AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Poèmes (24)

In secret we met -
In silence I grieve,
That thy heart could forget
Thy spirit deceive.
After long years,
How should I greet thee ?
With silence and tears
Commenter  J’apprécie          10
Souvenirs d'enfant

'Je ne peux que me souvenir que de telles choses étaient,
Et m'étaient les plus chères.'

QUAND la maladie lente, avec toute sa foule de douleurs,
Refroidit la marée chaude qui coule le long des veines
Quand la Santé, effrayée, étend son aile rose,
Et vole avec chaque vent changeant du printemps;
Pas au cadre douloureux seul confiné, Les
douleurs inflexibles profitent à l'esprit affaissé:
Quelles formes macabres, le spectre-train du malheur, La
nature frissonnante se rétracte sous le coup
Avec la résignation, menez un conflit incessant,
Tandis que l'espoir se retire épouvanté et s'accroche à la vie !
Encore moins de douleur quand, à travers l'heure fastidieuse, le
Souvenir répand autour de sa puissance géniale,
Rappelle les jours disparus au ravissement donné,
Quand l'amour était le bonheur, et que la beauté formait notre ciel ;
Ou, cher à la jeunesse, dépeint chaque scène enfantine,
Ces tonnelles de maréchal, où toutes ont été tour à tour.
Comme lorsqu'à travers les nuages ​​qui déversent l'orage d'été,
L'orbe du jour dévoile sa forme lointaine,
Dore avec des rayons de foi les rosées cristallines de la pluie,
Et scintille faiblement sur la plaine aquatique ;
Ainsi, tandis que l'avenir sombre et triste brille
Le soleil de la mémoire, brillant à travers mes rêves
Bien qu'enfoncé l'éclat de son ancien brasier,
Vers des scènes très lointaines, ses rayons plus pâles ; .
règne toujours sur mes sens avec une influence illimitée,
Le passé se confondant avec le présent.

Souvent mon cœur se laisse aller à la pensée naissante,
Ce qui revient toujours, recherché et non recherché
Mon âme à la suggestion affectueuse de Fancy cède,
Et erre romantique sur ses champs aérés.
Scènes de ma jeunesse, développées, foule à voir,
À qui j'ai longtemps dit un dernier adieu !
Sièges de délice, thèmes de jeunesse inspirants;
Amis perdus pour moi pour toujours, sauf dans les rêves;
Certains qui en marbre dorment prématurément.
Dont les formes dont je me souviens maintenant, mais pour pleurer;
Certains qui pourtant préconisent le même cours scolastique
De la science primitive, la future renommée la source ;
Qui, toujours en lice dans la course studieuse,
occupe en rotation rapide la place des seniors.
Ceux avec mille visions s'unissent maintenant,
Pour éblouir, s'il leur plaît, ma vue douloureuse
Ida endroit béni, où la science tient son règne,
Quelle joie une fois que j'ai rejoint le train de la jeunesse !
Lumineux dans l'idée brille ta haute flèche,
Encore une fois je me mêle à ton cahier enjoué;
Nos tours de malice, chaque jeu enfantin,
Inchangés par le temps ou la distance, semblent les mêmes.
À travers des sentiers sinueux le long de la clairière, je trace
Le sourire social de chaque visage bienvenu;
Mes repaires habituels, mes scènes de joie et de malheur,
Chaque premier ami d'enfant, ou jeune ennemi,
Nos querelles se sont dissoutes, mais pas mon amitié passée, -
Je bénis le premier et pardonne le dernier.
Des heures de ma jeunesse ! quand, nourrie dans mon sein,
Pour aimer un étranger, l'amitié m'a rendu béni L'
amitié, le cher lien particulier de la jeunesse
Quand chaque sein naïf palpite avec la vérité
Non appris à ma sagesse mondaine comment feindre,
Et arrêter chaque impulsion avec la bride prudentielle ;
Quand tout ce que nous ressentons, nos âmes honnêtes le divulguent
En amour avec des amis, en haine ouverte contre les orteils;
Pas d'histoires vernies que les lèvres de la jeunesse répètent,
Pas de connaissance chèrement achetée par la tromperie, L'
hypocrisie, le don des années allongées,
Mûri par l'âge, l'habit de la prudence porte.
Quand maintenant le garçon est mûr pour devenir l'homme,
Son père prudent élabore un plan prudent ; Ordonne à
son fils du chemin de la candeur de rétrécir,
de parler en douceur et de penser avec prudence ;
Toujours approuver, et ne jamais nier -
L'éloge d'un patron peut bien récompenser le mensonge :
Et qui, quand la voix d'avertissement de Fortune se fera entendre,
Perdra ses perspectives d'ouverture pour un mot,
Bien que contre ce mot son cœur se rebelle,
Et que la vérité indigne toute sa poitrine gonfle.

Fini les thèmes comme celui-ci ! pas mine la tâche
D'amis flatteurs pour déchirer le masque haineux;
Que les bardes plus vifs se délectent de l'aiguillon de la satire ;
Ma fantaisie ne s'envole pas sur l'aile de Detraction :
Une fois, et une seule fois, elle a porté un coup mortel,
Pour lancer un défi à un ennemi secret ;
Mais quand cet ennemi, par sentiment ou par honte,
La cause inconnue, mais toujours la même pour moi,
Averti par quelque allusion amicale, peut-être, s'est retiré,
Avec cette soumission toute sa rage a expiré.
Des affres redoutées de ce faible ennemi à sauver,
Elle a fait taire son jeune ressentiment et a pardonné ;
Ou, ma muse a dessiné un portrait de pédant,
les vertus de POMPOSUS ne sont connues que de peu :
je n'ai jamais craint le signe de tête du jeune usurpateur,
Et celui qui manie doit parfois sentir la verge.
Si depuis les échecs de Granta, connus de tous ceux
qui partagent l'inverse d'une salle d'université,
elle se moquait parfois d'une tension plus légère,
'C'est passé, et ainsi elle ne péchera plus;
Bientôt son chant primitif doit cesser pour toujours,
Et tout peut rsii quand je reposerai en paix.

Ici se souviendrait d'abord la joyeuse bande,
qui m'a appelé chef, obéissant au commandement ;
Qui s'est joint à moi dans tous les sports d'enfant -
Leur premier conseiller et leur dernier recours ;
Ni rétréci sous le froncement de sourcils du pédant parvenu,
Ou toutes les gloires de sable de sa robe ;
Qui, ainsi transplanté de l'école de son père -
Inapte à gouverner, ignorant la règle -
Lui a succédé, que tous s'unissent pour louer,
Le cher précepteur de mes premiers jours !
PROBUS, la fierté de la science, et la vantardise,
À IDA maintenant, hélas ! à jamais perdu,
Avec lui, pendant des années, nous avons cherché la page classique,
Et redouté le maître, bien que nous ayons aimé le sage :
Retiré enfin son siège petit mais paisible
Du travail de l'apprentissage est la retraite la plus bénie,
POMPOSUS remplit son fauteuil de magistrat ;
POMPOSUS gouverne, mais, ma muse, abstenez-vous : Le
mépris, en silence, soit le sort du pédant ;
Son nom et ses préceptes sont oubliés ;
Plus sa mention ne dégradera mes vers.
À lui mon tribut est déjà payé.
Commenter  J’apprécie          00
'Alors nous n'irons plus en vagabondage'

Alors nous n'irons plus en vagabondage
Si tard dans la nuit,
Bien que le cœur soit toujours aussi aimant,
Et que la lune soit toujours aussi brillante.


Car l'épée use son fourreau,
Et l'âme use la poitrine,
Et le cœur doit s'arrêter pour respirer,
Et l'Amour lui-même se repose.


Bien que la nuit ait été faite pour aimer,
Et que le jour revienne si tôt,
Pourtant nous n'irons plus errer
Par la lumière de la lune.
Commenter  J’apprécie          20
Elle marche en beauté

Elle marche en Beauté, comme la nuit
Des climats sans nuages ​​et des cieux étoilés ;
Et tout ce qu'il y a de meilleur dans l'obscurité et l'éclat Se
rencontre dans son aspect et dans ses yeux :
Ainsi adoucie à cette tendre lumière
Que le ciel nie au jour criard.

Une ombre de plus, un rayon de moins,
Avait à moitié altéré la grâce sans nom
Qui flotte dans chaque corbeau,
Ou éclaire doucement son visage ;
Où les pensées sereinement douces s'expriment,
Combien pures, combien chères leur demeure.

Et sur cette joue, et sur ce front,
Si doux, si calme, mais éloquent,
Les sourires qui gagnent, les teintes qui brillent,
Mais racontent les jours passés dans la bonté,
Un esprit en paix avec tous en bas,
Un cœur dont l'amour est innocent !

En juin 1814, Lord Byron assista à une fête chez Lady Sitwell. Lors de la fête, Lord Byron a été inspiré par la vue de sa cousine, la belle Mme Wilmot, qui portait une robe de deuil à paillettes noires. Lord Byron a été frappé par les cheveux noirs et le visage blond de son cousin, le mélange de diverses lumières et ombres. C'est devenu l'essence de son poème sur elle.
Selon son ami, James W. Webster, "Je l'ai emmené à la fête de Lady Sitwell à Seymour Road. Il y a vu pour la première fois sa cousine, la belle Mme Wilmot. Lorsque nous sommes retournés dans ses appartements à Albany, il a dit peu, mais demanda à Fletcher de lui donner un verre d'eau-de-vie, qu'il but tout de suite à la santé de Mrs. lignes sur elle--Elle marche dans la Beauté comme la Nuit…"
Le poème a été publié en 1815.
Commenter  J’apprécie          10
Extrait de "Un fragment"

Remonterais-je le fleuve de mes années,
Vers la source de nos rires et de nos pleurs,
Je ne suivrais encore le torrent des heures
Entre ses rives effondrées de fleurs fanées,
Mais voudrais qu'il aille ainsi qu'à présent -glisser
Au nombre des flots innommés.



(p. 97)
Commenter  J’apprécie          140
.
If thou regrett’st thy youth, why live ?
The land of honourable death
Is here – up tot he field, and give
Away the breath !

Seek out – less often sought than found –
A soldier’s grave, for thee the best;
Then look around, an dhoose thy ground,
And take thy rest.

[Te regrettant jeune, pourquoi vivre ?
La terre de la mort glorieuse
Est ici – va au champ, délivre
Ton dernier souffle !

Quête – l’on quête moins qu’on trouve –
Un tombeau guerrier, le meilleur,
Vois alentour, choisis ta terre,
Prends ton repos]
Commenter  J’apprécie          60
Un fragment
Could I remount the river of my years
To the first fountain of ours miles and tears,
I would not trace again the stream of hours,
Between their outworn banks of wither’d flowers,
But bid it flow as now – until it glides
Into the number of the nameless tides.

[Remonterais-je le fleuve de mes années
Vers la source de nos rires et de nos pleurs,
Je ne suivrais encore le torrent des heures
Entre les rives effondrées de fleurs fanées,
Mais voudrais qu’il aille ainsi qu’à présent – glisser
Au nombre des flots innommés]
Commenter  J’apprécie          60
Sonnet à Genevra

Tendresse bleue de tes yeux, cheveux au beau choir,
Lustre pâle de tes traits en la rêverie
- Où de la peine, et si sereinement pétrie,
La douceur paraît charmée par son désespoir -

Ont posé sur moi une tristesse si claire,
Que - Mais à ton cœur bienheureux, je sais le don
De parfaites pensées coulant de purs filons -
Je te croirais condamnée aux soins de la terre.

Par ses blondes couleurs, avec une telle apparence,
Lorsque de sa beauté vivante, de l’Art née,
- Hormis que rien ne s’expose à sa repentance -

La Madeleine de Guido vit la journée :
Telle sembles-tu, - mais ô combien plus immense !
Remords ne peut clamer - ni vertu dédaigner.

17 décembre 1813
Commenter  J’apprécie          180
Clair soit le havre de ton âme !

Clair soit le havre de ton âme !
Nul esprit plus cher que le tien
Ne jaillit de son mortel frein
Dans les orbes saints, pour briller.

Ci-bas tu ne fus que divine,
Comme sera toujours ton âme ;
Que notre chagrin ne se plaigne,
Lorsqu'il sait ton Dieu avec toi.

Légère soit l'herbe à ta tombe !
Et sa verdure d'émeraude;
Que ne plane ombre des Ténèbres
Sur ce qui te rappelle à nous.

Qu'arbre toujours vert, jeunes fleurs,
Du lit de ton repos jaillissent :
Mais n'y voyons cyprès ni ifs ;
Pourquoi, aux saints, donner des pleurs?
Commenter  J’apprécie          40
Sourire et soupir sont un même abîme
Aux cœurs désunis que deuil tient,
Mais mon esprit vole sur mers et cimes,
Peine en quête du tien.
Commenter  J’apprécie          150






    Lecteurs (307) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Testez vos connaissances en poésie ! (niveau difficile)

    Dans quelle ville Verlaine tira-t-il sur Rimbaud, le blessant légèrement au poignet ?

    Paris
    Marseille
    Bruxelles
    Londres

    10 questions
    1223 lecteurs ont répondu
    Thèmes : poésie , poèmes , poètesCréer un quiz sur ce livre

    {* *}