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4,29

sur 629 notes
Je suis de près les différentes sorties de De Saxus depuis un petit moment déjà. La maison d'édition choisit des oeuvres qui ont du succès à l'étranger, et que je vois souvent sur les réseaux. Et pour Daevabad, j'avoue, j'ai pris le roman sans savoir de quoi il parlait ! Je savais juste qu'il avait beaucoup plu et que le roman était du genre fantaisie avec une ambiance mille et une nuits… Oups… Mais avec le recul, je me dis que ce n'est pas plus mal. Parfois les résumés entrent trop dans l'intrigue ou bien nous flouent un peu. Je me suis donc lancée dans ma lecture sans attente et assurée d'être surprise.

Daevabad n'a pas forcément été à la hauteur de mes espérances cependant. J'ai passé un très bon moment dans ce monde enchanteur et cruel mais il m'a manqué quelques petits éléments pour m'immerger totalement. J'ai eu un certain détachement vis-à-vis de l'intrigue. A contrario, j'ai beaucoup aimé les personnages principaux. Dara, Ali et Nahri m'ont tout de suite plu. Chacun à leur manière, ils représentent une facette différente de leur monde. Les voir interagir a été ce que j'ai préféré dans ce premier tome. Les relations qu'ils nouent mais aussi tout ce qui se joue à côté : les animosités, le passé, leurs façons de voir le monde. Ils sont très intéressants sur le point psychologique, même si j'ai l'impression qu'on a à peine effleuré leur essence. Et je n'ai eu aucun mal à m'attacher à eux, ce qui est très important pour moi dans une lecture. Je suis impatiente de les voir évoluer car ils ont tous les trois un énorme potentiel.

Les enjeux de Daevabad sont aussi contemporains. Bien que l'histoire se déroule à une époque reculée et entourée de magie, il est facile d'y trouver un écho avec notre histoire. La lutte des classes, la religion, l'importance du paraître. Des thèmes qui sont très intéressants et que l'auteur manie vraiment bien en leur donnant cette dose de réalisme et de tension qui vous tiennent en haleine. La mythologie mise en place également dans ce monde est dépaysante. Et j'aime ce côté-là particulièrement. Je n'ai rien contre notre folklore occidental, bien au contraire, mais entrer dans un univers peuplé de djins, d'efrits et d'autres créatures originales donnent une fraîcheur que j'apprécie de plus en plus.

Mais comme je le disais, malgré ces éléments positifs, je n'ai pas été totalement transportée. Premièrement, l'univers regroupe plusieurs choses dont je ne suis pas friande : un pouvoir qui oppresse une partie de la population, des religions et idées proches du fanatisme, et des règles qui contraignent les femmes et leurs moeurs. Je sais pertinemment que cela colle non seulement à l'époque mais aussi au lieu où se déroule l'histoire… cependant le mélange de tous ces points fait que je n'ai pas apprécié le monde de Daevabad qui pourtant se veut enchanteur par certains aspects. J'avais l'impression d'étouffer en quelque sorte, et je craignais pour la vie de nos héros car la moindre petite incartade peut être fatale. Une ambiance oppressante qui gâche parfois la magie de l'histoire.

Autre point que j'ai moyennement apprécié : la lourdeur des descriptions. Je sais que certains en sont friands, mais pour ma part décrire des lieux, des vêtements, des personnages pendant deux à trois paragraphes… Je n'adhère pas. Cela coupe le récit, déjà long, et clairement je lisais en diagonale à ces moments-là. le fait d'avoir deux points de vue alternés est déjà en soi un frein au dynamisme du récit. Les choses se mettent plus lentement en place, et le côté introductif pèse un peu. Pour moi, ce premier tome est une introduction plaçant ses différentes pièces pour ensuite s'attaquer à l'intrigue principale. Il m'a manqué une petite pincée de magie pour vraiment entrer dans l'histoire malgré des personnages attachants.

Malgré cela, je suis curieuse de voir ce qu'il va se dérouler par la suite. Passée cette mise en bouche, je pense que la trilogie Daevabad a un grand potentiel devant elle. Les intrigues politiques et les secrets qui se dissimulent dans l'ombre sont très intrigants.
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C'est une petite brique mais qui se lit au final très rapidement !
L'histoire commence au Caire avec Nahri qui survit comme elle peut et cache ses pouvoirs de guérisseuse. Mais elle va sans le faire exprès faire venir un être surnaturel auprès d'elle qui va lui apprendre sa vrai nature et tenter de l'amener à Daevabad, là où elle sera en sécurité.
C'est un monde oriental riche où humains, Djinn, Daeva, Shafit cohabitent mais avec beaucoup de tensions/ guerres entre eux. Il était d'ailleurs parfois nécessaire de faire une pause pendant la lecture pour se remémorer les "alliances", d'autant que certains de clans ennemis sont amis ou font alliance....Nos trois personnages principaux, Nahri, Dara et Ali doivent choisir leur camp malgré eux, font des choix dont ils doutent dans un lieu où les tensions sont ravivés depuis peu. J'ai adoré ma lecture, c'est vraiment prenant et intéressant. Je comprends moins la stratégie du Roi et il reste pas mal de questions en suspens mais la suite sera surement éclairante. J'ai hâte de connaitre la suite !
Challenge Sfff 2023
Challenge Mauvais genres 2023
Challenge pavé 2023
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Écrivaine américaine, Shannon A. Chakraborty a réussi à charmer son public avec sa toute première trilogie qui s'intitule Daevabad. Or, après un gros succès en grand format chez De Saxus, le tome 1, La Cité de Laiton vient d'être publié par les éditions J'ai Lu.

Le Caire, XVIIIe siècle, Nahri se rêve médecin. Mais en attendant d'avoir réuni suffisamment d'argent pour financer ses études de médecine, elle escroque les crédules en leur promettant de les libérer de l'ensorcellement d'esprits facétieux. Un jour, lors de l'une de ses fausses cérémonies de désenvoûtements, elle libère un esprit maléfique qui la poursuit dans les rues du Caire, déchaînant même une horde de goules à ses trousses. Mais alors qu'elle croit sa dernière heure arrivée, elle invoque involontairement un djinn guerrier qui, contre toute attente, lui vient en aide pour s'échapper de la ville. de là, il lui propose de rejoindre une mystérieuse cité où selon ses dires, elle trouvera toutes les réponses à ses interrogations. Pour autant, suivra-t-elle cet être péremptoire pour affronter l'inconnu et le danger qui va avec ?

Avec La Cité de Laiton, Shannon A. Chakraborty inaugure une trilogie de fantasy orientale de haute volée. Dès ce premier tome, elle pose les bases d'un univers fouillé qui puise son inspiration dans différents mythes : arabes, iraniens ou mésopotamiens. Aussi, elle a peuplé les pages de son livre de nombreuses figures ou créatures issues de divers bestiaires merveilleux pour venir nourrir un imaginaire méconnu des lecteurs de fantasy anglophone ou francophone.

Entité prédominante du folklore orientaliste, le Djinn est également le pilier central de cette saga. En effet, l'autrice a imaginé ici plusieurs tribus rivales ou alliées qui empruntent à l'existant ou relèvent de la pure fiction. Six tribus se distinguent entre ces lignes avec les Geziris, les Anyaanles, les Daevas, les Sahrayns, les Agnivanshis et les Tukharistanais. Toutes ont des caractéristiques propres et des lieux de vie différents. Néanmoins, ce sont les Daevas qui nous intéressent plus particulièrement ici puisque l'essentiel de l'action se déroule au sein de leur capitale, Daevabad. Autrefois très puissants, les Daevas se sont vus restreints dans leurs pouvoirs par le prophète Souleymane en personne en représailles du mal qu'ils ont fait à l'humanité. Terre de rébellion, le Daevastana a été également marqué par le renversement de pouvoir par Zaydi al Qahtani qui a éteint la puissante lignée des guérisseurs Nahids.

Ainsi, l'intrigue de la Cité de Laiton repose à la fois sur une mythologie minutieusement développée, qu'un jeu de pouvoir politique machiavélique dans lequel Shannon A. Chakraborty jette son héroïne sans lui avoir communiquer au préalable les règles.

Atout charme du livre, ce trio de personnages s'accorde tellement bien à la qualité de l'intrigue qui est d'ailleurs particulièrement captivante. Il faut dire que l'autrice nous fait passer d'un dangereux road-trip au quotidien d'une vie de cour émaillée de complots et de rivalités. Véritable page-turner, ce roman est un petit bijou du genre que l'on n'a pas envie de lâcher.

Un premier roman qui met la barre haute autant du point de vue de la construction de l'univers enrichi d'une mythologie fabuleuse que de la puissance de l'histoire distillant suspense et péripéties jusque dans ses dernières lignes.

Avec La Cité de Laiton, Shannon A. Chakraborty signe une grande épopée de fantasy qui capitalise tous les ingrédients caractéristiques des plus grandes oeuvres du genre. Gros coup de coeur livresque de l'été, il me tarde déjà de lire la suite, pas vous ?



Lien : https://fantasyalacarte.blog..
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Quelle claque cette brique!

La cité de laiton est l'une de mes premières lectures de fantasy orientale et je dois dire que j'ai été conquise! Dès le début, j'ai été happée par cette lecture qui offre un univers tellement dense, et si différent de ce que je lis d'habitude. Il m'a fallu un moment pour faire le point sur le lexique, pour éviter des confusions et pour finir par me porter par cette lecture pleine de mystères, de secrets.

Notre héroïne est Nahri, escroc du Caire qui se retrouve, par mégarde à avoir invoqué un djinn très ancien, un guerrier redoutable qui reconnaît en elle l'héritière de la famille royale qu'il a servi il y a plusieurs siècles. S'en suit une longue série d'actions, des événements qui ont fait saigné mon petit coeur et une fin telle qu'il est difficile de ne pas se jeter tout de suite sur le tome 2 ( ne l'ayant pas à disposition là tout de suite).

Comme je l'ai dit cet univers m'a happé. Avec sa mythologie propre, je suis entrée avec délice dans ce monde de djinns, de marids, de péris et autres créatures.
J'ai été tellement happée que je me suis retrouvée à lire en peu de temps un titre qui fait 700 p. Et à la fin, je reste là avec toutes mes questions, loin d'être repue, et aspirant à davantage de réponses. S.A. Chakraborty nous offre qu'une esquisse de son monde ici. Je ne doute pas qu'il y ait de plus amples développements dans les deux autres tomes.

Les personnages sont les points forts de ce roman, car ils cristallisent par leur personnalité et ce qu'ils sont les tensions sous-jacentes de ce récit. Nahri, notre protagoniste principale, est loin d'être parfaite. Elle a un code moral très particulier, n'est pas la plus courageuse qui soit, peut se montrer naïve et malgré tout on s'attache à elle, à ses rêves, à ses désirs. . Ali est moralisateur, un brin fanatique mais il est difficile de ne pas être d'accord avec ses valeurs. . Quant à Dara... alala, mon coeur saigne. C'est le guerrier, enfermé dans ses préjugés, complètement cabossé par la vie, celui qu'on a envie de sauver de lui-même. Ce trio nous offre donc un condensé des relations entre les différentes tribus djinns, leurs attentes et leurs tensions. Ils sont pétris de défauts, ont des avis très différents qui ne semblent pas converger et pourtant offre une espèce d'équilibre.

La fin de ce récit, sur une centaine de pages, nous offre tout un cocktail d'émotions, de rebondissements, d'interrogations, de mystères. Ce récit était dense. Les attentes qu'ils soulèvent le sont tout autant. J'ai volontairement fait une chronique très spoilante pour moi-même retrouver le fil lorsque je lirai le tome 2.


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Dans ce première tome de la trilogie de Daevabad, nous suivons Nahri et Ali.

Nahri vit au Caire et vit des ses petites escroqueries. Elle sent bien qu'elle n'est pas comme les autres, elle sait lorsqu'une personne est malade et le traitement qu'elle doit lui donner pour le soigner. Mais elle parle également une langue que personne d'autre autour d'elle ne semble parler. Elle a une très grande aptitude à apprendre les langues étrangères.
Lors d'un exorcisme, elle va invoquer sans le vouloir un guerrier djinn du nom de Dara. Va alors s'en suivre un voyage pour partir découvrir ses origines.

Ali est quant à lui le fils cadet du Roi Ghassan El Qahtani, régnant sur la Citadelle de Daevabad. le prince a été nommé Caïd de la Citadelle, son frère aîné étant l'Emir du pays, futur roi de Daevabad. Son rôle au sein de la Citadelle est difficile à tenir, n'étant pas toujours d'accord avec le point de vue de son père. Certains des actes d'Ali ont de graves conséquences sur le peuple de Daevabad et sur son avenir.

Très honnêtement, les 100 premières pages ont été laborieuses pour ma part, du mal à rentrer dans l'histoire car beaucoup d'informations données, essentielles pour le déroulement de l'histoire. le contexte de ma vie personnelle n'a pas du aider, mais j'ai pu constater le même ressenti pour d'autres lecteurs. Lisant en ebook, je n'ai pas fait attention qu'il y avait un glossaire et une description des différentes tribus en fin de livre. Ce qui n'aurait aidé. En version papier, j'ai l'habitude de feuilleter un peu le livre, mais je n'ai pas le réflexe de regarder le sommaire en ebook.

Je vous invite à persévérer car une fois ce « cap » passé, je me suis laissée embarquer par l'histoire de ces deux protagonistes. Chaque chapitre est écrit en fonction du point de vue de Nahri ou d'Ali, ce qui rythme bien l'histoire. La plume est très agréable et j'avoue avoir été surprise par la fin. J'ai ainsi hâte de découvrir la suite dans le tome 2, le royaume de cuivre. J'espère y retrouver très vite nos personnages.
Le monde oriental, ses us et coutumes ne me sont pas familiers, mais cette sensation d'un monde des « milles et une nuits » m'a changée de mes habitudes, et j'ai beaucoup apprécié.
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Depuis que 2021 a débuté, La cité de Laiton est ma deuxième lecture parue aux éditions De Saxus et ce livre objet est une nouvelle fois magnifique. Un univers extrêmement riche, dès les premières pages j'ai été transportée dans cet univers Fantasy tel que je les aime, sur fond historique, nous rencontrons tout d'abord Nahri, cette escroc qui tente de survivre en mettant au point de plus ou moins petites arnaques dans les rues du Caire. Comme dit dans le résumé, son chemin, va par accident croiser la route de Dara un djinn, rencontre qui lui réserve de terribles et mortelles surprises. On découvre aussi Ali, avec qui je vous laisse faire connaissance, un personnage sensible et dont les obligations politiques dépassent et perturbent...
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Bonjour à tous !

Je suis ravie d'avoir craqué pour cette saga car j'ai passé d'excellents moments de lecture avec ce premier tome !
Je me suis attachée à tellement de personnages et les intrigues sont vraiment intéressantes.
De plus, la plume est très agréable malgré quelques lourdeurs à certain moment.
L'autrice a su créer un univers très riche.
J'ai juste hâte de lire la suite !
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Cela ne partait pas forcément très bien pour moi avec « La cité de Laiton ». Même si nous sommes facilement et rapidement pris dans les filets de l'histoire, le récit se veut dense et complexe. Je dois bien avouer que, tout du long, certaines choses m'étaient flous... Particulièrement en ce qui concerne les tribus (daevas/djinns par exemple) et ce, même si nous avons un glossaire à la fin. Aussi, certaines phrases qui ne voulaient rien dire m'ont sortis de ma lecture plus d'une fois : pour ce bémol, il me semble qu'il s'agit là d'un défaut propre à cette maison d'édition (De Saxus). Certains points m'ont également chiffonnés et expliquent ma note de 3,5/5 (je reste vague dans mes propos mais, au cas où, je mets en masqué) :

Malgré tout, et comme je le disais précédemment, j'ai été très vite embarquée par le rythme des péripéties, je n'ai personnellement pas trouvé de longueurs à ce premier tome (preuve que j'appréciais tout de même ce que je lisais) et les descriptions ici et là ne m'ont pas dérangées. Ce qui est certain, c'est que je compte enchaîner directement avec le deuxième tome de cette trilogie. La fin m'a bien plu et promets de nombreux rebondissements !
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C'est quasiment une lecture coup de coeur, j'ai été happée dès les premières pages.
On suit l'histoire de Nahri, une jeune voleuse du Caire, qui a des pouvoirs de guérison. Lors d'un rituel elle appelle par mégarde un guerrier djinn Dara. Elle devient alors la cible d'Éfrit et doit s'enfuir dans le désert vers la ville de Daevebad avec Dara.
Nous avons une deuxième histoire celle du jeune Ali, prince de Daevabad et financeur d'une organisation politique souhaitant aider les sang - mêlés djinn humain qui sont très mal considérés dans la cité.

J'ai beaucoup apprécié l'univers, les mots en arabe ont début m'ont un peu perturbée ainsi que tous les noms des tribus djinns mais heureusement il y a un glossaire. On apprend comment fonctionne cette société au fur et a mesure avec une partie historique pour Nahri et une partie politique lorsque c'est le point de vue de Ali.

Le personnage de Nahri est vraiment attachant, une jeune voleuse qui fait tout pour s'en sortir. C'est son personnage qui m'a tout de suite plu. J'apprécie moins Dara, un peu trop fanatique à mon goût et surtout je n'ai toujours pas bien compris son histoire et ce qu'il est.
Le prince Ali est intéressant car il est assez têtu et radical sans ses idées mais il evolue un peu au fil du livre.
Je compte bien retrouver tous ces personnages assez rapidement dans le deuxième tome.
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Salut les Babelionautes
En cette période de fêtes j'ai mis plus de dix jours pour finir ce tome un de la trilogie Daevabad écrit par la talentueuse S.A. Chakraborty et traduit pour mon plus grand Bonheur par Gaspard Houi.
Ce premier Tome sert à mettre en place tous les personnages et l'Univers Oriental qui nous permettra d'être immerger dans ce récit.
Nous allons donc suivre les aventures de Nahri qui essaye de survivre en extorquant des clients crédule.
Mais elle sens qu'elle n'est pas a sa place, car elle a un don de guérison et sait quand une personne est malade.
En essayant d'escroquer une famille qui croient leur fille possédée, elle va faire apparaitre des Goules qui la prennent en chasse au milieu d'un cimetière.
Elle croit sa dernière heure venue quand elle fait apparaitre un Djinn nommé Dara qui est aussi surpris quelle car personne n'aurait su pouvoir le convoquer.
A partir de ce moment l'intrigue qui va les emmenaient à Daevabad est faite d'une multitudes de situation ou ils vont affronter des créatures surnaturelles avant d'arriver à destination.
C'est superbement écrit et traduit et heureusement que j'ai attendu d'avoir les trois tomes avant de me lancer car il m'aurait été difficile d'attendre pour lire la suite.
Merci à Gaspard Houi, sans son travail de traduction qui est d'ailleurs excellent, je n'aurais pas pu découvrir S. A. Chakraborty
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