Les Tuniques Bleues, tome 3 : Et pour quinze cents dollars en plus

— Bon ! Passons aux choses sérieuses ! Vous partez donc d'ici. Vous traversez les lignes ennemies. Une fois derrière, vous détruisez et brûlez tout ce qui s'y trouve. Voies ferrées, dépôts de munitions, récoltes de coton... Ne laissez derrière vous que ruines et cendres.
— Mais... Mais... Si nous sommes pris, nous serons fusillés sur-le-champ !
— Bah ! Là ou ailleurs, ça n'a pas grande importance ! Ne vous laissez pas prendre voilà tout !

Vous, si on collait deux étoiles sur le derrière d'un âne, vous vous mettriez à braire !

- Comment verrons-nous que nous entrons au Texas, Jose ?
- Quand on nous tirera dessus amigo.

-Et même à supposer que nous réussissions à nous emparer du convoi, vous savez conduire une locomotive, vous, hein?
-On verra ça plus tard, tête de lard!

Euh... Attendez ! Vous êtes gros et laid, mais vous avez l'air honnête ! Et puis, la guerre, ce n'est pas une histoire de femmes ! Restez ici quelques heures, mais ensuite vous vous débrouillerez...

- il s’en est fallu d’un poil que je ne sois écrabouillé bande de ........ !
- encore un mot, et de sens que je vais regretter de vous avoir sorti de là !
- caramba ! Moi, Jé lé régrette déjà ; gringo !

- Comment verrons-nous que nous entrons au Texas, José ?
- Quand on nous tirera dessus, amigo !
- Mais si on nous tire dessus, c'est que nous sommes repérés !
- ééé...

- Vous partez donc d'ici, vous traverser les lignes ennemies, une fois derrière, vous détruisez et brûlez tout ce qui s'y trouve, voies ferrées, dépôts de munitions, récoltes de coton...Ne laissez derrière vous que ruines et cendres.
- Si nous sommes pris, nous serons fusillés sur le champ !
- Bah : là ou ailleurs, ça n'a pas grande importance ! Ne vous laissez pas prendre voilà tout.

Bon sang ! quel choc ! Je sens que je vais offrir un énorme cierge au saint patron des caporaux !

- Mais... C'est la sonnerie aux morts !!!
- Que voulez-vous qu'on joue d'autre dans un cas comme celui-ci ?