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Dans ce troisième tome du "Protectorat de l'ombrelle", de Gail Carriger, nous retrouvons notre héroïne sans âme en Italie, invitée malgré elle dans l'antre secrète des templiers.

Difficile d'en dire plus sans divulguer des éléments de l'intrigue donc je me contenterai de critiquer celle-ci. J'avais adoré les deux premiers romans alors qu'ici j'ai manqué d'engouement pour tourner les pages. J'ai trouvé que certains passages étaient vraiment longs et lourds avec des détails assez inutiles.

L'Alexia du 1er tome me manque : sa curiosité, sa légèreté, sa façon de s'en contrefaire des convenances, tout cela a disparu dès son mariage avec le Comte, c'est dommage.

On est toujours un peu plus dur quand la suite d'une histoire n'est pas à la hauteur de ce qu'on imaginait. Cela n'enlève en rien le talent et l'imagination de l'autrice, c'est pourquoi je continuerai à lire cette saga steampunk avec plaisir car il reste bien des mystères à découvrir ...
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MON AVIS

J'ADOOOORRRRREEE


❤❤❤❤❤


Non mais c'est frais, piquant, original. Alexia est juste l'héroïne dont je pourrais tomber amoureuse, son côté sans âme l'a rend pragmatique, logique, réfléchi, les émotions et les états d'âmes sont relégués au second rang.


Un bit-lit steampunk sur fond d'époque victorienne si je ne me trompe pas sur la concordances des dates, ça doit porter un nom spécifique si ça se trouve ce style mais bon il y a tellement de définition, de noms de genre ect de livre que je m'y perds !


En résumé, Londres, époque victorienne, belles robes encombrantes, manières à ne pas oublier, des loups-garous, des vampires et un univers tourné vers le steampunk, Octopus et inventions mécaniques sont bien présents.


Dans ce Londres bien différent, les êtres surnaturels ont fait leur coming-out. Il y a donc les surnaturels, ceux qui ont un excès d'âme (artistes, inventeurs, scientifiques ect) peuvent prétendre à l'immortalité soit en devenant un vampire après avoir reçu la morsure d'une reine, soit en devenant un loups-garous après s'être volontairement fait déchiqueté par un Alpha (autant dire que cette alternative à l'air moins glamour dans la transmission, mais il y a aussi une catégorie de personne bien différente… Alors qu'il y a les « normaux », les surnaturels, il existe les paranaturels, c'est-à-dire ceux qui sont nés sans âme ! Ils sont normaux, à quelques détails près, mais surtout très très rares ! Alexia Tarabotti fait partie de ces derniers.


Elle se retrouve, avec plaisir, mêlé à une affaire de vampires sans ruche ni reine qui ne connaissent pas les conventions d'usages de la bonne société londonienne. C'est alors qu'elle s'associe au BUR, la police surna disons, et surtout à Lord MacCon pour mener l'enquête, bien malgré lui qui aurait préféré qu'elle ne meleypas son ombrelle à ses affaires .


Je n'en dis pas plus mais après ayant lu les 4 premiers tomes je suis conquise. J'ai seulement peur d'ouvrir le dernier et 5e tome pour arriver sur la FIN que je n'ai pas envie de terminer en fait ! Je repousse l'échéance au maximum 😂
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Dans cette saga, on découvre le personnage d'Alexia Tarabotti dans un Londres du XIXe siècle un peu steampunk et complétement surnaturel. La jeune femme est ce que l'on appel une "sans âme", ce qui signifie qu'elle n'a pas d'âme et qu'elle à donc un côté un peu froid et bien plus rationnel que le reste des gens. Cela lui donne aussi l'étrange capacité de neutraliser les être surnaturels tel que les vampires, les loups-garous et les fantômes. Dans ce tome 1, Alexia doit faire face à une attaque de vampire alors qu'elle était à une réception. C'est Lord Maccon, un comte écossais loup-garou travaillant pour la reine Victoria qui est changé de l'affaire. Alexia, quand à elle ne compte pas se laisser accusé et compte bien prouvé son innocence.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette série, à tel point que j'ai enchainé tous les tome ce qui n m'arrive pas souvent...
J'ai beacoup aimé l'univers et tout ce qui touche au créature, comment elles fonctionnent, comment elles sont transformées... J'ai beaucoup aimé l'idée des sans âmes, c'était assez original.
J'ai adorée les enquête et l'intrigue, c'était très plaisant à lire.
Les personnages sont vraiment vraiment tous très chouette. Alexia est un des meilleurs personnages principaux que j'ai put rencontrer, elle m'a fait penser à Esther Parmentier et 'a bien fait rire. J'aime beaucoup son caractère et son répondant. C'est pour la même raison que j'ai beaucoup aimé Lord Maccon et Lord Akeldama.
J'ai bien sûr aimé la petite romance qui se développe en parallèle, elle est vraiment sympa.
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Chassée, humiliée et profondément en colère contre son idiot de mari, Alexia est bien décidé à prouver à cette andouille que l'enfant est bien de lui, partant ainsi pour l'Italie, pays du délicieux pesto, armée de son ombrelle astucieuse et d'acolytes fidèles et dissemblables, une horde de vampires à ses trousses.

Ce tome 3 reprend cette ambiance hybride que j'aime tant : steampunk bit lit, dans un monde victorien, avec un humour so british. L'action reste très enlevée, sans longueurs, avec un rythme plaisant. La narration alterne entre Alexia et Lyall ( mon 2e préféré), nous offrant ainsi une vision complète de l'enquête à nous lecteurs, avec au passage des personnalités qui ne manquent pas de sel. Ah Alexia, sa vision du monde et sa langue acérée! Gail Carriger étoffe son monde, que ce soit l'aspect steampunk comme celui ( et c'est surtout celui-ci) des paranaturels avec la grossesse miraculeuse d'Alexia. On découvre donc des réponses à nos questions, tout en nous en posant des nouvelles.

Je suis littéralement tombée amoureuse de cette série et je me mets derechef sur le tome 4!
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Ce 3ème tome entraîne Alexia jusqu'à Florence, en Italie, où elle va rencontrer les Templiers qui vont lui apporter des réponses, de façon plus ou moins volontaire, sur son statut de « Sans-âme » , sur son père et sur son futur bébé.
Ce tome, plus rythmé que le précédent, m'a plu davantage. Il y a beaucoup d'actions successives, de mystère à résoudre et toujours beaucoup d'humour. de plus, on en apprend plus sur les personnages secondaires (Floote et Lyall surtout) qui prennent en importance et on découvre de nouvelles inventions que j'ai trouvé géniales. J'ai apprécié ce tome et m'en vais de ce pas lire le suivant.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Toujours plus déjanté avec son humour parfois caustique et son action échevelée, le récit de Gail Carriger m'a transportée, amusée, charmée. J'ai vraiment passé un excellent moment, léger certes, mais en bonne compagnie. Alors que je pensais me lasser rapidement des histoires de son héroïne, j'en redemande et je vais me précipiter sur le tome suivant !
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Suite à la fin précipitée de Sans Forme, on retrouve Alexia en cavale avec Mme Lefoux et son fidèle Floote, un personnage que j'apprécie énormément : calme et efficace.
On sort pour la première fois du Royaume-Uni et on découvre l'Italie version Steampunk, ou plutôt version Templiers, un voyage qui s'annonce plein de rebondissements. On en apprend sur le mystérieux père d'Alexia.
Et surtout... Alexia découvre le café et le pesto !!
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Ça fait très longtemps que je voulais lire ce troisième tome… et en relisant ma chronique du précédent, j'ai réalisé que je l'avais lu il y a plus de 5 ans… en effet, ça fait un sacré bout de temps !
Ce n'est pas très grave parce que l'univers est entêtant, donc je me souvenais sans mal de la trame principale, des relations qu'entretenaient Alexia et son mari Conall, des pics que se lancent les personnages, etc.
Ce qui pêchent, ce sont les détails. Mais comme dans toute grande saga digne de ce nom, l'auteure donne au fil des pages et des chapitres des précisions sur des éléments qu'on aurait pu oublier, comme la façon dont lord Akeldama obtient tous ses renseignements, l'organisation du cabinet fantôme, etc.

Bon, cessons de tergiverser plus longtemps :
Dans ce troisième tome, la vie d'Alexia est totalement bouleversée. Elle est enceinte, mais comme les loup-garous sont stériles, lord Macon est persuadé qu'elle a été infidèle et la jette dehors, ça, c'était à la fin du second.
Elle retourne donc vivre chez sa mère. Et là, tout part en sucette : la grossesse impossible d'Alexia et son “infidélité” sont annoncés dans les journaux. Tout le monde lui tourne le dos : sa mère la vire de chez elle, la reine Victoria lui enlève la fonction de muhjah. Lord Akeldama l'invite dans la foulée à venir chez lui chercher refuge mais quand elle s'y rend, il a disparu. Et comble de l'histoire, on essaie de la tuer.
Elle n'a d'autres solutions que de demander l'aide de madame Lefoux. Toutes deux partent avec Floote pour l'Europe afin de trouver des renseignements sur ce qu'est réellement le désagrément embryonnaire qu'elle porte.

J'ai adoré cette lecture que j'ai terminée en quatre jours tellement c'était prenant. J'avais très envie de découvrir ce que risquait d'être ce foetus ; pas comment il avait pu être conçu, parce que ça me paraissait logique : vu qu'Alexia rend mortelles les créatures surnaturelles, dont son mari. Par contre, les explications de “mortels mais pas vivants” ou sur l'éther ne m'ont pas convaincue, c'était certes bien tourné mais un peu trop compliqué, je m'y suis perdue.

J'ai particulièrement aimé découvrir un peu plus madame Lefoux, elle est trop bien : intelligente, drôle, attachante, une Française dans toute sa splendeur, quoi !
Pareil pour Floote, il garde ses secrets au mieux, mais heureusement, on en perce quelques uns, même si ça reste superficiel, c'est un bon début.
Lord Macon m'a un peu énervée tant il se comporte comme un abruti, pourtant je lui en suis presque reconnaissante : ça permet à son Bêta, le professeur Lyall, d'être davantage présent et c'est tant mieux parce que je suis fan du personnage.

J'ai passé un excellent moment avec cette lecture. C'était un coup de coeur jusqu'à Florence, mais une fois Alexia et ses acolytes en Italie, j'ai moins aimé… c'était presque décevant. Malgré ça, j'ai adoré ce troisième tome et j'ai hâte de découvrir le prochain.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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J'enchaîne les tomes de cette saga young adult qui sera décidément une des belles découvertes de cet été. c'est toujours distrayant sans être bêtifiant ou insipide, et ça renouvelle toujours le genre !
Dans ce 3eme épisode des aventures d'Alexia, notre héroïne témoigne davantage de son fichu caractère et retrouve sa personnalité flamboyante du premier tome, caractère qui avait un peu baissé d'envergure dans le tome 2 où son époux était plus à l'honneur. Ici on retrouve Alexia dans toute sa splendeur, par la force des choses : puisque son marié l'a injustement et brutalement mise à la porte .... et que sa famille (c'est là que sont les personnages les plus "austeniens" je trouve) n'est pas plus accueillante .... Alexia doit se prendre en charge et surtout essayer d'en apprendre le plus sur l'imprévu qu'elle doit affronter, elle et le monde surnaturel !
Notre connaissance du monde surnaturel s'étend peu à peu, ici sous un nouvel éclairage (relations entre les surnaturels, fonctionnement de la meute et rapports au gouvernement...) et ceux qui le combattent également (les fameux Templiers, la pieuvre et ses membres), tout en glanant ici et là de nouvelles infos sur le père d'Alexia (personnage qui sera j'espère développé par la suite : visiblement, c'est "quelqu'un"). Là encore les seconds rôles sont bien "consistants" et l'on peut s'attendre (et espérer) que nous les retrouverons dans les tomes suivants (mention spéciale pour mon "chouchou" le professeur; j'aime moins Geneviève, mais bon). le nouveau changement de cadre, avec le voyage et l'Italie apporte de la fraîcheur à chaque tome ! (tout) Petits bémols pour les clichés xénophobes des uns et des autres (tout à fait d'époque XIX°, mais quand même) et la répétition de certains détails (les douleurs de la transformation lupine par exemple) dont on pourrait finalement faire l'économie.
en bref : encore un bon moment avec Alexia et C°. bravo à l'autrice ! Où est le tome 4 ? Oh il m'attend déjà à côté de l'ordi (tout comme le 5 ;-) )
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Après l'épisode malencontreux de l'Ecosse, Alexia a dû retourner précipitamment vivre chez sa mère. Alors que sa réputation en prend un sérieux coup, la voilà qui court encore un grave danger car les vampires en ont après elle. Pendant que son mari préfère se saouler au formol à longueur de journée laissant le professeur Lyall se dépatouiller dans la gestion de la meute, Alexia, elle, s'embarque dans un voyage pour l'Italie. Elle espère semer ses poursuivants et trouver des réponses quant à sa condition de paranaturelle et d'autres choses encore. Bien entendu, rien ne va se passer comme elle l'entend, mais cela,vous vous en doutez !

Sans honte se met au diapason des deux tomes précédents. Toujours aussi rythmée, la plume de Gail Carriger nous emporte, virevoltant, d'un lieu à l'autre sans nous laisser le temps de reprendre notre souffle, pas plus qu'à son héroïne, d'ailleurs.

Après l'Ecosse, direction l'Italie en faisant escale en France. Comme dans les tomes précédents, Alexia continue d'emprunter des moyens de transport avant-gardistes. Ainsi après le dirigeable, c'est à bord d'un ornithoptère qu'elle fait une partie du voyage. Gail Carriger se plait à habiller son récit d'un cadre rétro-futuriste très réussi.
Sans honte apparaît comme un tome charnière à son cycle. Il est notamment riche en révélations concernant la nature d'Alexia. On en apprend donc plus sur l'ingrédient que l'autrice a ajouté à son univers bit-lit. En introduisant des paranaturels dont la simple présence annule les pouvoirs des créatures surnaturelles, Gail Carriger donne de la singularité à un genre très prisé. Ici les investigations d'Alexia la conduisent à faire remonter l'existence de ses semblables au temps de l'Egypte antique. A travers les découvertes de son héroïne, Gail Carriger distille des éléments majeurs sur ces créatures d'un tout autre genre de celles que l'on a l'habitude de côtoyer... suite sur Fantasy à la Carte.
Lien : https://fantasyalacarte.blog..
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