AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,26

sur 251 notes
5
18 avis
4
31 avis
3
8 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai dévoré ce 4e opus!

Quelques mois ont passé, Alexia est dans son dernier mois de grossesse. Cette seule phrase donne à peu près le ton : lady Maccon n'en fait qu'à sa tête mais son corps ne lui permet pas tout, à son grand dam. de plus, comme déjà vu dans le 3e tome, Alexia aborde sa grossesse et la maternité d'une manière très... Tarabotti.

Sa grossesse et le devenir de son enfant reste un point important de ce tome. Après tout, le lecteur est également très désireux de savoir la nature même de l'enfant à naître. Les conflits sont loin d'être résolus. Les vampires sont toujours aussi désireux de tuer Alexia, certains qu'elle porte en elle l'objet de leur destruction à venir. Des décisions sont donc prises.

Comme de coutume une enquête est menée, Alexia assumant son rôle de mujah. Il est question d'esprits, de conspiration. Un petit sac de noeud pas facile à dénouer mais qui permet, de manière astucieuse, de visiter le passé d'un certain nombre de nos protagonistes de manière naturelle.

L'univers reste toujours aussi bien dosée : une touche de bit lit, une touche de steampunk, le tout dans un univers de Londres victorien. J'en raffole! On s'attache indéniablement aux personnages, à commencer par celui d'Alexia, tolérante et à la langue acérée. Son mari, un bougon un peu frustre mais toujours très soucieux de ceux qui dépendent de lui. Lyall, maître de lui-même en toutes circonstances, compétent, convenable, mais aussi triste. Akeldama, piquant et exubérant , cachant au mieux ses failles. Que dire encore de Biffy, d'Ivy, de Genevieve, de Floote? Les différents protagonistes sont complexes et s'ancrent merveilleusement dans cet univers.
Pour ce qui est du rythme, on reste sur une narration très fluide, avec beaucoup d'action , le tout saupoudré d'une dose d'humour au bon moment.

Hop, je me mets immédiatement sur le cinquième et... dernier tome!
Commenter  J’apprécie          246
Et encore un essai transformé pour G. Carriger.
Le truc le mieux dans cette série étant qu'à peine le livre entamé, on commence à rire de bon coeur. Ici la grossesse d'Alexia est le prétexte tout trouvé à un humour omniprésent, et elle se dandine beaucoup dans ce tome !
Pourtant l'enquête demeure prenante et on se demande bien où on va et pourquoi tout au long du bouquin ! L'ambiance steampunk est toujours aussi bien décrite, je me suis crue dans Wild wild west, pour le coup ! On se demande aussi comment Alexia n'accouche pas prématurément, elle se fait quand même bien secouer, une fois de plus ! :D
Les personnages sont égaux à eux-mêmes, toujours aussi attachants, on en apprend de belles sur le professeur Lyall, et Félicité, la soeur d'Alexia !
C'est formidablement bien écrit et bien traduit, toujours un régal à lire, même si la fin est un peu rapide...
Bref, encore un super moment de lecture avec Gail Carriger et ses héros hauts en couleur, c'est quand même le top de la "bit-lit", le "protectorat de l'ombrelle" !
Commenter  J’apprécie          112
un vrai plaisir de retrouver Alexia mais aussi de retrouver le style et toute la verve de Cail Carriger.Le Londres qu'elle a créé est toujours aussi surprenant, plein de surprises et de charme. A propos de charme d'ailleurs, celui-ci ne diminue pas au fil des tomes de cette série. le lecteur se retrouve plongé avec délice dans ce Londres victorien aux règles de vie si rigides, bien souvent mises à mal par ces surnaturels qui ont parfois un sens des convenances déplacé ... Si vous avez aimé les tomes précédents, celui-ci vous ravira tout autant sinon plus et si vous ne connaissez pas encore cette série, qu'attendez-vous !!!

Ce protectorat de l'ombrelle est un savant cocktail de sourires, surprises, révélations, situations croquignolesques, charme et aventures. On se régale et on en redemande !!
Lien : http://bookenstock.blogspot...
Commenter  J’apprécie          110
Les Macon essuient un grands nombre de tentatives de meurtres en tout genre, il semble que leur enfant à venir n'est pas le bienvenue. Heureusement ils n'ont pas dit leur dernier mot !
Commenter  J’apprécie          80

Alexia se retrouve à devenir hyper active à son huitième mois de grossesse.

Pas facile pour notre héroïne préférée de faire face à son désagrément embryonnaire. Tout d'abord parce qu'il est considéré comme une menace par une ruche vampire. Ce qui la rend susceptible de subit un assassinat (rien de moins). de plus, il y a un risque que son enfant soit un sans âme, ce qui veut dire qu'elle va être repoussé par lui (il paraît que c'est courant). Par conséquent, Alexia se retrouve dans une situation où elle doit éviter à tout prix de s'attacher à son futur enfant car soit il risque de se faire tuer, soit il va la repousser.

Enjoy ! Sans compter que à cause de ledit enfant, elle s'est retrouvée rejetée par sa famille et son mari il y a quelques mois tout simplement parce qu'ils en ont déduit qu'elle avait eu une aventure extra conjugale. On a beau dire que cet état pouvait être passé, la pilule, elle a dû mal à l'être et on comprend bien pourquoi.

Aussi, Alexia s'occupe. Elle s'occupe du déménagement de la meute près de la maison de Lord Akeldama. Ensuite, elle s'occupe d'une enquête de fantômes (et sans l'aide du bureau secret, ou presque) alors que bon. Elle approche de ses couches. Et tout le monde se borne à lui dire qu'elle devrait quand même être recluse chez elle car non présentable. Bref, la pauvre n'est pas sortie de l'auberge


Et pourtant, on a le sentiment qu'Alexia trouve enfin sa place de choix.

En effet, on découvre en réalité le statut de femme d'Alpha, même si c'est un peu particulier puisque c'est une sans Ame, d'Alexia au sein de la meute. Et, cette fois ci, elle ne le prend pas comme une femme au foyer, elle le prend comme une femme active qui a aussi un statut de Mujia. Et donc, elle se réinvente elle-même ce job, entre diplomatie et actions. Et surtout, elle retrouve la place qu'elle a auprès de son mari. En effet, elle découvre qu'il la désire toujours, qu'il s'inquiète pour elle, même s'il lui laisse plus de manoeuvre qu'avant. Bref, c'est un véritable domaine d'affection et de complicité qui s'ouvre devant eux. Ce n'est plus un couple passionnel que nous avons là, mais un couple rock qui a un rôle social, un rôle familial aussi.

Ainsi, Alexia peut développer (même tardivement) son activité professionnelle à fond ! Et cela lui fait du bien. Elle va devoir organiser sa propre petite organisation et enfin, on voit émerger le Protectorat de l'Ombrelle. Mais je ne vous en dis pas plus, je sens qu'il va falloir le lire... Et patienter jusqu'au prochain tome.

Un régal, comme toujours !
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
Commenter  J’apprécie          80
Le Protectorat de l'ombrelle est une série coup de coeur, un ovni littéraire de par son style teinté d'une délicieuse ironie, et l'intérêt qu'elle suscite ne diminue pas avec le temps. Au contraire, il ne fait que se renforcer, d'autant plus que Gail Carriger n'a pas son pareil pour créer des personnages attachants, grâce à des descriptions mi-affectueuses mi-moqueuses. du grand art en mots, au service d'un Londres victorien totalement loufoque, avec ses créatures surnaturelles qui malmènent les convenances pour notre plus grand plaisir.

Au fil des tomes, nous avions appris à chérir la relation entre Alexia et son gros mari, hirsute les soirs de pleine lune, eh bien, sachez que dans cet opus, c'est un peu la consécration de leur couple. Un Conall, on en voudrait toutes un à demeure, quitte à devoir supporter sa capacité pulmonaire hors norme, qu'il utilise avec entrain. Que ne ferait-on pas pour profiter de l'amour tendre d'un tel homme, qui vous parle avec un accent écossais, et dont les manières maladroites deviennent touchantes ?

Contrairement aux précédents livres, on ne voyage pas, on reste dans ce bon vieux Londres, dépoussiéré par une Gail Carriger à l'imagination hallucinante. L'intrigue repose cette fois sur l'entourage proche de notre Sans Âme, ce qui fait qu'on passe gentiment chacun de ses amis ou connaissances à la loupe. Et cela donne par moments des scènes émotionnelles, tout en pudeur, auxquelles on ne s'attend pas, et qui ont, de ce fait, encore plus d'impact sur nos petits coeurs. On retrouve avec bonheur tout ce petit monde, qui supporte les humeurs d'une Lady Maccon enceinte jusqu'au cou, qui n'en peut plus de la réduction de sa mobilité causée par son « désagrément embryonnaire ». Ce bébé, on l'attend avec fébrilité depuis le tome précédent, qui nous laissait entrevoir sa nature particulière. Mais avec les fantômes qui font des leurs en chuchotant des complots ourdis contre la reine, on n'a pas vraiment le temps de penser à une soirée layette.

C'est un tome qui bouge beaucoup malgré l'état de notre Muljah, qui fait passer son devoir avant son propre bien-être, au grand désespoir de son mari qui grogne dans tous les sens. Des compromis improbables doivent être pris pour faire face à cette naissance inédite, des amours contrariés se compliquent, tandis qu'on mène l'enquête pour découvrir qui veut tuer la reine. En terme d'enquête, chapeau à l'auteure, qui nous mène pas le bout du nez jusqu'au bout, faisant pleuvoir au passage des révélations surprenantes. Entre contraintes domestiques et retours sur le passé de certains personnages clefs, cet opus n'est pas avare en sensations. On sourit toujours grâce à un Lord Akeldama passé maître dans l'art du « surnommage » aigu, qui nous régale avec sa présence haute en couleurs, et il nous arrive même de verser une petite larme pour un certain Beta, qui fait décidément honneur à son titre…

Je vous laisse le plaisir de découvrir tout cela dans ce quatrième opus, plus intimiste, qui permet d'apprendre bon nombre de choses sur la petite troupe qui suit Alexia depuis le début. L'action cocasse est toujours de mise, et la fin de Sans Coeur ne manque pas de piquant. Je vous arrête tout de suite, cela n'a rien avoir avec quelques porcs-épics zombies… À déguster sans modération. Comme le bon thé, on en redemande sans jamais arriver à satiété. Vivement le prochain et dernier tome !
Lien : http://www.place-to-be.fr/in..
Commenter  J’apprécie          60
Si vous aimez le Londres victorien, les vampires, les loups-garous, la mode et les héroïnes pas nunuches, ce livre est fait pour vous. Je l'ai adoré. Et même si j'ai adoré retrouvé Alexia Maccon, née Terrabotti, je dois dire que ce tome se suffit parfaitement à lui-même.
Nous retrouvons Alexia dans une situation qui ne lui est pas favorable. Elle est enceinte de son loup-garou de mari, presque à terme. Croyez-vous qu'elle aura perdu de son caractère combattif ? Pas du tout - même si, très souvent, son entourage voudrait bien qu'elle se calme - et pas qu'un peu. Alexia ne se plaint jamais, sauf à son "désordre embryonnaire" : "Je refuse de commencer notre relation par de la désobéissance. Celle de ton père me suffit." Et pourtant, les désastres ne manquent pas autour d'elle - et je ne vous parle pas des nouvelles tenues de sa soeur Félicité.
Protéger la reine Victoria, aider des amis dans la détresse, faire face à des situations dangereuses, y compris des tentatives d'assassinat contre sa personne sont le lot quotidien d'Alexia. Pourtant, elle ne se sépare quasiment jamais de son humour, ou de son ombrelle, indispensable en toutes circonstances.
Elle use de l'un comme de l'autre sans jamais s'économiser - ni économiser ses proches, qui, de temps en temps, aimeraient bien être ailleurs, loin des humeurs caustiques de lady Maccon.
Réjouissant, divertissant, remplis de péripéties, ce quatrième tome est hautement recommandable.
Lien : http://deslivresetsharon.wor..
Commenter  J’apprécie          50
Après un voyage épique à travers l'Europe, la réputation d'Alexia a été lavée et son époux est plus présent et tendre que jamais. Avec ce quatrième tome, les choses se concrétisent, le désagrément embryonnaire est sur le point de voir le jour, des révélations étonnantes sont faites. On est dans la dernière ligne de la saga steampunk originale au possible et bien des choses changent.

Alexia s'en sort toujours la tête haute des pires embrouilles ! A ce niveau-là, c'est carrément un don, et il en va de même pour le fait de s'attirer tous les ennuis possibles. Après qu'un compromis culotté et inattendu mette fin aux tentatives de meurtre d'Alexia et de son enfant à venir, elle se retrouve en plein coeur d'un complot qui la pousse à déterrer des squelettes dans les placards de presque tout ses proches. Conall apparait de son côté bien plus humain et touchant, il change peu à peu, on sent l'influence de sa femme. Biffy a du mal à s'adapter à sa nouvelle vie et cela fait des dégâts, même chez Akeldama qui au final se fait bien à son nouveau poste de potentat.

Bien que précédement Conall faisait une blague sur le Protectorat de l'ombrelle, le groupe qui reste au côté de sa femme et la protège, cette fois-ci la dite société voit réellement le jour et part en mission sous les traits d'un agent étonnant. Mais le récit se centre avant tout sur une enquête suite à un message transmit par un fantôme : quelqu'un veut attenter à la vie de Sa Majesté. En tant que mujah, Alexia se jette tête la première dans sa mission alors qu'elle est sur le point d'accoucher et les retombées de ses recherches ne sont pas du tout celles qu'elle attendait.

Le final est une fois de tout surprenante, nous prenant de court et nous donnant envie de lire la suite au plus vite. L'écriture ampoulée du 19ème siècle est toujours de mise et les doutes, enfin surtout les faux-semblant de bienséance peuvent parfois fatiguer à la longue. Il n'empêche que c'est rythmé, il y a de l'humour et de l'action, on forme des hypothèses au fil des chapitres et la vérité est encore plus folle. Pieuvre, loup-garou et bébé inconnu sont au rendez-vous et promettent un final que plus intrigant dans le prochain opus !
Lien : https://leschroniquesaleatoi..
Commenter  J’apprécie          40
Contrairement aux tomes précédents, j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire parce que l'intrigue ne se met pas vraiment en place tout de suite.

Alexia est enceinte de huit mois. Ça fait des mois que les vampires tentent de la tuer afin qu'elle ne mette pas au monde cet enfant. Lord Akeldama et la meute de Woolsey trouvent un compromis : le vampire adoptera l'enfant qui grandira chez lui. Ce qui ne plaît pas à notre héroïne. Afin de contenter tout le monde, Lord et Lady Maccon louent la maison d'à côté et le couple pourra passer d'une habitation à l'autre.
Peu après l'emménagement, un fantôme apparaît et dans son discours sans queue ni tête, Alexia croit comprendre que la reine est en danger. Elle tente comme elle peut de résoudre ce mystère.
Ça la mène surtout sur les traces du passé avec la tentative d'assassinat contre Victoria II, fomenté par la meute de Kingair, l'ancienne meute de Conall. Ce n'est pas que ce n'était pas intéressant, bien au contraire, c'est surtout que c'était long.
Par contre, les révélations sont pour le moins étonnantes ! J'avoue que ça m'a scotchée, surtout celles sur Alessandro Tarabotti ou sur le professeur Lyall.

À partir de la seconde moitié, ça bouge plus, l'intrigue avance et en ce qui concerne le dernier quart, il m'a été impossible de m'arrêter tant que je n'avais pas fini ce quatrième tome.
J'ai beaucoup aimé la manière dont Alexia tente de résoudre le problème Biffy dont la souffrance m'a touchée et émue, la sienne autant que celle qu'il provoque.
La tournure que prennent les événements est surprenante. Ça part en couilles, c'est terrible !

Malgré un début un peu longuet, j'ai adoré cette lecture.
J'ai hâte de lire le prochain tome qui sera aussi le dernier et de voir ce que l'autrice réserve à l'enfant d'Alexia et de Conall.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
Commenter  J’apprécie          30
Cette série de bit-lit est un peu un ovni avec son humour décalé mais irrésistible ainsi que son univers steampunk qui rajoute une part d'originalité. Ce tome 4 est l'un de mes préférés car on retrouve l'humour d'Alexia qui a fait le charme de cette série, de plus l'action et l'enquête sont très prenantes. L'auteur met aussi l'accent sur ses personnages secondaires et j'ai trouvé agréable de connaître un peu plus son univers à travers ses autres personnages.

On retrouve avec plaisir la dynamique du couple Alexia/Macon avec leurs petites chamailleries causées par l'état de santé d'Alexia. Car j'avoue avoir été un peu frustrée de l'absence de Macon dans les tomes 2 et 3 même si on peut le comprendre au vu du contexte de l'histoire.

Les répliques entre eux sont toujours aussi savoureuses ainsi que l'humour d'Alexia qui ne pourra que vous faire sourire tout au long de votre lecture. Surtout qu'Alexia a le don pour se mettre dans des situations périlleuses ce qui entraine inévitablement beaucoup d'actions comme dans les tomes précédents.

Du côté des personnages secondaires, l'habitude de Lord Akeldama de nommer Alexia avec des petits noms français toujours aussi loufoque, nous fait sourire et dédramatise certaines situations.

Le personnage de Mme Lefoux m'a beaucoup intrigué car on sent qu'elle cache de nombreuses choses.

Ivy se révèle bien plus intelligente qu'elle ne le laisse croire et sera une alliée de taille pour cette nouvelle enquête.

Quand je disais que ce livre était extravagant ceci s'étend également à son personnage principal qui va par exemple en pleine course poursuite s'occuper de son apparence et de sa tenue vestimentaire et comme toujours elle nous livre à tout moment des commentaires incongrus.

Lire un livre de la série du protectorat de l'ombrelle est tout à fait dépaysant et rafraichissant mais ne ressemble à aucune lectures qui vous auriez pu lire avant.

De plus, la dernière scène à la fin du livre avec la confrontation parait tellement invraisemblable qu'elle en devient comique quand on voit ce que fait Alexia surtout vu son état.

Je reste très intriguée par la suite de l'aventure surtout sur la nature de Prudence qui m'a beaucoup surprise. D'ailleurs l'auteur va sortir une série sur ce personnage cette année en VO. Par conséquent il me tarde de lire le dernier tome des aventures d'Alexia Tarabotti, une série de bit-lit vraiment pas comme les autres.
Lien : http://bookvivivore.canalblo..
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (501) Voir plus



Quiz Voir plus

Le Protectorat de l'ombrelle - Sans Âme

Mademoiselle Tarabotti est...

divorcée
veuve
vieille fille
fiancée

10 questions
109 lecteurs ont répondu
Thème : Le protectorat de l'ombrelle, tome 1 : Sans âme de Gail CarrigerCréer un quiz sur ce livre

{* *}