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Le meilleur tome jusque-là ! Aventures rocambolesques, réparties saignantes se succèdent à un rythme infernal, le tout sur fond d'ambiance steampunk particulièrement soignée. Voilà un tome extrêmement enthousiasmant et réconfortant après un second tome plus long à démarrer !
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Un tome toujours aussi délicieux, avec toujours autant de rebondissements gourmands, mécaniques ou (sur)naturels. Une bonne cuillère de pesto et quelques coccinelles pour améliorer tout ça. de nouveaux personnages intéressants, des "anciens" un peu plus développé et surtout on continue d'en découvrir plus sur le passé d'Alexia mais aussi son futur!
Si vous n'avez pas encore découvert les aventures d'Alexia Tarabotti, il faudrait s'y mettre, c'est très rafraîchissant
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Encore une fois, j'attendais cette suite avec impatience. Pourtant, je n'ai su que tardivement qu'elle était sortie. Une fois acheté, ce volume n'aura pas eu le temps de prendre la poussière sur les étagères. Pourtant, cette fois, j'ai eu plus de mal à dévorer cette histoire. C'est que nos deux protagonistes préférés, Lord et Lady Maccon, ne font pas face ensemble au danger qui rôde. du coup, leurs joutes verbales m'ont manquées terriblement. de même que la présence de Lord Akeldama. Il n'y a que Mme Defoux et Floote de réellement présents ici : Mme Defoux n'est à mon sens pas très amusante ; Floote l'est davantage, mais il est tellement secret, mystérieux et peu bavard qu'Alexia n'arrive pas à en tirer grand-chose. Par contre, le lecteur se pose beaucoup de questions quant au père d'Alexia et au rôle joué par Floote auprès de lui, car ce dernier semble connaître beaucoup de chose pour un sang bleu.
Je me suis consolée avec la relation entre l'Alpha et son Bêta, le professeur Lyall. Mais leurs scènes sont trop anecdotiques pour me satisfaire pleinement. En plus, le « désagrément embryonnaire » n'a que peut d'impact sur l'histoire, si ce n'est qu'il est la justification de la course poursuite entre les drones et notre fine équipe, de Londres à Florence.
Toujours l'ambiance steampunk, toujours la plume aussi originale de Gail Carriger qui se savoure grâce à ces petits détails insérés dans chaque phrase pour lui donner du mordant et du piquant. Cette fois, le lecteur est plongé dans l'action et l'héroïne n'arrêtera pas de bouger avant les dernières pages. Et puis, quelques scènes valent tout de même le détour : l'idée d'une Ivy en tenancière de la boutique de modiste de Mme Defoux, la découverte du pesto par notre lady, un lord Maccon nu devant le dewan… et bien sur le final et les retrouvailles de nos deux tourtereaux.
Malgré un petit moins pour moi donc, j'ai tout de même bien envie de découvrir la suite. Il va falloir attendre novembre 2012 apparemment.
Enfin, petite remarque sur la couverture : suis-je la seule à trouver bizarre d'avoir un paysage typiquement parisien, alors que nos héros n'y font qu'une courte halte très secondaire et que le coeur de l'intrigue est plutôt à Florence ?
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Ah mais ce que je l'aime Alexia, ce que je l'aime. Un sacré petit bout de femme, qui mène son monde par le bout du nez, qui me fait marrer, sourire ou se contente de m'emmener dans ses délires, aventures et périls multiples et variés.

Pour le coup, ici, ce n'est pas elle qui mène les autres, mais plutôt le contraire. Hé oui, notre Alexia est seule au monde. Pour ceux qui n'ont pas lu le tome 2, ne surtout pas lire la suite hein.

Car Alexa est enceinte. Oui! Enceinte alors que le père devrait être un être surnaturel et qu'elle est une paranaturelle, une sans-âme en d'autres termes. Comment cela est-ce possible. Et bien sûr, son loup-garou de mari ne prend même le temps de se poser la question, il la vire derechef de sa vie en l'accusant de milles maux, entre autres de l'avoir trompé, et la suite est logique: elle se fait virer du cabinet fantôme, désavoué par la Reine elle-même, elle finit chez sa famille qui est plus qu'horripilante et pour arriver au summum de sa déchéance: les vampires veulent la tuer.

Problème, elle n'a plus personne pour la protéger...

Ce tome est donc une histoire de course-poursuite dans toute l'Europe, où Alexia n'aura de cesse de trouver une explication scientifique à son état encombrant. Toutes les théories sont avancées, jusqu'à ce qu'on termine par découvrir, un peu, le passé du père d'Alexia.

Comme beaucoup, j'ai déploré l'absence de Conall même si j'ai juste adorééé l'état dans lequel cette grossesse le met, jusqu'au moment où il estime s'être assez vautré dans l'auto-appitoyement. Il est incroyable ce comte...

Alexia est fidèle à elle-même, surtout comme elle parle de son enfant et aussi de ses sentiments envers Conall... Je ne parle même pas de notre cher Lyall qui est incroyable, de notre vampire dandy favori, de Mme Lefoux, et de tous les autres. Ah mais quelle équipe!
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Série très sympathique dans la veine steampunk, science-fiction et surnaturel mêlés.
Le monde est très bien posé, décrit et les personnages très sympathiques.
J'aime beaucoup l'héroïne qui a beaucoup de caractère et de ressources!

A partir de 14-15 ans
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Alexia se retrouve seule contre tous.

Alexia, avec sa situation actuelle, se retrouve chez ses parents, pensant sûrement qu'à défaut de la soutenir, ils la protègeraient. Mais on se rend vite compte que le sens des convenances est beaucoup plus important que la santé d'Alexia. Entre les accusations de tromperies et les affirmations de la présumée coupable, on se rend compte avec horreur que la parole d'Alexia ne vaut rien.

Elle n'est pas cru par son mari, ni par sa famille et encore moins par la Reine Victoria. Il est très effrayant au début de ce tome de se rendre compte à quel point elle a si peu de soutien. Elle a beau s'être mariée, se battre pour sa famille et pour son pays, elle restera toujours l'élément jetable, la cause de tous les maux du monde.

Est-ce dû à sa condition de sans âme ? Ou est-ce parce que son caractère fort et indépendant suscite-t-elle autant d'animosité ? J'avoue que je n'arrive pas encore à me décider mais cela me rend triste pour notre héroïne. Au moment où elle a besoin le plus de sa famille proche, elle se rend compte qu'elle est seule. Et c'est là que je suis très admirative face à Alexia car elle ne se pose aps de question. Elle part pour prouver qu'elle a raison.


Et tout semble contre Alexia.

Lord Maccon étant un surnaturel, Alexia et lui ne peuvent concevoir d'enfants, du moins, il en a toujours été ainsi entre un être surnaturel et un être naturel. Mais voilà, Alexia est paranaturelle, ce qui devrait susciter le doute pour le monde que son état puisse être possible.

Toutefois, lorsque toutes les ruches vampiriques commencent à envoyer des assassins, les gens commencent enfin à se poser des questions. Certes, ils n'envoient personne, mais ils s'inquiètent. Notre pauvre Alexia se retrouve donc en vadrouille en Italie, afin de chercher dans ses origines le moyen de se disculper (alors qu'elle est enceinte).

Face à tant d'énergie, à tant de conviction, les gens sont bien obligés de suivre ce bout de femme. Sa volonté va faire plier des assassins, des ennemis de tout bord. Sa pugnacité lui fera découvrir une partie du passé de son père mais aussi une partie de ses particularités de paranaturelle.

En bref, encore un tome à cent à l'heure, bourré d'humour caustique où notre héroïne, sûre de sa condition de bonne épouse doute de son futur statut de bonne mère. Son futur qui semblait si bien rangé lui revient tout chamboulé. La pauvre va encore devoir s'acclimater à un nouvel environnement, relever de nouveaux défis.
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Après une fin aussi abrupte et surprenante que celle du précédent volume, autant dire que j'attendais avec une certaine impatience de me plonger dans la suite des aventures de la détonante Alexia Tarabotti. le plaisir escompté ne fut toutefois pas vraiment au rendez-vous, et ce pour une simple et bonne raison : l'un des principaux attraits des deux premiers tomes tenait avant tout à l'alchimie régnant entre Alexia et le personnage de Lord Maccon, loup-garou de son état et, accessoirement, mari de notre héroïne. Or, une fois séparés, nos deux tourtereaux semblent avoir perdu une bonne partie de ce qui faisait leur charme, et c'est donc avec impatience (et un peu d'agacement) que l'on attend leurs retrouvailles, non pas par pure aspiration romantique mais surtout pour les voir enfin reprendre du poil de la bête (et c'est le cas de le dire...). Alexia, notamment, semble avoir perdu, à défaut de sa combativité, du moins une partie de ses capacités de réflexion et de son légendaire bon sens : notre héroïne se contente ici de se laisser embarquer par les événements, sans jamais chercher à prendre les devants. Cette petite faiblesse aurait pu aisément être compensée par une intrigue bien menée, seulement celle-ci ne s'est guère plus emballante en raison de problèmes de rythme et d'un final qui laisse grandement à désirer.

Mais peut-être suis-je un peu trop dure, car il y a évidemment également de bonnes choses dans ce troisième volume, notamment cette petite touche d'humour anglais qui faisait la saveur des tomes précédents et que l'on retrouve ici intacte. Quant aux personnages, puisque Lord et Lady Maccon semblent incapables de se débrouiller correctement l'un sans l'autre, c'est aux rôles secondaires qu'il revient ici de se distinguer. Et justement, certains d'entre eux se débrouillent tout à fait honorablement, à commencer par le professeur Lyall, le seul qui parvient à véritablement se démarquer par son efficacité et son caractère typiquement anglais. Les performances de Floote, le discret valet d'Alexia, et du professeur Trouvé, inventeur français rencontré lors de leurs péripéties et un peu farfelu, ne sont cela dit pas à négliger. Autre point positif : le fait que soit enfin abordé de façon plus précise des thématiques importantes telles que la nature des paranormals ainsi que leur place dans les différentes civilisations de l'histoire, ou encore les relations entretenues entre loups-garous / vampires et les humains dévoués à leur service (les portes-clés pour les premiers, les drones pour les seconds)

« Sans honte » occupe la place centrale dans la série de Gail Carriger et malheureusement cela se sent un peu trop : difficile de se départir de l'idée que l'on a essentiellement affaire ici à un tome servant uniquement de transition. Espérons que le quatrième et pénultième volume du « Protectorat de l'ombrelle » se révélera plus convaincant et que notre héroïne aura d'ici là retrouvé la totalité de sa forme. Affaire à suivre...
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J'étais moyennement pressée de retrouver cette série, non pas que je ne l'apprécie pas, mais parce que j'ai trouvé que le deuxième tome perdait un peu de son intérêt par rapport au premier. L'occasion s'étant présentée et le tome 3 étant dans ma PAL, j'ai quand même tenté ma chance. Si la baisse de régime est toujours présente, j'ai retrouvé un peu de mon plaisir des débuts avec une Alexia à la langue acérée et aux remarques tordantes.

Le récit s'attarde une fois de plus davantage sur la vie des protagonistes que sur l'action en elle-même. L'absence de Lord Maccon se fait quand même cruellement sentir et l'injustice vécue par Alexia a de quoi énerver, enfin surtout elle étant donné son caractère bien trempé. La voilà qui va donc entreprendre un voyage en Italie pour tenter de trouver des réponses et surtout pour s'éloigner de son époux qui refuse d'ouvrir les yeux.

Nous retrouvons ainsi notre fine équipe du tome précédent qui va se retrouver au milieu d'événements inattendus et parmi des gens pas toujours très… gentils. Alexia va aller de découvertes en découvertes, et se rendre compte qu'elle ne connaît vraiment rien sur ce qu'elle est et ce qu'elle représente, ou encore sur ce que son enfant peut bien être, ce qui effraie bien des gens.

Si le début s'avère une fois de plus assez lent et monocorde, la deuxième partie du récit est bien animée et palpitante, même si elle se termine un peu facilement à mon goût. En même temps, je trouve que c'est souvent le cas avec cette série, les idées sont complexes mais tout se dénoue ou se noue extrêmement rapidement (un peu comme les sautes d'humeur d'Alexia en fait).

Si l'intérêt du récit porte avant tout sur les personnages d'Alexia et de Lord Maccon, les révélations de fin de tome nous donnent suffisamment envie d'en savoir plus pour lire la suite. Toutefois, je trouve dommage que la série devienne aussi vide et « facile », du coup je garde quand même une pointe de déception amère qui fait que je ne vais pas non plus me jeter sur la suite immédiatement.

En bref, cette série n'est toujours pas antipathique, loin de là, mais les émois ressentis lors du premier tome dus à la nouveauté de l'oeuvre se perdent au fil des tomes face à la répétition des événements et ce malgré les révélations. J'apprécie toujours de suivre cette histoire et même si je la note bien à chaque fois, je suis toujours en train de réfléchir : la continuerai-je ou pas ? Ma passion pour Alexia et Lord Maccon est-elle suffisante? Telle est la question…
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Voici le meilleur tome de la série !!! Des rebondissements, de l'action, des situations et des dialogues plaisants et hilarants, un périple de l'Angleterre à l'Italie. Une vraie réussite.
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Le meilleur tome de la série pour moi ! Pour une fois, je suis d'accord avec le commentaire sur le 4ème de couverture, c'est vraiment "brillant".
Outre le fait qu'on rit pas mal avec les bêtises de Conall, les rebondissements sont nombreux, et l'enquête d'Alexia vraiment prenante, on a envie de savoir avec elle. C'est le premier de la série que j'ai du mal à lâcher et hâte de reprendre.

J'ai, au début, ressenti une petite lassitude sur l'attirance entre les deux femmes (Lefoux et Alexia), ça me gonfle à force d'en voir partout, ça, ça devient trop standard à mon goût... (Il faut dire que je regarde la série Dracula et c'est pareil, ça me gonfle aussi). Mais les délires de Conall sont tellement amusants que ça m'a vite fait oublier mon agacement. Curieusement, même si ça donne envie de lui donner quelques claques, c'est quand même très bien fait et dans la "logique" du personnage.
Je ne compte plus le nombre de passage que j'ai lus à mon homme (à chaque fois que je riais, en fait) ! On plaint Lyall de tout son coeur...

"Brillant" car j'en suis encore à me demander comment l'auteur fait pour écrire des histoires aussi glauques où on rit autant. C'est quand même ici encore poursuites et tentatives d'assassinats diverses, sans parler de ceux qui aimeraient bien disséquer Alexia, le "Spécimen Femelle" pour les uns, "enfant du démon" pour les autres, et on s'amuse quand même ! M'enfin...
Une vraie prouesse de style (quoi que vue ailleurs, dans les aventures de Vlad Taltos notamment). J'adore également les quelques néologismes genre l'adjectif "Flootesque" (de Floote, nom du majordome, lol !). C'est peu utilisé mais du coup c'est surprenant et amusant quand ça tombe !

Quant aux délires "steampunk", l'ombrelle à tiroirs, l'ornithoptère ou les excellentissimes coccinelles tueuses, mouahaha, c'est génial ! Ainsi que le coup du "pesto", d'ailleurs...  

Un coup de coeur. Pour ce tome.
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