On la trouvait plutôt jolie

Pas du tout aimé
Très mal écrit avec une écriture poussive qui traine beaucoup trop en longueur pour arriver à la même conclusion sans suspense. Lisez les 30% du livre et vous aurez compris la fin. Les dialogues ressemblent à une mauvaise téléréalité.
Beaucoup trop de jugements sur la politique sur la mondialisation avec les réfugiés et les migrants
Avec toutes les bonnes critiques que j'ai lu et entendu je suis encore une fois déçu par cet auteur.

J'ai lu pratiquement tous les romans de Michel Bussi et je dois dire que c'est pour moi le plus mauvais.
Il faut dire qu'à force, on finit par connaître sa recette : il nous plonge dans un décor très très précis et au bout d'un moment, il opère une sorte de twist qui fait que tout ce que l'on croyait la réalité est remis en cause. C'est assez malin et habile mais à force, il n'y a plus de surprise.
Dans ce roman, il situe l'intrigue dans le milieu des migrants. L'histoire de Leily, l'héroïne malienne qui vit maintenant près de Marseille, est touchante mais j'ai trouvé que l'intrigue ne tenait pas la route, il y a des invraisemblances, c'est cousu de fil blanc par moment.
De plus, j'ai trouvé gênants les propos politiques de Michel Bussi, assez moralisateurs et culpabilisants. Je m'attendais juste à un polar pas un essai. Les opinions politiques de l'auteur ne m'intéressent pas.
J'ai trouvé ce roman un peu bâclé, Michel Bussi est très (trop) prolifique.
Je lirai néanmoins le prochain en espérant que ce sera une meilleure pioche.
Ceci dit, c'est juste mon avis !

Je n'ai pas été convaincu par ce roman.
Au vu des critiques, je m'attendais à une histoire aussi bleuffante que les "Nymphéas noirs". Malheureusement j'ai été déçue.
Mais j'admet que j'ai tellement adoré les "nymphéas noirs" que mon avis est sûrement faussé. J'en attendais, peut-être trop.
Quoiqu'il en soit, le sujet est d'actualité et il est intéressant que les auteurs les évoquent.

Bussi se lance dans la politique. Livre dans lequel les migrants africains sont géniaux intelligents et les français, blancs, de sales racistes. Je ne lis pas des polars pour avoir des leçons de morales d'un type qui est plein de pognon et qui sous couvert de pseudo sensibilité va , pour se donner bonne conscience et occuper ses journées, soutenir les migrants.

J'avais aimé les "Nymphéas" même si l'histoire était tirée par les cheveux, pour l'ambiance, l'écriture, les personnages, mais alors là, pour "On la trouvait plutôt jolie" quelle déception ! Comme bien dans le style de l'auteur on saute toujours du coq à l'âne, mais là du coup, le lecteur ne s'y retrouve pas du tout, et je ne suis pas la seule ! On ne sait jamais où l'on est, avec qui, des longueurs, et des longueurs, des incohérences totales ! Bref on comprend mal le succès de cet auteur, si ce ne sont les éditeurs qui savent bien vendre n'importe quoi, surtout un nom "Bussy" et non un bon livre !!! Quel dommage !

J'attendais ce nouveau roman de Michel Bussi avec impatience car j'avais beaucoup aimé ceux que j'avais lus précédemment. Pourtant, cette fois, je n'ai pas accroché et j'ai abandonné ma lecture au bout de quelques pages. Je ne sais pas dire pourquoi mais je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire. Tant pis! J'attends donc le prochain!

Je n'ai pas du tout aimé ce livre. J'accroche pourtant pas trop mal aux romans de Bussi, habituellement (mon préféré reste Les Nympheas Noirs). Si l'histoire ou les personnages ne me transcendent pas, les révélations de fin de roman me laissent toujours sur les fesses.
Pas cette fois. La thématique, même si elle est actuelle, ne m'a pas parlé. L'immigration est quelque chose dont on entend parler presque tous les jours, cela ne m'a pas dépaysé des informations télévisées finalement. Les personnages m'ont laissé complètement indifférente. Je les ai trouvé relativement plat, notamment les policiers. le lui ne m'a pas touché, ni ses enfants. Et les fameuses révélations finale ne m'ont pas surprise, j'en avais même deviné certaines...
Bref, une grosse déception mais que ne m'empêchera pas de lire d'autres romans de l'auteur.

J'ai fait une commande de plusieurs livres en cadeau, on m'a offert un Bussi , je n'adhère pas (la preuve via mes critiques sur ses livres) mais voilà, je n'avais plus rien à lire alors pourquoi pas ...L'histoire ne me plaisait pas , Bussi est plutôt imaginatif dans ces histoires-là cela sentait un peu trop la réalité ...Leyli migrante nous raconte pendant tous le livre comment elle a eut ses 3 enfants, comment elle est arrivé en france , les sacrifices qu'elle l'a dut faire pour cela certes moralisateur, mais humanisé les migrants n'est pas une mauvaise idée, le cote folklorique de l'administration française de ce cote je ne peux qu'approuver ... Mais voilà Bussi se rapporte inlassablement à son physique elle est jolie certes, c'est déjà écrit sur la couverture pas besoin de l'écrire et la décrire tout le long de l'histoire ... À cote, il y a les meurtres, pas de surprise en quelques pages, on en devine l'auteur et le pourquoi pour moi ce personnage méritait d'être plus approfondie ... Comme Leyli, je vais cliquer sur envoyer, la critique sera lue ou pas, et oui comme elle, je prendrai une cigarette, comme elle mon écran deviendra noir et ma main se posera sur ce prochain livre qui m'attend ...

J'étais fan inconditionnel de Bussi jusque-là mais bof bof bof j'ai trouvé ce roman mauvais. En étant mal tourné on penserait qu'il a écrit à la va-vite après avoir choisi sans recul un sujet dit "porteur". le romancier pourtant ne devrait-il pas éviter de se laisser emporter par l'urgence du tempo politique ou médiatique et prendre son temps pour faire la part belle à la profondeur, la réflexion et l'émotion : justement tout ce qui m'a manqué ici. Même la tentative de twist autour de Leyli à la fin (voir aussi les Nymphéas noirs) m'a laissé de marbre. Trop trop d'informations et de débuts d'intrigues donnent l'impression d'un brouillon vraiment peu travaillé.

« On la trouvait plutôt jolie » est le dernier livre de Michel Bussi que je me suis empressée de commander, que j'ai attendu comme un enfant le jour de son anniversaire, dans lequel je me suis plongée avec avidité et plein de bonheur… et dont lequel je suis ressortie au bord de l'étouffement.
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