Carnaval

J'ai pas mal souffert avec cette lecture. Plus de 10 jours pour terminer un livre, ce n'est pas dans mes habitudes.
À mon goût, trop de protagonistes qui mènent l'enquête.
Un rythme très lent qui ne démarre jamais, l'intrigue prend trop de temps à se mettre en place.
Par contre l'ambiance Nouvelle Orléans, traditions vaudou est assez agréable.

Je ne l'ai pas fermé en cours de route, car j'attendais....Quoi? Je ne sais toujours pas, car j'ai quand même un peu souffert dans cette lecture.
La mauvaise impression, quand vous avez un livre qui ne vous plait pas vraiment, mais qui a eu des critiques élogieuses; alors quoi faire? Je persiste, mais à la fin, je me dis que j'avais choisi la mauvaise solution, car je me suis royalement emm.... dans ce roman, qui baigne dans une ambiance mafieuse, où plusieurs protagonistes mènent l'enquête (la petite stagiaire, l'ex-taulard, le flic avec ses soucis...). J'en ai perdu mon latin et mon intérêt.
Dommage.

J'essaye mais je n'y arrive pas, je n'arrive pas à entrer dans ce thriller. Et pourtant, les ingrédients sont là. Mais il manque quelque chose. le rythme, notamment, ça ne démarre pas. J'attends vainement la petite étincelle.
Alors, « Au suivant » comme le chante du bien Jacques Brel

1919, La Nouvelle-Orléans fait face à un tueur en série : le tueur à la hache. Michael Talbot est chargé de l'enquête. Mais d'autres personnages souhaitent aussi connaître l'identité de ce tueur : Ida, une jeune femme embauchée à l'agence de détective Pinkerton qui souhaite montrer ce qu'elle vaut aidée par son ami d'enfance Lewis ; Luca D'Andrea, ancien flic qui sort de prison et est embauché par la mafia sicilienne pour mener l'enquête.

Si j'ai aimé le style, de me plonger dans cette Nouvelle-Orléans du début du XXème siècle, j'ai mis du temps pour le lire. C'est lent, trop lent. Je ne me suis pas attachée aux personnages et j'ai même failli l'abandonner. Mon intérêt pour l'histoire a décru au fil des pages mais j'ai eu un léger petit regain pour le final. Je suis déçue car je partais sur un très bon apriori.

Tout m'incitait à lire Carnaval de Ray Celestin.

Une magnifique couverture, un tueur à la hache mystérieux, des crimes dans une ambiance festive, de la musique, la Nouvelle-Orléans au début du siècle dernier.

Force est de constater que je me suis ennuyé. Trop de personnages s'immiscent dans cette enquête tout en longueur. Je suis content de refermer ce bouquin qui ne m'a pas convenu.

Il ravira certains amateurs, j'en suis certain.

Ce fut une longue lecture...trop à mon goût...

L'histoire est plutôt originale et basée sur des faits réels, ce qui la rend d'autant plus intrigante.
J'ai aimé les personnages principaux, tous différents et avec un passé très intéressant et bien construit.

Néanmoins c'est très long... Il y a beaucoup de personnages secondaires (sûrement plus que nécessaire) et le dénouement de l'affaire se fait vraiment attendre, sans tension ni suspense.
J'ai beaucoup aimé une partie des révélation finales, la découverte du mobile, mais l'auteur ne l'a pas exploité et a proposé autre chose que je ne suis pas sûre d'avoir bien compris...

C'est un livre difficile à lire dans son rythme. Les intrigues mettent beaucoup de temps à se mettre en place et tout semble se dénouer très vite à la fin. J'ai personnellement "subi" le livre : je me suis forcée à aller jusqu'au bout car l'histoire ne pousse pas à en savoir plus. Point positif, on s'attache à certains personnages mais leurs enjeux respectifs ne sont pas suffisamment creusés pour qu'on ait envie de les voir réussir.

Tout était là pour me faire adorer ce livre : le thème, dans la veine de grands classiques, le contexte, fan de NOLA, j'en revenais tout juste (!), et la comparaison avec l'aliéniste, que j'ai adoré. Résultat : j'ai pas réussi à accrocher... J'ai trouvé ça fade, mou, peu original :(...
Comme quoi, trop d'attentes peut jouer de mauvais tours !

Après avoir été bluffée par Alabama 1963, j'ai décidé de remonter plus loin dans le temps mais cette fois-ci à la Nouvelle Orléans.

Nous sommes en 1919, un meurtrier surnommé le tueur à la hache fait trembler The Big Easy et ses habitants.

A noter que cette histoire est basée sur des faits réels. Aussi, l'auteur a intégré la véritable lettre du tueur dans son roman. Lettre adressée au journal local. J'ai trouvé ça top.

Tout est donc rassemblé pour que je passe un bon moment de lecture. J'ai toujours dit que l'on ne pouvait pas critiquer un livre sans l'avoir lu jusqu'au bout. Je me suis donc accrochée… tant bien que mal, mais malheureusement et après une longue réflexion, j'ai décidé d'abandonner.

Je culpabilise car j'aurais aimé connaître le dénouement de cette histoire mais l'ennui m'a gagné! Page après page, j'ai espéré que quelque chose se passe, mais rien! Je ne ressentais pas cette envie irrépressible d'ouvrir ce livre en fin de journée pour me détendre. C'était plutôt un fardeau.

Je suis frustrée car j'ai lu beaucoup de critiques sur ce roman et la majorité de celles-ci était positive. Pourquoi cela n'a pas marché avec moi?

La première partie est basée essentiellement sur la description des différents protagonistes et sur la Nouvelle Orléans, jusque là tout va bien. L'écriture est fluide. Les descriptions sont bien faites, on se plonge donc facilement dans le décor.

Je m'attendais à de l'action et de l'avancement dans la seconde partie. Mais, on tourne en rond! L'histoire se concentre inlassablement sur la vie des personnages. Côté enquête, il n'y en a absolument pas et, pendant ce temps, le tueur continue son massacre. L'auteur ressasse sans arrêt les mêmes informations et indices au sujet de ce mystérieux voleur d'âmes.

Enfin, je trouve qu'il y a beaucoup trop de personnages. Je me suis d'ailleurs perdue dans tout ce monde. En particulier avec les gens de la mafia…

Ce retour de lecture n'engage évidemment que moi.

L'avez-vous lu et qu'en avez vous pensé?

Quelqu'un partage-t-il mon avis?

Bonne lecture à tous!

C'est censé être un polar dans le début du 20ème siècle.
La recherche d'un tueur.

Une ambiance très marquée et viscerale .
Mais l'écriture est morne et le rythme est lent. Je n'ai pas réussi à le finir puisque c'était une punition de me mettre à la lecture.