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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Comme c'est émouvant de retrouver quelqu'un que l'on a connu toute petite ! Et elle a bien grandi, Prudentia, dit Rue, elle qui disait toujours « non » à sa maman. Elle revient d'une expédition en Inde qui a eu des conséquences importantes, pour la communauté surnaturelle, pour l'empire et pour Rue elle-même. La reine l'a vertement tancée et exclut d'à peu près tout, lui ôtant ainsi sa protection. Et ce n'est que le début d'un beau désordre.
Désordre de la meute, désordre chez les vampires, mais quel événement a pu provoquer tout ceci ? Et bien un événement que le lecteur attend depuis la fin du tome 5 du Protectorat de l'ombrelle et qui nous sera raconté ici. Evénement qui fait que Rue, ses parents, Quesnel et les jumeaux vont devoir partir pour l'Egypte, où ils retrouveront de vieilles, voir de très vieilles connaissances.
Ah, les jumeaux ! Tout comme Ivy était la meilleure amie d'Alexia, Primrose est la meilleure amie de Rue. Elles sont amies, et très différentes. Primrose, mince comme un fil, est un modèle de correction, qui ne songe qu'au mariage et ne pense pas qu'une autre voie soit possible. Rue aimerait être aussi mince qu'elle – il lui faudrait renoncer à la pâte feuilletée, et elle n'y tient pas. Rue, qui a été élevée au milieu d'une meute de loup-garou et de drones, qui connait les goûts de son cher Dama, de Geneviève, et ne s'en offusque pas, a plutôt envie de mener des expériences, de découvrir la langue française, et de poursuivre ses aventures. Ses voeux seront accomplis.
Oui, je ne vous ai pas parlé de Percy, qui passe la majorité de son temps à lire, à se quereller avec Quesnel, à se quereller avec Primrose. Lui et Primrose m'ont rappelé des personnes que je côtoie dans a vie réelle, ce qui est un peu embarrassant – pour les personnes réelles. Percy suscite en effet l'envie puissante de l'étrangler, qui est très légèrement embarrassant. Il est pourtant bien utile, Percy, il a beaucoup de ressources, tout comme Quesnel.
Batailles, inventions, alliances, révélations sont au menu de ce second tome du Protocole de la crême anglaise. N'hésitez pas à nous rejoindre, vous serez servis avec toutes ces aventures !
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La plume de Gail Carriger est mon feel good à moi et je vous promets que cet épisode-là vaut son pesant d'or.

Cette fois encore, l'auteure a su m'emporter dès le début et m'imposer quelques moments d'émotions sensibles. Car la situation s'est détériorée dans la meute depuis quelques temps et ce n'est pas avec son voyage en Inde que Rue a pu s'en rendre compte. de plus, ses trois parents ne sont pas du genre expansif. C'est donc avec surprise et peine que notre jeune femme tout juste émancipée du fait de ses 21 ans va vivre cet événement traumatisant de la déchéance de son Papatte.
Mais ce n'est hélas pas le seul qui va interagir avec ses émotions. Quesnel a disparu de la coccinelle à la crème à peine arrivé à bon port et notre jeune curieuse est fort marrie de ne pouvoir passer au cours de français prévu avec le beau gosse d'ingénieur.
Dire qu'elle lui en veut est un euphémisme. Elle est fâchée et n'ayant pas sa langue dans sa poche il va le sentir passer. C'est un très bon moment pour le lecteur mais beaucoup moins pour l'intéressé.
Rue est un personnage fort complexe de par sa nature de metanaturelle déjà qui la met à l'écart de tous, mais aussi par sa propension à ne pas vouloir s'engager ou voir les sentiments qui la concerne alors qu'elle est loin d'être aveugle lorsque cela concerne ses amis.
Mais il faut dire aussi qu'il n'est pas évident d'envisager l'avenir comme tout le monde quand vous n'êtes pas réellement considérée comme une humaine. Les conséquences de sa dernière et seule mission en tant que nocturne ne vont d'ailleurs pas arranger les choses. A son retour d'Inde, avec son texte de loi en faveur des singe-garous, Prudence est loin de s'attirer les faveurs de la reine Victoria. Au contraire, celle-ci est fort courroucée et lui retire toutes ces prérogatives de nocturnes ainsi que d'autres que Rue n'appréhende pas encore à leur juste valeur.
D'un autre côté, elle vient de fêter ses 21 ans et donc sa majorité. Elle n'est ainsi plus sous la tutelle de son père Lord Akeldama, ni de celle de ses autres parents. A elle la liberté !!

Hélas outre ses problèmes familiaux et diplomatiques dirons-nous, des attaques multiples sont perpétrées à l'encontre de la coccinelle à la crème.
Plusieurs hypothèses vont faire jour du fait des événements mais ce n'est qu'à la toute fin que nous découvrirons vraiment qui sont les poursuivants et surtout qui est réellement visé par ces attaques et pourquoi. En attendant cela va occasionner de nombreuses actions sympathiques et un rythme soutenu tout du long du récit.

Gail Carriger sait y faire pour nous plonger dans l'histoire et son humour est, je dois l'avouer, totalement délirant.
Il faut que vous découvriez les leçons de français de Quesnel et Prudence, mais aussi les conseils particuliers de Lady Maccon à l'encontre de sa fille pour éviter des situations fâcheuses à la suite de ces cours ou encore les réactions dudit Quesnel lorsque le maître s'aperçoit pour sa plus grande joie et son plus profond désarroi que l'élève est studieuse, curieuse et particulièrement assidue à reproduire les exercices.
De même, l'humour parfois pince-sans-rire des personnages, le flegme tout britannique d'autres ou le côté tout à fait inconvenant de Prudence sont des sources de feelgood pour moi.
Rajoutons à cela une Lady Alexia Maccon qui va nous surprendre encore par sa façon bien personnelle de réagir aux relations libérales de sa fille avec le bel ingénieur. le petit cours sur les méthodes de contraception est juste évoqué. Cependant la connaissant, on imagine sans peine le manque d'émotion et le pragmatisme utilisé pour de telles explications.
Mais tout cela n'explique cependant pas les attaques successives que subit la coccinelle à la crème depuis leur retour.
C'est donc un deuxième tome multi genre et aventures que nous lisons là.
L'action n'est pas en reste avec baston à gogo et haussement de voix.
Nous allons découvrir nos personnages sous divers contextes et cela m'a ravi. Car tous autant qu'ils sont, je les adore mais j'avoue avoir ma préférence pour le beau français aux yeux pervenche. Et le voir se faire retourner comme une crêpe par notre petite Prudence sans qu'elle se rende compte de rien est absolument satisfaisant et m'a fait pouffer de rire à maintes occasions.
Car notre charmante élève est curieuse et consciencieuse. Elle apprécie particulièrement de mettre en pratique ses nouvelles connaissances à la plus grande joie de son mentor. Il n'en reste pas moins homme et victime d'une certaine raideur à l'occasion ce qui lui fait aussi regretter parfois cet enthousiasme débordant.
Je vous laisse découvrir la suite de leur cours si particulier par vous-même, c'est touchant, hilarant et plein de sensualité.
C'est donc un deuxième tome qui m'a séduite et Gail Carriger reste mon auteure fétiche pour les cas de panne livresque ou de baisse de moral avec Roxane Dambre .
Lien : http://lespassionsdaely.cana..
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Rien ne va plus pour l'impétueuse Prudence Akeldama Maccon. Comme il fallait s'y attendre, la manière dont elle a conclu son aventure indienne n'a pas eu l'heur de plaire, mais alors pas du tout, à sa Majesté la reine Victoria, qui au terme d'une auguste engueulade lui retire officiellement sa protection. Mais le pire est ailleurs, quand devient évident ce qu'on réussissait jusqu'alors à lui cacher : l'inéluctable malédiction de démence qui menace chaque Alpha vieillissant est en train de rattraper son père. Lord Maccon perd le contrôle, sur lui-même et sur sa meute, qui va de toute urgence devoir le remplacer. le nouvel Alpha est tout trouvé, quasi incontestable - un trèscharmant garçon que nous connaissons bien - mais la passation de pouvoir est une épreuve dangereuse, qui tient plus souvent du combat à mort que de l'aimable négociation. Après quoi, reste encore à savoir ce qu'on pourra faire du pauvre loup déchu, que son épouse ne peut définitivement pas passer le reste de ses jours à tenir par la main.
Rue va bien vite découvrir que devenir adulte, c'est peut-être moins courir à l'aventure qu'apprendre à gérer les défaillances de ses parents. Et que les protections dont on s'est vu débarrassé avec tant d'insouciance étaient peut-être plus précieuses qu'on ne l'imaginait.

Gros enthousiasme pour ce second tome du Custard Protocol qui fait la part belle aux rapports de famille et de meute, offre quelques révélations inédites sur lord Akeldama et un rôle assez classe au délicieux Biffy. Sans compter l'entrée en scène d'un nouveau personnage, à la toute fin de l'histoire, qui augure des choses très intéressantes pour la suite. La partie aventure à proprement parler, un peu plus facile, m'a un peu moins emballée, mais on y trouve tout de même de chouettes trouvailles, à commencer par la découverte du peuple de la très mystérieuse Miss Sekhmet et tous les éléments de mythologie égyptienne qu'il implique.
Cette fois, il va falloir attendre l'été prochain pour compléter l'aventure. Heureusement que miss Carriger a quelques friandises dans son sac pour nous faire patienter :-)
Lien : https://ys-melmoth.livejourn..
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j'adore également cette saga, et je suis très triste que les deux autres tomes ne soit pas traduit, et je ne comprends pas l'anglais. Bref tout ca pour dire que j'ai adoré ce second tome encore plus que le 1er. J'ai aimé savoir ce qui se passe pour les parents de Prudence (20 ans après le protectorat de l'ombrelle). La jolie romance de Rue. Et aussi le choix de Primerose sur son orientation sexuelle (en suspens dans ce tome). Il faut lire les romans de Gail CARRIGER et s'il vous plait le livre de poche traduisait les deux derniers tomes.
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j'avais bien aimé le tome 1 mais je ne l'ai pas trouvé à la hauteur du protectorat de l'ombrelle. J'ai trouvé ce tome 2 bien meilleur, passionnant, savoureux, plein d'humour!
on retrouve nombre de personnages du protocole dont un que je brûlais de revoir. tome dans transition pour se recentrer sur les nouveaux personnages ou juste une continuité... à voir. je trouce Rue, plus attachante que sa mère mais peut-on reprocher à Alexia d'être une sans âme comme le souligne si souvent sa fille!
je me suis régalée et je n'ai qu'une hâte: que Gail Carriger écrive et publie le tome 3!!!
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Comme vous l'avez surement vu lors de mes autres avis sur les oeuvres de l'auteure, j'adore son style et son univers et je peux dire d'emblée que celui ci est encore meilleur, plus réaliste et donc plus captivant encore. On retrouve donc notre jeune Rue et ses acolytes qui dans cet opus vont vivre une épopée plutôt mouvementée et abracadabrantesque, c'est même souvent loufoque et totalement inattendu mais toujours un réel plaisir de vivre ses péripéties!

Notre jeune héroïne prend ici une certaine maturité qui la rend moins agaçante mais plutôt vive, réactive et surtout toujours aussi intrépide et butée. Son franc parlé et son total manque aux convenances font d'elle un personnage amusant, intelligent, fort et au combien fascinant, on ne peut que l'aimer et avoir l'envie de lui ressembler.

Il y a de nombreux autres personnages dans cet opus, tous très important mais j'ai choisi de m'attarder davantage sur deux d'entre eux, Quesnel et Alexia. Quesnel est toujours aussi exaspérant et arrogant, mais même si souvent il nous « tape sur le système » il dégage ici davantage de profondeur, on sens que ses intentions son louables, qu'il mûrit et réfléchit plus à ses actions. Et puis on découvre aussi l'homme, celui qui a ses faiblesses, ses envies et ses sentiments, cela le rend plus accessible, plus « normal » et donc plus touchant. Alexia quant à elle, reste fidèle à elle-même, forte, butée, têtue, agaçante et quelque peu froide et distante avec sa fille, cependant ici on découvre aussi la mère fatiguée, soucieuse et qui aime énormément sa progéniture, elle ne le montre certes pas facilement mais on le ressent et cela nous permet de mieux l'apprécier et la comprendre. Ces deux personnages clefs apportent une touche de douceur et de délicatesse au récit, ce n'est pas uniquement des aventures, ni un flot d'action continue, c'est aussi des sentiments, des doutes, des peurs et de l'amour tant charnel que maternel.

Ce second tome nous ouvre les portes de l'Egypte et ses mystères antiques, c'est une nouvelle découverte plus centrée sur les origines du pays et de ses habitants, c'est moins politique que le premier tome, cela donne une impression de réalité plus intense et vrai, on comprend les codes d'honneur, la loyauté et le respect. Mais ce tome ne serait une pépite sans des événements perturbants et palpitants à la chaîne, et croyez moi, on ne peut absolument jamais souffler, il y a toujours quelque chose qui leur tombe dessus, parfois amusant, ou parfois dangereux mais toujours géré de manière efficace, teinté d'un humour anglais inimitable et d'une bonne dose de franche rigolade. Enfin, le côté steampunk est ici moins présent, peut être parce que l'histoire se déroule essentiellement dans un endroit déjà décrit, on navigue moins entre les créations mécaniques totalement farfelues mais d'avantage dans la maîtrise des acquis, c'est un peu plus reposant pour notre imagination mais surtout plus pertinent et envoûtant.

En conclusion, un deuxième opus plus vrai, profond, intense, davantage centré sur les Hommes et leurs sentiments et qui nous offre une vision mystique et majestueuse de l'Egypte ! Je le répète encore mais je suis fan de cette auteure !

Merci aux Éditions le Livre de Poche pour ce service presse.
Lien : https://lmedml.com/2017/08/2..
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Dans ce tome nous suivons Lady prudence et son équipage en Egypte puis dans des terres reculées d'Afrique . Comme toujours beaucoup d'humour, de thé, de jupons, d'appareils volants mais aussi de transformations, de combats. Un livre presque en huis clos car nos personnages passent l'essentiel de ce livre à bord de la Coccinelle à la crème même lorsqu'il reçoivent de mauvaises visites ou de nouveaux alliés, cela se fait dans les airs. On decouvre tout de même un peu de cette Egypte Victorienne fantasmée ainsi que de l'Afrique ptofonde des métanaturels.
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Depuis le Protectorat de l'Ombrelle, je suis sous le charme du talent de Gail Carriger, son univers So British où le thé est une boisson divine, et où les créatures surnaturelles ont une place bien présente. Depuis le premier tome du Protocole de la crème anglaise, nous suivons Prudence, alias Rue, et il faut dire que cette demoiselle n'est pas facile à dompter...



Après son séjour en Inde, la jeune Rue se heurte à d'énormes changements ! Sa dernière mission ne s'étant pas dérouler comme prévue et sans encombre, la demoiselle s'est mise à dos la Reine Victoria ... Ce qui créera une tension supplémentaire au sein de la famille. Rue s'appercevra très rapidement que quelque chose alarme tout le monde, notamment dûe au comportement de la meute de Papatte. Ce n'est que le début d'une longue course contre la montre !


Dans ce tome, la tension qui s'en dégage montre une nouvelle facette de certains personnages, ce qui les rend plus humains, je pense notamment à Lady Macon, plutôt froide et distante, son stress la rend plus sensible et cela ne lui fait pas de mal. Egalement Quesnel, notre French Touch ou encore Percy, le frère de Primrose. Chacun fait donc parti de cette aventure, en compagnie de tout l'équipage de la Coccinelle de la crème, le dirigeable de Rue, et c'est un régal de les suivre une nouvelle fois ♥
Rue a bien grandi et sait ce qu'elle souhaite, l'affirmant aux yeux de tous, mais toujours avec un petit côté enfant-rebelle qui fait son charme. Connaissant ses parents, on retrouve bien le côté têtue de chacun d'entre eux et les chiens ne font pas des chats ... Ce genre de personnage est toujours intéressant à suivre et elle me rappelle tellement sa mère dans le Protectorat de l'Ombrelle ♥



Ce que j'apprécie le plus dans ce second tome, c'est que, comme son compagnon, Gail Carriger nous donne une mission première pour nous engloutir de rebondissements, de détails qui auront leur importance par la suite, impossible de la calmer et l'histoire prend un rythme incroyable ! Si les chapitres sont bien détaillés, il est possible de faire quelques pauses (principalement quand nous avons des obligations à côté ...), mais il reste difficile pour moi de lâcher chaque tome. J'adore, que dis-je, sur SURKIFFE l'auteure, au point de baver d'envie sur le prochain tome, sans avoir la moindre idée d'une date de sortie.
Un nouveau coup de coeur qui ne fait qu'accroître mon adoration pour cette saga, cette auteure que je suis les yeux fermés ♥


Lien : https://livres-et-compagnie...
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Je suis très heureuse et ravie d'avoir fini le deuxième tome de cette série. Encore une fois Gail Carriger a su m'enchanter.

Nous retrouvons Rue et ses amis de retour en Angleterre. Celle-ci est maintenant majeure et sa bévue en Inde lui fait subir la colère de la reine Victoria. Résultat, elle n'est plus nocturne, plus de protection de la couronne. C'est sans compté des événements concernant son Papatte et la malédiction des Alphas, mais aussi des articles, des révélations qui n'auraient pas du être publiés.

Que dire sur ce second volume à part que je l'ai adoré. c'est avec joie que je me suis de nouveau plongé dans cet univers riche en rebondissements, en humour et tournures sarcastiques et fofolles. J'aime toujours autant rue et son franc parler. Sa relation avec Quesnel subit des hauts et des bas. Elle embarque son équipage et ses amis dans une nouvelle aventure rocambolesque et particulièrement dangereuse pour leur dirigeable.

A un moment donné j'ai eu un petit pincement au coeur car beaucoup de choses que j'ai vécu avec le protectorat semble prendre fin avec ce tome pour amorcer un virage et laisser vraiment Rue prendre la place entière d'héroïne.

Pour conclure, ce second récit est une pure merveille. Je suis toujours dingue de la plume de l'auteure et de sa façon de raconter ses histoires. de ses personnages aussi. Il va falloir maintenant attendre la traduction du tome trois et pour ma part je vais me pencher dans les mois à venir sur le dernier tome du pensionnat de Mlle Geraldine.
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Clairement je ne lirais pas ce genre de livre tous les jours car l'abus m'en dégoutterait je pense, mais en l'occurrence je ne lis que cette série et c'est un pur bonheur. C'est drôle, inattendu, jouissif, déjanté et plein de surprises. Bref, un vrai délice dont on se régale sans arrière pensée. Embarquez donc à bord de la Coccinelle à la crème et vous m'en direz des nouvelles.

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