AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4

sur 144 notes
5
27 avis
4
30 avis
3
9 avis
2
2 avis
1
0 avis
Un polar à l'américaine, de bons dialogues, des personnages hauts en couleurs, mais une avalanche de stéréotypes dignes de Mary Higgins Clark et des rebondissements trop rapides pour que l'on ait le temps de vraiment en profiter. Un peu dommage, surtout lorsque l'on connaît le rythme lent de l'auteur quand il écrit sous le pseudo de Ian Manook.
Si quelqu'un peut me conseiller l'un de ses ouvrages dont le rythme se situerait entre deux, je suis preneuse !
Commenter  J’apprécie          52
Je ne sais pas si ce sera le suspens de l'été, mais un polar atypique qui tient en haleine de la première à la dernière page.
Un résumé hyper attrayant qui tient toutes ses promesses. On se retrouve à Rhode Island, au pied du lac Pasakukoo. On s'y croirait tellement les descriptions de l'auteur sont magnifiques. Deux écrivains se font face à face. D'un côté Dempsey, assez vieux jeu qui aime les femmes et son confort. de l'autre, Akerman collectionneur de femmes et fêtard. Tout deux différents mais tellement semblable. Dempsey a un correcteur à domicile : Matthew, dont on comprend très vite qui il est vraiment. Dommage... Puis on a le shérif qui voue une haine féroce à Dempsey qui a séduit femme et fille. Nous avons le frère et la soeur qui ont une relation incestueuse et qui louent leurs services aux plus offrants. Et pour clore le tableau, familles puissantes et flic ripoux.
Secouez le tout et vous obtenez un cocktail explosif mais tellement attachant. Meurtres, suicides, vengeances, malversations... Bref, des rebondissements à gogo, mais pas trop. Juste ce qu'il faut pour que l'ennui s'éloigne de notre lecture et que l'on soit captivé par le récit. Un suspens implacable mais crescendo. On oscille entre espoir et découragement tout comme nos personnages.
Très bonne lecture qui risque de vous donner des coups de soleil sur les plages cet été.
Lien : https://jelisquoi.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          50

Roy Braverman a dû bien s'amuser en écrivant « Passakukoo » ! J'ai trouvé ce roman très léger même si les thèmes abordés sont assez graves ; la mort, les relations amicales difficiles, les trahisons… L'histoire peut faire penser à ces livres sortant en été pour divertir les lecteurs sur les plages. Mais quand on connaît l'auteur, on devine qu'il va tordre les clichés afin de nous faire grincer des dents. Et en effet, c'est le cas !


Déjà, il faut voir Dempsey et Akerman, les deux protagonistes écrivains... Les héros du roman ? Non pas vraiment puisqu'il n'y a pas réellement de personnages principaux dans « Passakukoo » mais une nuée de caractères riches et inspirants. Alors, ces deux romanciers nous emmènent dans une intrigue mettant en scène la mort d'une jeune beauté. L'auteur égratigne le milieu littéraire en passant.

« C'est Dempsey et son sens de la formule. Je dois lui reconnaitre ça. Il s'applique à rester écrivain jusque dans son quotidien. »

Bien sûr, il va y avoir une enquête mais pas que… Roy Braverman profite de ce crime afin de nous plonger tour à tour dans des questions existentielles et des histoires d'ego et d'amour. J'ai réussi à détester et à aimer la même personne sur une cinquantaine de pages tant l'auteur parvient à visiter l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus noir mais aussi de plus courageux. À cet égard, j'ai beaucoup apprécié Abigail qui à elle seule représente de nombreuses femmes. Je regrette pourtant de ne pas en savoir plus sur quelques protagonistes, sur leur passé et ce qu'il va leur arriver après.


Également, c'est le style de l'auteur qui fait de « Passakukoo» un opus original et inclassable. Les chapitres commencent de façon intrigante et le rôle de chacun est mis en valeur par de petites phrases bien percutantes. Les dialogues sont savoureux comme toujours chez cet auteur. L'humour est sans conteste au rendez-vous de ce roman très divertissant.

« Je n'ai jamais compris ce métier, même si je sais qu'il faut bien des légistes. Cette façon de lire dans les viscères la vie des morts. Cette façon de pouvoir tout dire d'un corps qui ne pourra plus jamais rien faire. Je trouve ça obscène. A moins que ce voyeurisme médical ne soit exagéré dans les séries télé. C'est à souhaiter. »

J'ai donc pris beaucoup de plaisir à lire ce livre même si la valse trop folle des situations m'a un peu déstabilisée. Ainsi quand j'appréciais un chapitre, j'aurais aimé m'y installer encore un peu plus longtemps. Donc sur la plage ou au bord d'un fleuve aux États-Unis, tentez l'aventure proposée par Roy Braverman dans ce livre au titre des plus dépaysants comme son histoire !

« Comme Dieu, l'auteur tue certains de ses personnages et en laisse vivre d'autres plus longtemps. »

Commenter  J’apprécie          50
Après le sublime Manhattan Sunset, et avec une aussi magnifique couverture aux reflets inversés représentant à merveille la dualité présente tout le long du livre, je ne pouvais que choisir ce nouveau roman de Roy Braverman.

"On pardonne tout à un homme élégant. J'ai même été témoin de choses étonnantes. Des contre-vérités élégantes. Des colères élégantes. Et même des trahisons élégantes." Les apparences, les faux semblants, sont le jeu de ce thriller si noir à la couverture si feel good. Tout n'est qu'apparence.
Un lac d'abord, Pasakukoo merveilleux aux couleurs de l'été indien qui va devenir le théâtre d'une lutte sans merci. Deux auteurs ensuite, chacun d'un côté du rivage : Ben Dempsey introspectif et solitaire, et Aaron Ackerman extraverti et populaire, amis/ennemis qui se concurrencent depuis tellement d'années que ça en devient un jeu. Ils s'aiment autant qu'ils se détestent et se jalousent. Un meurtre bien sur, celui d'une toute jeune écrivaine en devenir, dont le talent avant même d'avoir été publié est déjà reconnu. Et enfin, une petite voix, qui nous accompagne en tout début de chapitre, mystérieuse et anonyme, qui sabre l'auteur et son pouvoir de vie ou de mort sur ses personnages. "Peu importe qui je suis pour l'instant, puisque je suis mort maintenant, mais voilà ce que je sais de cette curieuse affaire"

Esther Engelhart meurt noyée dans le lac Pasakukoo, au sortir d'une soirée très arrosée chez Aaron Ackerman et après avoir rendu une visite aussi dénudée qu'impromptue à Benjamin Dempsey.
Immédiatement les soupçons du shérif se porte sur Dempsey, séducteur impénitent qui a eu l'audace de coucher à la fois avec sa femme et sa fille. Mais l'enquête va tourner court avec la découverte de nouveaux cadavres tués de quatre balles dans le dos et auxquels on a volé leurs chaussures.
Comme toujours avec Roy Braverman, les personnages sont grandioses (peu résiste à son pouvoir de mort), les dialogues un régal et les descriptions de Rhode Island vous transportent direct dans les eaux bleutées du lac, sur le ponton du chalet d'Ackerman ou dans le resto de Kate. C'est un talent incontestable de réussir à faire d'un thriller noir un roman d'été, dont on avale les pages en se laissant berner par les faux-semblants qui jalonnent le récit. Références musicales, culinaires ou filmographiques, autant d'indices, de détails semé par l'auteur, dont je n'ai compris l'importance qu'aux finals époustouflants, émouvants et moraux.
Un vrai coup de coeur
Commenter  J’apprécie          50
Grâce à NetGalley France et aux Editions Hugo Poche j'ai eu la chance de pouvoir lire Pasakukoo de Roy Braverman avant sa publication.

Résumé :
« Lac Pasakukoo, dans le Maine des été indiens. le corps noyé d'une jeune romancière prometteuse, égérie annoncée d'une nouvelle génération d'écrivains. de chaque côté du lac, la résidence de deux auteurs à succès, meilleurs ennemis du monde. Un shérif qui ne les aime pas, et un village où aucun secret ne résiste à la douceur de vivre apparente. Un avocat noir et théâtral qui débarque. Une secrétaire à faire pâlir Venus en personne. Un assistant littéraire appliqué et ambitieux. Un manuscrit dont la seule existence fait frémir les familles les plus puissantes de la région.»

Mon avis :
Dans ce roman, ce qui m'a tout de suite attirée c'est sa couverture, puis j'ai lu la première phrase du résumé, et ça m'a suffi pour me décider à le solliciter. Et je ne regrette absolument pas car j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à lire et j'ai passé un super moment de lecture. L'histoire m'a happé dès les premières pages, grâce à des personnages complexes et attachants, et des rebondissements que je n'ai pas vu venir. L'auteur m'a emmené avec lui et je n'ai pas lâché le livre. Sa plume et son style m'ont beaucoup plu et je prendrai beaucoup de plaisir à découvrir ses autres romans.

Commenter  J’apprécie          50
« Pasakukoo », Roy Braverman, (Hugo Poche, 410p)
Malgré quelques longueurs, voici un très bon polar, doublé d'une bonne étude de caractères dans ce milieu de la petite bourgeoisie littéraire aux USA qui ne fait guère envie. On est tenu en haleine, dès qu'on croit tenir le coupable, un autre se présente au guichet du lecteur. Vite lu bien lu, ne pas se priver.

Commenter  J’apprécie          40
Pasakukoo de Roy Braverman, présentation
Il est mort, il raconte une histoire qui s'est passée. Il a connu l'écrivain Benjamin Dempsey qui apporte les ultimes corrections à son dernier roman, aidé de Matthew.

Trois jeune femmes arrivent chez Dempsey mais elles se sont trompées de maison car une fête a lieu dans le lodge de l'autre côté du lac. le narrateur connaît très bien cet autre écrivain.

Avis Pasakukoo de Roy Braverman
Histoire assez rocambolesque avec un écrivain, amateur de femmes et de nombreuses femmes, haï par le shérif de cette petite ville, tourné en dérision par un autre auteur qui vit également dans un lodge mais de l'autre côté de la rive d'un lac.

Tout commence lorsque des jeunes femmes se trompent de lodge et arrivent chez Dempsey qui finit son dernier roman, aidé par Matthew pour retranscrire les corrections. Mais une fête se tient chez Akerman, l'autre écrivain. Mais une des jeunes femmes revient chez Dempsey, complètement ivre. Matthew la ramène et le lendemain elle est retrouvée morte dans le lac. Dempsey est suspecté par le shérif. Ensuite, les morts se succèdent mais pas forcément dans le même comté. Blansky aura fort à faire pour démêler le faux du vrai, surtout qu'on lui a proposé de l'argent mais qui disparait.

Entre un frère et sa soeur qui ont déjà été arrêtés, qui vivent de contrats et qui couchent ensemble et dont le premier est tué. Un lodge est incendié et un manuscrit brûle chez Dempsey. Deux avocats qui vont défendre Dempsey un petit moment mais que ce dernier retrouvera sur d'autres affaires contre lui. Son éditeur le vire avec pertes et fracas préférant se concentrer sur la sortie du premier roman de Matthew et de celui de la jeune femme qui vient de mourir.

Dempsey apprendra des secrets bien enfouis, surtout de deux grandes familles très riches, qui n'hésitent pas à éliminer ceux qui les gênent. Il découvrira ce fameux manuscrit qui fait trembler deux familles. Bourreau des coeurs de ces dames, la vérité doit éclater et éclatera et viendra de Blansky qui ne fait que son boulot, malgré la haine qu'il éprouve envers les écrivains. Et le lecteur peut comprendre pourquoi.

Ce roman montre, une nouvelle fois, que Roy Braverman, est capable de changer son style littéraire. J'ai tout de même été déstabilisée par ces quelques phrases en italique à chaque début de chapitre. Elles ont pris le pas sur l'histoire elle-même, me faisant m'interroger tant et plus sur qui pouvait écrire – le premier nom inscrit sur mon carnet était le bon – et donner de telles informations. Après des chapitres, en définitive, assez longs qui mettent en place l'histoire et ses nombreuses explications, les 100 dernières pages se lisent d'une seule traite car le rythme est très enlevé, les rebondissements assez nombreux. Je n'en attendais pas moins de Roy Braverman. Se plonger au coeur de l'Amérique, il sait faire. Dénoncer le pouvoir des uns et des autres, également, tout comme une étude de ces personnages, avec une belle part donnée aux femmes, celles qui sont mortes mais aussi celles qui sont vivantes et qui sont plus ou moins cassées par la vie, bien souvent à cause du pouvoir des hommes.

La passion, les passions peuvent être violentes et déclencher des sentiments exacerbés ou faire resurgir des éléments du passé, pas forcément glorieux. Mais l'être humain est comme ça. Il peut suivre son chemin, sans rien faire d'illégal, ou entrer dans un engrenage dont il ne ressortira pas. de la psychologie teintée d'un humour assez noir mais aussi des scènes qui peuvent se révéler cocasses ou d'une belle tendresse.

Même si c'est une lecture agréable, ce n'est pas un coup de coeur, surtout peu de temps après L'oiseau bleu d'Erzeroum ou d'autres séries de Roy Braverman / Ian Manook.
Lien : https://livresaprofusion.wor..
Commenter  J’apprécie          40
Lac Pasakukoo - Rhode Island - Deux auteurs renommés vivent de part et d'autre du lac. Tombeurs de ces dames, frères ennemis éternellement en compétition, ils vont pourtant devoir composer quand une jeune auteur prometteuse est retrouvée noyée.
Roy Braverman plante le décor dans un lieu calme et paradisiaque.
Mais cet Eden est entaché par des politiciens véreux, des flics ripoux et comme si cela ne suffisait pas les cadavres s'amoncellent. Entre sexe, malversation et débauche, la liste des mobiles s'étoffent de jour en jour.
Malgré une écriture fluide teintée de cynisme, mon avis est un peu mitigé.
L'auteur a créé des personnages plus originaux les uns que les autres même s'ils sont trop nombreux selon moi, ce qui m'a un peu embrouillée. Malgré tout, ceux-ci sont fouillés et certains sont attachants.
Je n'ai malheureusement pas retrouvé la puissance et le suspens de "Hunter" que j'avais adoré.
Nonobstant ces remarques qui n'impliquent que moi, vous devriez passer un bon moment de lecture, à vous de vous faire une opinion.
Commenter  J’apprécie          40
Ce lac Pasakukoo est maître en énigme, scandales et meurtres en tous genres.
Il n'y a pas que la nuit qui est noire mais aussi ce roman.
Des lodges de milliardaires autour de ce lac. Des écrivains reconnus y vivent tel que Benjamin Dempsey, auteur à best-seller et son ennemi-ami Aron Akerman pour lequel les fêtes sont connues pour toutes les dérives possibles.
L'un peu observer l'autre, juste le lac les séparent.
Voilà qu'un soir de beuverie chez Akerman, une jeune femme arrive sur le ponton de Dempsey en le provoquant mais il renonce à ses avances. Vexée et ivre, elle plonge dans le lac... mais le lendemain matin elle est retrouvée flottante sur le lac.
De là débute l'enquête, à rebondissements tant un héritage familial particulier que de découvertes en découvertes sur l'arrivée de personnages tous singuliers : avocats, policiers, amis ou non.
Jusqu'à la fin des rebondissements face à des meurtres et des vérités bien cachés.
Roman Énigmatique et narré par l'auteur qui rajoute du mystère aux meurtres et magouilles.
Commenter  J’apprécie          40
Roy Braverman is back et nous invite à poursuit son séjour sur les terres de l'Oncle Sam. direction le Rhode Island cette fois, avec de nouveaux personnages et de fait une intrigue 100% inédite… et l'inimitable Braverman touch.

Un lac paisible du Rhode Island en plein été indien (C'était l'automne, un automne où il faisait beau / Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amérique / Là -bas on l'appelle l'été indien), sur les berges opposés deux lodges appartenant à deux auteurs qui s'apprécient autant qu'ils se détestent.

Sur une rive il y a Dempsey, l'introspectif, écrivain besogneux qui va réécrire chaque phrase jusqu'à ce qu'elle lui semble irréprochable. Sur l'autre Akerman, le fêtard flamboyant, auteur de blockbusters qui multiplie les soirées festives (et bruyantes) où tous les abus sont permis. Deux fortes personnalités ayant chacun leurs forces et leurs faiblesses ; le lecteur n'est pas obligé de trancher pour l'un ou pour l'autre.

Selon les circonstances les deux hommes peuvent se comporter comme les meilleurs amis du monde ou, au contraire, comme les pires ennemis. Plus d'une fois au fil des pages l'on assistera à cette alternance entre amitié et inimitié (voire haine farouche)… avant de se réconcilier autour d'un bon repas et d'une bonne bouteille.

Le roman s'ouvre sur une soirée ordinaire sur les berges du lac Pasakukoo. D'un côté Dempsey travaille avec son assistant à la relecture / correction de son futur roman, de l'autre Akerman prépare une énième soirée son et lumières.

Au petit matin l'ordinaire vole en éclat avec la découverte d'une jeune femme noyée au milieu du lac. L'intrigue aurait pu se borner à une enquête autour d'une noyade suspecte, nous aurions alors eu le fameux suspense « dickerien » promis par la quatrième de couverture. Oui mais non… Ce n'est pas Joël Dicker qui a signé ce roman mais bel et bien Roy Braverman et donc on attend la Braverman touch.

Et la griffe de l'auteur va rapidement s'imposer avec une intrigue qui va se complexifier (sans jamais embrouiller le lecteur) au fil des chapitres et de revirements de situation. Déjà le flic en charge de l'affaire (Blansky) ne porte pas dans son coeur les deux écrivains et a même un sérieux contentieux personnel avec Dempsey.

Dans le comté voisin un homme au lourd passif judiciaire est retrouvé mort, abattu de quatre balles dans le dos et dépouillé de ses chaussures. Et si les deux affaires étaient liées ? mais quel est le fil rouge ?

Et ben justement il faudra aussi compter sur l'arrivée d'une soeur / amante en quête de vengeance, déterminée à faire payer le prix fort à tous ceux et celles qui ont quelque à voir, de près ou de loin, avec la mort de son frère / amant.

Je vous passe les détails sur un duo d'avocats hauts en couleurs, des histoires de familles (riches de préférence) bien louches et tordues, des flics ripoux… Vous vouliez la Braverman touch… la voilà ! Je serai presque tenté de dire que Roy Braverman a inventé un genre littéraire, le noir feel good… C'est incontestablement noir, mais ça fait un bien fou par où ça passe.

Le tout servi par une écriture totalement décomplexée (et assumée), sans oublier les nombreuses touches d'humour (souvent noir, parfois cynique). Une fois de plus la recette fonctionne à merveille et prend le lecteur dans les mailles de son filet.

Sur la forme chaque chapitre commence par quelques mots d'un de personnages du roman (on ne sait pas de qui il s'agit) qui s'adresse directement au lecteur et s'interroge parfois sur le pouvoir d'un auteur (à commencer par le sien). Une seule certitude concernant ce mystérieux narrateur, il va mourir (ce n'est pas un spoiler, il nous l'annonce dans la première phrase du premier chapitre).
Lien : https://amnezik666.wordpress..
Commenter  J’apprécie          40




Lecteurs (301) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2875 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}