AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,65

sur 61 notes
5
2 avis
4
5 avis
3
2 avis
2
0 avis
1
0 avis
Ça y est, je commence à m'adapter (ou disons à me réadapter avec ce nouveau dessinateur) et surtout, j'ai bien aimé l'intrigue de ces deux derniers volumes de la saga qui sont situés un peu à part (se situant comme je l'avant dit dans ma critique du sixième tome entre le quatre et le cinq, que j'avais donc qualifié de quatre et demi pour cs deux derniers volets qui à eux seuls, pourraient très bien se le indépendamment du premier cycle). Ici, les masques tombent enfin et le peuple apprend enfin quelles manigances a mené à bien le Monseigneur Cantor, plus dictateur qu'homme d'église ou tous es autres titres par lesquels il se faisait appeler jusqu'à présent. Lui qui a décidé que tous les robots devaient être éliminés va se retrouver face à deux gamins qui ont trouvé Cybot dans une décharge et qui, aidés par leur grand-père, sont bien décidé, son seulement à le faire réparer mais surtout à découvrir toutes les informations que celui-ci a emmagasiné dans sa carte-mémoire. C'es ainsi que Nao et ses amis vont eux aussi pouvoir recouvrer la liberté et tenter de faire chuter Cantor et de le faire payer pour tous les crimes qu'il a commis ! Vous vous doutez bien qu'il y parviendront ais ce que je ne vous révélerai pas en revanche c'est comment et avec l'aide de qui car deux nouveaux personnages clé vont faire leur apparition dans ces deux derniers volets.

Mon petit robot préféré est encore une fois au centre de l'attention et c'est bien la raison pour laquelle je vous recommande la lecture de cette suite ou plutôt de cette remontée dans le temps pour découvrir comment Nao et ses acolytes ont pu se sortir de l'affreux guêpier dans lequel ils se trouvaient.

Un graphisme, comme je le disais donc en commençant cette critique, que j'ai appris à (re) aimer et extrêmement bien travaillé et un scénario accrocheur ! A découvrir !
Commenter  J’apprécie          300
Fin de l'histoire commencée au tome 6. Des robots, des vieux soldats à la retraite et des ados delurés et inconscients dans des combats et des épreuves facilement gagnés. Un scénario bien mené mais sans originalité, c'est un peu le point faible de cet album.
Dessins sombres et très détaillés, des trognes et des robots très bien vus. On a définitivement perdu l'originalité des premiers albums de la série.
Commenter  J’apprécie          100
Deuxième partie du diptyque sur l'Etoile blanche, ce septième tome de la série mêle dictature religieuse et révolte robotique. Une réussite loin des océans d'Aquablue.
Commenter  J’apprécie          80
Prisonniers du dictateur religieux, Nao et ses compagnons dépendent de deux adolescents qui ont récupéré Cybot et ont extrait une partie des informations de sa mémoire. Ils ont de quoi faire tomber le dictateur et restaurer la démocratie. Ils sont aidés par un mouvement pro-robots.

C'est somptueux. Cela tire dans tous les sens. On n'a pas le temps de s'ennuyer. D'ailleurs, si je peux faire la fine bouche, c'est parfois un peu too much. Il y a quelques incohérences, ou raccourcis, qui coincent un peu. Mais on a un vrai, beau récit d'aventures, avec de l'action, du suspense, des enjeux, du contenu. Parfois on sent un peu les influences Star Wars, dans certaines situations, mais cela passe.

Même si Aquablue manque un peu, on a une belle brochette de nouveaux personnages, bien définis, bien saisis, qui occupent bien le récit. Le tout avec une belle auto-dérision de la part des auteurs qui n'hésitent pas à mettre quelques touches d'humour potache en fin de tome avec la chanteuse blonde à la mode qui se révèle être bien plus que cela...
Commenter  J’apprécie          50
Nous sommes bien loin de la nature et de sa défense des premiers tomes. Dorénavant, nous voilà dans une autre dimension avec l'omniprésence du religieux et des robots. Par conséquent, les couleurs sont plus sombres. D'autant plus, que nous allons arriver dans une période conflit. D'un côté, le cardinal Cantor qui tient tout d'une main de maître. Il possède une fortune à rendre jaloux Picsou et des oeuvres d'art à faire pâlir Le Louvre. Un petit faux pas et tout est chamboulé. Grâce aux robots devenus illégaux, des rejetés et bien entendu de Nao avec ces potes un nouveau monde s'annonce. L'équipe de nos héros que l'on suit depuis le début passe un peu au second rôle. Nous assistons plus à une guerre des robots. Outre par l'image, cela est souligné par le vocabulaire : droïdes, cybermécanicien, robonurse, loi anti-droïdes, innocentes machines, pièces détachées, bloc propulseur, blocs mémoire, rézoconseil, supercalculateur en réseau... En plus, la plupart de ces mots sont en gras. Difficile de passer à côté. Espérons que cette insistance aura un sens pour le reste de la série. Car au niveau scénario, cela reste assez classique sans vraie surprise. On en vient même à oublier le but du voyage de Nao et ses amis.

"Il n 'y aurait pas de machines sans hommes, c'est évident... Mais il n'y aurait pas d'hommes sans machines non plus." (p. 25) Thierry Cailleteau va même jusqu'à introduire une femme robot qui ressemble à une humaine. Cette machine ne surprend personne bien au contraire. Les hommes assez binaires rêvent de coucher avec elle. Ciro Tota choisit de la représenter pour flatter le lecteur mâle. Donc elle est ultra-mince, blonde à cheveux long, une grosse bouche et surtout une énorme poitrine. Un conformisme de représentations présent dans tout l'album qui va jusqu'au nombre de pages bien précise. Néanmoins, on trouve des éléments assez intéressants. Par exemple, les robots pour avoir un lieu où vivre efface la mémoire relative à un lieu et une autre culture. Il n'est pas si difficile aussi de construire une Histoire, un récit collectif. Celui qui maîtrise les données, maîtrise l'image du passé et celle de l'avenir. Par contre, on peut se demander si le peuple se révolterait si on prouve que le dictateur est un malfrat. Qui pourrait vraiment en douter? le responsable de l'armée n'obéirait plus car il a la preuve que son supérieur est malhonnête, vraiment? Ce n'est pas du tout crédible. La vraisemblance psychologique n'est jamais un critère nécessaire surtout pour la SFFF. On va poursuivre l'aventure en espérant revenir un peu aux origines et de retrouver l'angle écologique. Espérons que cette période de remplissage finisse par laisser la place à du contenu plus en lien avec la quête primaire. Nous le saurons prochainement.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
Commenter  J’apprécie          40
Suite du diptyque de « l'étoile blanche ».
Sans surprise nous retrouvons tous les ingrédients qui ont fait la réputation des tomes précédents sauf peut-être l'aspect écologique (un peu en retrait) : de l'action, des étoiles, des vaisseaux spatiaux, de l'humour italien improbable, des caricatures dans tous les sens, un héros sans peur et sans reproche, des méchants pas du tout gentil, un robot-nourrice agaçant, une chanteuse qui décoiffe…
Uniquement du divertissement. Je ne suis toujours pas convaincu mais ça se laisse lire.
Ah oui, j'oubliais, je préfère le nouveau dessinateur… :)
Commenter  J’apprécie          40
Une première histoire intermédiaire en 2 tomes de cette super série qui est Aquablue. J'aime toujours autant mais j'avoue que la planète d'Aquablue m'a un peu manqué ainsi que Mi-Nuée et sa petite touche féminine.
En tout cas l'histoire est toujours bien travaillée, on ne s'ennuie jamais et on est toujours surpris. On se demande comment ils en sont arrivés là.
Le dessinateur a changé (oui je sais déjà pour le tome 5) qui sont dans le même style que pour le premier cycle, on reconnait bien nos personnages, une belle continuité.
Commenter  J’apprécie          40
Suite et fin de l'album « Étoile Blanche ». Nao et ses amis sont fait prisonnier, les deux enfants et Cybot sont en fuite, autant dire que Cantor a presque gagné la partie. Mais tant que le despote n'a pas récupéré le fichier caché au fond des entrailles du robot, il y a encore un espoir de faire tomber le cardinal Cantor…
Une suite tout aussi réussie que le premier tome. On ne s'ennuie pas une seconde et les péripéties sont nombreuses. Avec un peu d'humour et beaucoup d'action, le récit est palpitant à suivre et on s'attache de plus en plus aux personnages.
La série construit de plus en plus un univers cohérent et intéressant avec des personnages travaillés et des histoires passionnantes ; avec l'espoir que cette qualité perdure au fil des tomes suivants.
Commenter  J’apprécie          30
Je suis assez contente d'avoir choisi la lecture de ce tome 7 immédiatement après le 6. C'est vraiment une seule histoire, et c'est bien dommage qu'elle ait été publié en 2 volumes.
Toute ressemblance avec des faits réels serait purement fortuite évidemment.
Autant les premiers tomes se voulaient un peu écolos, ici c'est très clairement une critique politique.
J'ai toujours un peu de mal avec la SF, mais cette série me plait bien.
Commenter  J’apprécie          30


Lecteurs (206) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Tintin

Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

Tintin
Milou
Le Capitaine Haddock
Le Professeur Tournesol
Dupond et Dupont
Le Général Alcazar
L'émir Ben Kalish Ezab
La Castafiore
Oliveira da Figueira
Séraphin Lampion
Le docteur Müller
Nestor
Rastapopoulos
Le colonel Sponsz
Tchang

15 questions
5239 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd franco-belge , bande dessinée , bd jeunesse , bd belge , bande dessinée aventure , aventure jeunesse , tintinophile , ligne claire , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *}