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3,32

sur 199 notes
La seule motivation qui m'a aidée à terminer ce roman, c'est l'envie que j'avais d'écrire sur Luocine pour me défouler un peu de l'ennui que j'ai ressenti à cette lecture et d'exprimer tous mes agacements. L'idée de départ avait tout pour me plaire, une femme hérite d'une papeterie et en fait une librairie-salon de thé et vend essentiellement des romans d'amour. Elle rencontre son amour de jeunesse Frederico et commence une relation épistolaire avec lui. Non, je n'ai rien divulgâché, ce sont les premières pages du roman. Une longue, très longue série de lettres (400 pages qui m'ont semblé 800) pour faire éclore « l'AAAAAAAmour qui ne connaît pas de lois » entre ces deux êtres alors que lui est marié et vit à New-York et elle à Milan. Lui, c'est un rasoir fini qui ne sait parler que d'architecture et la pauvre Emma, prénom trop célèbre en France pour les amours ratés, va devoir lire avec force détails la rénovation de l'immeuble Morgan à New-York. Malheureusement pour nous, elle recopie soigneusement ses lettres et nous en inflige la lecture. Un conseil si vous lisez quand même ce roman, vous pouvez sauter toutes les lettres signées Frederico, elles n'ont aucun intérêt. On a juste envie de lire un traité d'architecture sur le sujet.

Pourquoi les cartes de Belle-Isle sur ma photo? Parce que c'est là que nous deux amants vivront leur amour clandestin. Et même l'évocation de ce lieu que j'aime est raté. Les légendes sont ridicules, tout semble de pacotille même les paysages de la côte sauvage. En lisant ce roman et en remarquant sur la quatrième de couverture, » Ce roman s'est placé dès sa parution en Italie en tête des meilleures ventes » , je me suis souvenue que Cino del Duca était italien et avait inventé le concept de la presse du coeur. Ma seule consolation d'avoir lu ce roman jusqu'au bout, (en diagonale à la fin il faut que je l'avoue), c'est que » la » Emma, elle va bien s'ennuyer avec son amant si rasoir et si pleutre qu'il n'avait même pas été capable de lever l'interdit maternel quand il avait vingt ans, je peux le lui dire, il est seulement plus vieux mais il est tout aussi timoré.
Lien : http://luocine.fr/?p=5452
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Un livre un peu long, lent surtout au début, genre épistolaire. Peu à peu, on se prend à l'histoire, et on a envie de savoir la suite, l'héroïne est plutôt sympathique et agréable, et tout fini au mieux ! Impeccable quand on aime les librairies et les livres, beaucoup sont cités.
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Emma, quinqua romantique et divorcée, décide de changer de vie et d'ouvrir une petite librairie à Milan, spécialisée dans le roman d'amour. Un jour, dans sa boutique, elle tombe sur un ex-petit ami de lycée, Federico. Ils dînent ensemble et retrouvent comme par miracle leur complicité d'antan. Sauf que Federico est marié et qu'il vit à New-York où il travaille pour un célèbre architecte italien. Emma et Federico décident alors d'entamer une correspondance secrète, par boîtes postales interposées. Ils se racontent leurs vies, la librairie, l'architecture, la littérature, l'amour. Une fois par an, ils se retrouvent pour une liaison torride à Belle-Ile-en-Mer...

Une histoire plaisante, qui tourne bien sûr autour des livres et de la littérature (la boutique d'Emma, la bibliothèque de Federico). Mais l'ensemble est inégal. Entre le récit d'Emma et les lettres échangées, on a parfois l'impression de passer du coq à l'âne... Heureusement, les personnages secondaires viennent pimenter un peu l'histoire et y apporter un peu de fantaisie. Et puis il y a les livres, qui viennent sauver le tout. J'ai bien aimé la librairie d'Emma, un peu hors du temps. Dommage qu'elle finisse par se devenir un concept-store...
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Milanaise romantique, Emma décide de changer radicalement de vie en ouvrant une librairie de quartier baptisée Rêves&Sortilèges.
Le charme et l'originalité de sa boutique résident dans sa spécialité : les livres consacrés à l'amour. Emma, qui semble s'être résignée au célibat depuis son divorce, na pas son pareil pour dénicher l'ouvrage qui aidera un client perdu sur la carte du Tendre. C'est évidemment par l'intermédiaire d'un livre qu'Emma retrouvera Federico, son grand amour de jeunesse. Ils entament ainsi une relation épistolaire.

J'ai abandonné ce livre ... je m'y suis profondément ennuyée.
Je ne saurai jamais la fin de cette histoire trop guimauve dans un enchevêtrement de correspondances sans queue ni tête.

⭐️ pour les références littéraires
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J'ai adoré ce petit bijou.C'est un livre sans prétentions, grandes phrases ni passions violentes, mais c'est un roman "cosy" (je n'ai pas trouvé d'expression plus juste...) où on se sent délicieusement bien. C'est peut-être dû à la douceur de vivre italienne, à l'histoire d'amour sans heurts, à Rêves&Sortilèges la librairie idéale, etc.Paola Calvetti fait référence à des tas de romans (on en a tous forcément lu certains...) qui nous font nous sentir concernés par le récit et qui peuvent donner des idées de lecture.Le seul bémol viendrait du dénouement : j'ai trouvé un peu décevant non pas la fin en elle-même, mais la façon dont elle est amenée, créant une rupture absolument pas nécessaire (à mon avis) avec le reste du récit. Mais cela ne m'a pas empêché d'adorer le roman.
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Un des rares livres que je ne suis pas arrivé à finir. Un roman qui parle de librairie et qui a une grande partie d'épistolaire me tentait pourtant beaucoup. Finalement, j'y ai trouvé une accumulation de clichés allant de la librairie tenue par des filles et qui ne vend que des romans d'amour à la libraire qui n'aime que les livres et déteste le numérique en passant par l'amour de lycée qui n'a pas changé du tout.
Bref trop de guimauves...
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Je n'ai pu finir ce livre. Au bout de 145 pages, je me suis sentie profondément lassée par cette histoire d'amour milano-new yorkaise.
Pourtant au début, j'y ai cru,ce personnage de femme qui a changé sa vie pour ouvrir une librairie avait tout pour me plaire, la forme oscillant entre narration et échange de lettres également... Pourtant plus les pages avançaient, et plus je doutais :je n'ai plus vraiment aimé les lettres que s'envoient Emma, la libraire, et Federico, son premier petit ami retrouvé.
Bref, malgré l'intérêt du personnage d'Emma, l'intrigue m'a ennuyée et j'ai fini par lâcher et fermer le roman.
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Et bien voyez-vous, il y a point sur lequel Emma et moi ne seront décidément pas d'accord... Emma et sa capacité à critiquer et refuser les téléphones portables et internet... Emma qui pense qu'à travers un écran on perd en émotion... Je pense que nous sommes nombreux ici à ne pas être d'accord avec elle et à estimer qu'au contraire, le développement d'internet et des blogs nous a enrichi !
Qu'il est agréable de tomber nez à nez avec une histoire peut être invraisemblable et clairement romanesque en plein été, de se laisser porter au rythme lent des courriers qui vont et viennent de part et d'autre de l'océan Atlantique, de voir se confondre Milan et New York, de suivre ces deux amoureux au gré de leur rencontre annuelle...
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Après "L'amour secret" (dont j'avais parlé ici), "L'amour est à la lettre A" est le second roman que je découvre de la romancière italienne Paola Calvetti.
A l'approche de la cinquantaine, Emma décide de lever le pied et d'ouvrir une librairie un peu particulière puisque celle-ci ne propose que des livres dédiés à un seul et même sujet, l'amour avec un grand A.
Un matin avant l'ouverture, elle découvre inséré dans un livre un numéro de téléphone laissé par son amour de jeunesse devenu architecte, Federico. Les anciens ados reprennent contact et entament une correspondance qui s'étalera sur plusieurs années.

Que dire, que dire? "L'amour secret" ne m'avait absolument pas plu mais puisque ce titre-ci figurait déjà dans ma PAL, je me suis joint à d'autres pour une lecture commune en me disant que c'était le moment ou jamais de découvrir ce roman.
En vérité, j'aurais du renoncer à l'auteure sur base de ma première déception car je n'ai rien trouvé dans "L'amour à la lettre A" qui puisse me réconcilier avec la plume de Paola Calvetti que j'assimile à une Katherine Pancol made in Italy.
Plusieurs éléments avaient pourtant de quoi susciter mon engouement. Roman épistolaire ayant pour toile de fond une double passion, l'une unissant un homme et une femme, l'autre une libraire et ses livres, "L'amour à la lettre A" n'a pourtant pas réussi à m'emporter dans son univers.
Pour commencer, si on me parlait d'une librairie appelée "Rêves&Sortilèges", je m'attendrais à y trouver des ouvrages de développement personnel ou de sciences occultes, mais des romans d'amour? Non, ça n'est pas ce qui me viendrait à l'esprit en premier lieu.
Le classement en typologies amoureuses réalisé par Emma ( "Amours et crimes", "Amours sans espoir", "Maintenant et pour l'éternité" - bon sang, on dirait un titre de Marc Lévy - "Missions impossibles",...) m'a paru aussi absurde (déjà que les quatrièmes de couverture en disent parfois trop, si les rayons annoncent d'emblée la couleur, merci mais non) que gnangnan.
Et lorsque celle-ci décide d'instaurer un système de bourse d'échange, c'en est trop.

La vie d'Emma m'a semblé terne et dénuée d'intérêt et sa façon d'évoquer sa jeunesse disparue m'a donné l'impression que sa vie s'était arrêtée au début des années 70.
La seule chose qui ait un tant soit peu réussi à me faire esquisser un sourire, c'est lorsqu'Emma évoque son aversion pour les technologies actuelles et en particulier internet (point de vue que je partage en partie même si j'estime qu'internet est un outil formidable pour autant qu'on sache en faire usage à bon escient).

C'est là le seul aspect de la personnalité d'Emma qui ait trouvé grâce à mes yeux. Pour le reste, il m'a semblé que ses goûts littéraires n'étaient évoqués qu'en surface sous forme d'inventaires.
Malgré le nombre impressionnant de titres cités, à aucun moment je n'ai pu me délecter d'un passage me donnant envie de me plonger dans un roman en particulier.
En ce qui concerne Federico, j'ai trouvé ses lettres d'un ennui abyssal. Entre les descriptions ronflantes de la biographie de J.P Morgan et son déballage de savoir architectural qui ne semble intéresser que lui, c'est sans doute lui qui occupe la plus grande part de responsabilité dans mon abandon de ce roman page 223.

Hé oui, je ne saurai jamais comment se termine cette histoire et j'ai curieusement l'impression que je ne m'en porterai pas plus mal.
Calvetti c'est fini (je ne crois pas que j'y retournerai un jour).
Lien : http://contesdefaits.blogspo..
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En ce dimanche matin, j'ai voulu vous partager un de mes romans préférés… Je l'ai découvert alors que je vivais un des plus chouette moment de ma vie professionnelle, je lançais ma petite bouquinerie. Malheureusement la vie ( et surtout un satané virus) n'a pas permis que ce rêve puisse perdurer… Mais il est toujours là et ne demande qu'à revivre… Peut-être être un jour, qui sait ce que la vie nous réserve.
Un roman qui, tel un onguent, te rempli le coeur et le corps d'un baume de bonheur.
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