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Citations sur L'odeur de la colle en pot (29)

J'aimais bien l'Hippopotamus, même s'il me rappelait papa, qui prenait toujours la bavette et la pomme de terre au four .
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Les adultes pensent toujours que les enfants se satisfont de petites omissions. Mais non. Désolée, mais non.
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J'avais sans doute perdu cet aveuglement lié à l'enfance, qui nous conforte dans l'idée que notre foyer est le centre du monde, nos parents les seuls garants de la vérité et que les lendemains étaient forcément heureux.
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Est-ce que cela servait à quelque chose, de dépenser tout cet argent pour aller se faire chier à la montagne si ça ne rendait personne heureux ?
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Parce que la différence de moi, lui avait choisi tout ça. Il avait posé jour après jour les pierres de sa prison
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Peut-être qu'il en était ainsi. Aux enfants grandissent, vos photos de mariage commence à faner, et votre vie se résume alors à vous chamailler pour des problèmes domestiques.
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«  Je ne comprenais pas bien l’objectif de ces profs, leur plaisir sadique, le même que celui que je percevais dans les yeux de mon cousin Sylvain quand il arrachait les bras de nos poupées ou coupait en deux les guêpes récupérées dans les pièges à miel fabriqués par mamie » ….
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«  Si au moins on pouvait en vouloir à quelqu’un , si même on pouvait croire qu’on sert à quelque chose, qu’on va quelque part.
Mais qu’est - ce qu’on nous a laissé ?
Des lendemains qui chantent ?
Le grand marché Européen ?
On n’a plus qu’à être amoureux , comme des cons.
Et ça , c’est pire que tout » ….

Un monde sans pitié , 1989.
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C'est alors que j'ai croisé son regard si plein de tristesse, qui m'a littéralement broyé l'âme, et déchaîné le flot des émotions que j'essayais de contenir depuis le début de cet étrange après-midi. Revenue à ma place, j'ai éclaté en sanglots, secouée par cette peine qui me submergeait sans que je puisse rien y faire. Les barrières ont cédé d'un coup, et tout est remonté en vagues violentes, régulières, pour m'emporter inévitablement, malgré le mouchoir qu'une dame m'a tendu, et mes tentatives pour enfouir mes hoquets, calmer ce déchaînement obscène.
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Je me suis toujours demandé pourquoi ces adultes avaient choisi de rester là, au milieu des craies, des tampons de feutre, des copies doubles et des radiateurs écaillés.
Avaient ils tellement aimé leurs années collège qu'ils n'avaient jamais pu les quitter ?
Si j'y réfléchissais bien, ils étaient un fous.
Nous, les élèves, on passait beaucoup de temps à imaginer la vie des profs derrière leur tableau noir, leur grand pupitre en bois et leurs costumes de scène dont on connaissait le moindre détail. " Tiens, elle nous a ressorti son pull rose ".
Avaient ils des familles, des maris, des passions autres que celles de martyriser des générations d'adolescents terrorisés ?
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