquêtes.
On oublierait presque que l'héroïne n'a que 11 ans.

Un deuxième tome existe. Si je le trouve encore une fois à petit prix, je le prendrais mais sinon pas de folie pour ce type de roman jeunesse.

Remarqué à cause de sa couverture attirante dans une cabine (téléphonique) d'échanges de livres, je me suis dit pourquoi pas. Et c'est plutôt une bonne lecture, avec un personnage bien planté bien que parfois un peu tête à claques (j'ai peu apprécié son côté méprisant du haut de sa haute intelligence). Vu du point de vue d'une enfant de 11 ans (on lui donne parfois plus), l'enquête prend un tournant intéressant - les comparaisons étranges, les raisonnements parfois très enfantins. le récit est néanmoins parfois redondant et il y a des longueurs dans les digressions. Même si certaines sont instructives.

bof bof bof
la couverture m'ayant laissé espérer une histoire un peu plus sombre, j'ai été assez déçue de la légèreté de celle-ci. Pour l'intrigue policière, on repassera aussi. Au final, même si je l'ai lu jusqu'au bout car l'écriture est fluide, je me suis empressée de le revendre, ayant eu plus l'impression d'avoir relu une histoire du club des 5 (que je lisais lorsque j'avais 10 ans) qu'une enquête... Au final, bof bof

Roman policier qui ressemble plus à une littérature de jeuness sur fond de cadavres dans le placard et de personnages excentriques et atypiques.Le style est simple et par moments doté d'humour noir, le tout accompagné de quelques leçons de chimie