AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,25

sur 315 notes
5
34 avis
4
33 avis
3
13 avis
2
0 avis
1
0 avis
Dans ce tome, on en apprend plus sur Alexia Tarabotti et ses origines. Je ne sais pas si cette quête est juste spécifique à ce tome et on en entendra plus parler ou bien s'il aura un gros impacte sur la suite. Quoi qu'il advienne, j'ai envie de continuer l'aventure !
Lien : http://caput-mortuum.fr/une-..
Commenter  J’apprécie          00
Ce tome est un peu différent des autres, les côtés positifs que j'avais appréciés dans les tomes précédents sont moins présents et s'ils restent de la partie, ça se traduit autrement. J'ai de ce fait un peu moins apprécié ma lecture, ces éléments constituaient vraiment ce que j'aimais le plus dans cette série, mais vu les événements racontés dans ce tome, c'est normal qu'ils soient en sous nombre. L'auteur arrive à palier à ces manques grâce à d'autres points de vue autre que celui d'Alexia. L'intrigue elle, est menée de la même façon, elle va crescendo et le plus important arrive vers la fin. Ma lecture aura été bonne, il est clair que ce n'est pas mon tome préféré, mais le futur qui se dessine pour nos personnages donne très envie de continuer la série.
Lien : http://bloggalleane.blogspot..
Commenter  J’apprécie          40
Ah, cette chère Alexia. C'est toujours un réel plaisir de suivre ses aventures. Je ne me lasse pas du tout de l'univers de Gail Carriger qui a su encore une fois me charmer avec ce tome trois qui se détache un peu des deux tomes précédents, mais qui garde tous les éléments que j'adore dans le Protectorat de l'ombrelle. En le finissant d'ailleurs, je n'ai eu qu'une envie : continuer avec le tome quatre (ce que je suis en train de faire, d'ailleurs), notamment pour savoir ce qu'il va advenir d'Alexia et de son désagrément embryonnaire.

La fin du tome deux nous avait laissé avec une Alexia assez désemparée et déboussolée. Il était assez difficile de la voir comme cela, mais connaissant notre héroïne, il était clair que cet état n'allait pas durer très longtemps. Et c'est avec plaisir que la mordante lady Maccon reprend du poil de la bête et décide malgré les dangers de partir à la recherche de la vérité concernant son état, la cause de tous ses soucis. Dès les premières pages, nous nous doutons que l'action va être prépondérante et que l'on ne va pas s'ennuyer. Les vampires sont décidés à éliminer Alexia, d'une part, et d'autre part, notre chère comtesse veut partir en Italie pour rencontrer les Templiers (de grands fanatiques religieux qui luttent contre le surnaturel). Aventures, actions et palpitations garanties. Du coup, on ne s'ennuie pas du tout une seule seconde.

Mise à part le départ d'Alexia de Londres, le grand changement dont je faisais allusion plus haut et que nous voyons deux "histoires" se dérouler en parallèle. Lyall, resté à Londres, a lui aussi une enquête à mener et un Alpha malheureux à gérer. Et j'ai vraiment apprécié de voir ces deux intrigues se dérouler en parallèle l'une de l'autre. Lyall prend de plus en plus d'ampleur au fil des tomes. Et outre le fait que c'est un personnage que j'aime beaucoup et cela depuis le début, je trouve que l'auteur a su lui donner une vraie place dans cette histoire. Il n'est pas seulement un personnage secondaire, plus maintenant du moins, il est très souvent au centre des intrigues et devient un personnage incontournable. On se demande même comment la meute pourrait survivre sans lui. Il en est la tête pensante et le plus remarquable, c'est qu'il se contente tout à fait de cette position, et je pense qu'il ne l'échangerait pour rien au monde malgré les tracas que cela suscite.

Alexia est, elle, toujours aussi divine. J'adore vraiment son caractère, sa façon de voir les choses et d'agir. Elle est déroutante à certains moments, pétillante et sarcastique, s’accommodant de tout d'une façon déconcertante. Et je l'adore pour tout cela. Même avec son désagrément embryonnaire comme elle appelle son futur enfant, elle n'en reste pas moins adorable. Pourtant, ce terme pourrait paraître choquant, mais venant d'elle, c'est drôle et je pars du principe que quand on donne un surnom à quelque chose ou à quelqu'un, c'est qu'on y attache de l'affection quelle qu'elle soit. D'ailleurs grâce à lui, nous en apprenons encore plus dans ce tome. Sur le paranaturel comme sur le surnaturel. Chaque tome a son lot de révélations, et plus nous avançons, plus il est facile d'appréhender tout ce qu'il se passe et comment, le surnaturel a été amené à "coexister" avec le non-naturel. Nous n'apprenons pas forcément des choses très appréciables (le fanatisme religieux y étant pour beaucoup), par certains moments, mais cela fait partie d'un tout.

Un tome donc très agréable à lire, avec des crises de fou rire, de l'action, de l’impertinence, et même si la fin ne laisse pas tellement de surprise, il n'en reste pas moins que les intrigues sont très bien menées et que Gail Carriger sait toujours autant me charmer avec son style très original.
Lien : http://loticadream.com/blog/..
Commenter  J’apprécie          280
C'est la lecture du manga qui m'a donné envie de reprendre les romans. Et comme pour les tomes 1 et 2, je l'ai dévoré.


C'est assez différent des tomes précédents puisque Conall et Alexia sont en froid suite à la grossesse de celle-ci. J'avoue que j'attendais avec autant d'impatience la résolution de ce conflit que la résolution du mystère autour du bébé. A ce sujet, j'ai trouvé que l'auteure avait vraiment bien travaillé son univers puisque tout trouve une explication bien argumentée. J'ai parfois eu des difficultés à tout saisir des explications sur les machines ou sur l'origine du "désagrément embryonnaire" mais c'est très bien construit. Il y a vraiment un fond derrière l'intrigue, on croit sans problème à la réalité d'un tel monde et c'est passionnant : à chaque nouvelle étape du voyage d'Alexia, on se demande quelle invention va faire son apparition et on l'attend avec une certaine impatience. de même que j'ai attendu avec impatience les explications sur la grossesse d'Alexia et son acceptation de celle-ci.


C'est un tome centré sur l'action, ce que j'ai vraiment apprécié car on ne s'ennuie jamais. Même si avec Alexia, il est rare de s'ennuyer... J'ai bien plus aimé Mme Lefoux que dans le tome précédent, elle apporte le petit plus technologique qui fait toute l'originalité du protectorat de l'ombrelle. Des inventions intéressantes font leur apparition et j'attends avec plaisir la suite du manga pour voir tout ça en action. Avec Floote en prime, le petit groupe m'a fait passer d'excellents moments. En parallèle, on suit aussi Conall et le professeur Lyall qui est un personnage fort intéressant, j'ai beaucoup aimé le voir gérer les problèmes de la meute ainsi que son alpha qui n'est pas dans un état formidable. Ce qui est appréciable aussi, c'est qu'on ne suit pas Conall qui suit Alexia, il a d'autres problèmes à gérer, notamment avec Lord Akeldama et ce n'est donc pas une course poursuite. Ce sont donc deux histoires en une, ce qui complexifie l'intrigue en la plaçant sur un plan politique et j'ai adoré suivre cet aspect également. Ivy et Tunstell ont un rôle majeur dans les événements sans être indispensables : ils sont essentiels mais discrets, mais la jeune femme aux chapeaux déjantés m'a manqué.


Dans ce tome, les énigmes se succèdent et les solutions amènent de nouveaux problèmes et d'autres questions qui promettent de bonnes choses pour les tomes suivants.
Commenter  J’apprécie          50
Londres sous l'ère de Victoria,

Lady Alexia Maccon a quitté son mari. L'Alpha de la meute des loups-garous et quatrième comte de Woolsey, lord Conall Maccon, l'en a pratiquement contrainte en refusant de reconnaître l'enfant qu'elle porte. Hélas… d'après les écritures, une paranaturel et un surnaturel ne peuvent pas enfanter.
Depuis deux semaines elle loge chez son beau-père, sous les feux des critiques hystériques de sa mère et des conversations stupides de ses demi-soeurs. « le désagrément foetal » comme elle le nomme est une véritable énigme qui fait jaser toute la bonne société sur une hypothétique inconvenance qu'elle aurait commise hors de la couche maritale. L'affaire prend de telles proportions, qu'Alexia se voit également démettre de ses fonctions du Cabinet Fantôme de la reine Victoria. Rejetée par Conall, et forcément de la meute, abandonnée par lord Akeldama qui a disparu on ne sait où, menacée de mort par les vampires de la ruche de la comtesse Nadasky, pourchassée par une horde de coccinelles mécanisées en bombes, elle réunit quelques uns de ses amis proches et fidèles pour leur dévoiler ses plans. Elle part en Italie… (pays des mâles Italiens, du café, du pesto… de tutti quanti… mais aussi fief des Templiers).
Approuvé par le professeur Lyall, Bêta de la meute, qui est de plus en plus inquiet pour son Alpha repu de formol (il n'y a que ce breuvage qui peut le saouler), par Floote, le mystérieux-ancien valet de feu son père, et par Geneviève Lefoux, inventrice Française au service de l'Ordre de la Pieuvre de Cuivre, le voyage est décidé à l'unanimité…

« – Lady Maccon, comment osez-vous montrer votre visage ici ? Prendre le thé d'une façon aussi voyante en compagnie d'un (elle fit une pause), d'un carton à chapeau agité… Dans un établissement respectable, fréquenté par des femmes honnêtes, convenable et d'excellente réputation.. Vous devriez avoir honte ! Honte de simplement marcher parmi nous (….) Vous devriez être en train de ramper aux pieds de votre mari et de le supplier de vous reprendre. »

Au manoir de Woolsey, juste avant d'être enfermé dans les geôles souterraines du château par le professeur Lyall qui ne sait plus comment faire pour le sortir de sa dépression, Conall demande à son Gama le commandant Channing Channing des Chesterfield Channing de surveiller Alexia et de la protéger de tout danger.

Accompagnée de Geneviève, toujours habillée en homme, et de Floote, Alexia va chercher les explications de sa grossesse auprès de l'Ordre du Temple. L'Italie lui préserve des surprises… mamma mia !

« L'Italie ?
- le creuset des opinions antisurnaturelles, cracha le professeur Lyall.
- le cloaque du fanatisme religieux, ajouta Tunstell.
- Les Templiers.
Ce dernier mot était de Floote et il le murmura. »

Ce troisième tome est digne des précédents. L'écriture folle de l'auteur, humour et loufoqueries, me ravit chaque fois. Plus que l'histoire qui se développe, ce sont les extravagances des mots-fleurs. Gail Carriger jardine méticuleusement son scénario. Je me délecte alors des noms des personnages (Channing Channing des Chesterfield Channing, ou Emmet Wilberforce Bootbottle Fips, Fips pour les intimes, ou…), de leurs caractères extravagants, des situations absurdes, de toutes les machineries bizarres qu'elle crée, des réparties, de l'ambiance victorienne aromatisée de so style et de fantaisie… C'est sûr, elle doit être apparentée à lord Akeldama !
Nous sommes embarqués sur le Continent et découvrons les moeurs des autochtones avec les coquineries des Français et les goûts sauvages des Italiens pour le café et l'ail ! Si les vampires craignent ce condiment, les loups-garous redoutent le basilic. L'entourage habituel d'Alexia se restreint un peu car elle laisse son imbécile de mari qui pédale dans sa tête, sa meilleure amie Ivy devenue Madame Tunstell, la meute… Lord Akeldama est absent, la présence de lord Ambrose, vampire au service de la comtesse Nadasdy, est juste esquissée… mais l'histoire dévoile un peu plus de la personnalité ambiguë de Geneviève Lefoux et celle impénétrable de Floot le valet.
Je ne suis pas déçue par ce volet et je lirai sans aucun doute le suivant… « Sans coeur ».
Commenter  J’apprécie          90
Grâce à mon challenge ABC, j'ai enfin pu sortir de mes étagères le troisième tome des aventures d'Alexia. Il était temps, car la lecture du second opus date de début 2012. Mais il restait quand même quelques bribes de souvenirs dans ma petite tête de moineau.

C'est avec plaisir que le lecteur retrouve des personnages connus comme Madame Lefou, l'inventrice excentrique, ce pauvre Biffy, Ivy et surtout le professeur Lyall. Floote est aussi très impressionnant dans son rôle de protecteur. Son personnage prend de l'ampleur et s'enveloppe encore plus de mystère sur son passé... Mais je n'en dis pas plus pour éviter de spoiler.

Un petit bémol cependant est que pour les besoins de l'histoire Lady Maccon et son poilu de mari passent peu de temps ensemble, et leurs piques verbales manquent dans ce récit rocambolesque. Même si l'humour est toujours aussi présent et plaisant dans ce tome.

L'action est au rendez-vous ainsi que quelques rebondissements intéressants. le lecteur en apprend d'ailleurs un peu plus sur les origines paternelles d'Alexia Tarabotti et sur les Sans Âmes, ce qui ne gâche rien, au contraire. (...)
Lien : http://lillyterrature.canalb..
Commenter  J’apprécie          20
Comme je vous l'ai dit dans ma critique du tome 2, j'ai enchaîné sur le tome 3. Alexia a été jetée dehors par son mari et elle se retrouve dans sa famille. Sa soeur Félicité est une garce finie et elle fait en sorte que tout Londres sache que sa soeur est enceinte et la croit adultère.
Alexia perd son poste de mujah, les vampires essayent de la tuer et Lord Akeldama a disparu.

Tout ça combiné pousse notre héroïne à partir en quête de réponses par rapport à son état, sur le continent et particulièrement en Italie (contrée des méchants templiers qui souhaite la mort des surnaturels).

Pendant ce temps Connall s'enivre au formol.

Comme je vous disais aussi à la fin de critique du livre deux, des coups de pieds au fesses se perdent, surtout pour sa soeur, et un peu pour le mari.

Après ce bref résumé, je peux vous dire que nous en apprenons un peu plus sur le père d'Alexia et un peu plus aussi sur Floote. Ce bon vieux Floote. Je n'arrive pas à m'imaginer que c'est un vieux majordome.
Tout ça pour vous dire que ce n'est certes pas le livre de l'année et que ce n'est peut-être pas le meilleur de la série, mais c'est une bonne transition qui nous permets de découvrir un peu plus de choses sur le passé.

On découvre une Alexia émotive (et oui, tout arrive), un Floote mystérieux mais toujours aussi compétent, des scientifiques fous, des templiers fanatiques et des loups-garous en déroute.
Bref un bon cocktail d'actions et de dévoilement de mystères.
Commenter  J’apprécie          30
Si j'ai été très contente de retrouver notre chère Alexia, je suis cependant assez déçue de ce troisième tome.

Même si j'ai apprécie le voyage à travers la France et l'Italie, j'ai trouver cette suite assez longuette et je dois vous avouer avoir à certains moment lu en diagonale.

On retrouve donc une Alexia bafouée, humiliée et surtout enceinte (ce qui n'est vraiment pas du gout de tout le monde).
Nous allons donc la suivre à travers sa quête pour prouver à la société dans laquelle elle vit -et surtout à son mari- que ce bébé est bien le sien et non pas le fruit d'une quelconque infidélité.

Vous l'aurez peut-être compris, l'action n'est pas tellement au rendez-vous cette fois-ci.

Bien qu'il y ai quelques bagarres bien sympathiques, le pep's et le rythme des précédents tomes se sont quelque peu égaré en cours de route, tout comme le mordant de notre Alexia chérie. Cela dit, il y a de quoi perdre son mordant quand toute la société, sa famille et l'homme qu'on aime pensent que l'on est une femme aux moeurs légères. Mais on arrive quand même à retrouver la Alexia Tarabotti qu'on adore et ces moments là sont un vrai plaisir.

Passons à Lord Maccon. Alors lui j'ai eu envie de le claquer la moitié du temps. C'est facile quand je lisais les parties où il était présent (parties qui ne sont pas énormes et pas très présentes) j'avais l'impression de me retrouver au cinéma devant Iron Man 3 (vous allez très vite comprendre la comparaison si vous avez vu le film).
Ou est donc passé notre Alpha bourru, macho et sauvage qu'on adore??
Alors ok il pense que sa femme l'a trompé (enfin même pas c'est juste sur le coup qu'il a sorti ça), mais est-ce une raison pour se laisser aller et devenir une vraie loque?
Je veux dire, Mec t'as merdé, t'as conscience d'avoir merdé et tu veux récupérer ta femme, pourquoi tu en te bouge pas les fesses au lieu de te bourrer la gueule h24 et déprimer comme un ado ???? -Petit aparté: Chapeau au professeur Lyall pour sa patience: s'occuper d'une meute, du BUR et de son idiot d'alpha en même temps n'est pas de tout repos.

Enfin bref, ne vous alarmez pas à la fin nous retrouvons nos personnages comme nous les aimons tant, et même avec une petite surprise en prime :)

Je finirais sur une note tout de même bien positive: moi qui suis une vampire addict dans le sang, j'ai adoré voir les vampires jouer les vilains, ça change de mes lectures habituelles. Etre pro loup-garous n'est pas habituel non plus d'ailleurs ^^
Commenter  J’apprécie          00
(...) Si la maternité d'Alexia apporte un peu plus de sensibilité à ce volume, les ingrédients habituels sont toujours en bonne place, l'humour né du décalage entre nos priorités et celles d'Alexia (ou de Lyall, le loup-garou le plus attentif à sa mise de tout le Commonwealth), ou des tentatives peu fructueuses de lord Maccon de comprendre les moeurs en vigueur avec la gent féminine humaine en général et avec sa femme en particulier ("ramper" et "se faire pardonner", principalement) en totale opposition avec sa nature d'Alpha, fonctionne toujours à plein. La plus grande implication de l'Ordre de la Pieuvre de Cuivre renforce un steampunk jusqu'ici resté en toile de fond. Enfin, des mystères s'éclaircissent et d'autres sont mis à jour. Floote et son ancien maître, le père d'Alexia, sont sous les feux de la rampe, mais ce sont des becs de gaz et pas des phares au xénon, aussi conserveront-ils plus que leurs parts d'ombre. Gail Carriger nous en garde pour la suite. Ô joie.
Lien : http://www.yozone.fr/spip.ph..
Commenter  J’apprécie          40
Impossible de terminer le tome 2 de la série du Protectorat de l'ombrelle sans enchaîner directement avec la suite. Après Sans forme, me voici donc plongée dans Sans honte...

Dans ce tome, c'est accompagnée de son amie française, l'inventrice Geneviève Lefoux, et de Floote, l'énigmatique mais si diablement efficace valet de feu son père, qu'Alexia se rend en Italie afin d'y rencontrer les Templiers et d'y trouver les réponses au "problème" révélé à la fin du tome précédent. Encore une fois, les dangers seront nombreux, les tentatives d'assassinat également, sans compter les fautes de goût de ce peuple latin barbare que sont les Italiens... Ah, Alexia a quitté le chic et les bonnes manières londonniennes, ça c'est sûr. Mais, heureusement pour elle, en Italie, il y a le pesto !

Sans grande surprise, et pour mon plus grand bonheur bien entendu, ce troisième tome se place en ligne directe de ses prédécesseurs. de l'aventure, de l'humour "so British", des inventions surprenantes dans un monde plein de surprises. On en apprend également un peu plus sur les paranormaux dans ce tome, chose intéressante car ces êtres sans âme sont tellement énigmatiques... le protectorat de l'ombrelle est une série vraiment addictive, dont les pages se tournent toutes seules et remplissent parfaitement l'unique rôle qu'on attend d'elles : la distraction !

À suivre donc très bientôt avec la suite, Sans coeur !
Commenter  J’apprécie          60




Lecteurs (599) Voir plus



Quiz Voir plus

Le Protectorat de l'ombrelle - Sans Âme

Mademoiselle Tarabotti est...

divorcée
veuve
vieille fille
fiancée

10 questions
109 lecteurs ont répondu
Thème : Le protectorat de l'ombrelle, tome 1 : Sans âme de Gail CarrigerCréer un quiz sur ce livre

{* *}