Citations sur Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà : Le livre à off.. (19)
En Occident, nous évoluons dans une société matérialiste, spirituellement sous-développée, dans laquelle il est convenu de nous inculquer depuis notre plus jeune âge que la mort signifie le néant.
Il me semble probable que beaucoup d'artistes talentueux trouvent leur inspiration par médiumnité; dans cette hypothèse, l'information ne serait pas enfermée dans les neurones du sujet inspiré mais située au contraire à l'extérieur du cerveau. Un cerveau qui entrerait en connexion directe avec un champ d'informations dont la source serait localisée bien au-delà de nos petits neurones.
Mon souhait est que ce livre les fasse progresser sur le chemin de la connaissance qui est aussi et surtout le chemin de tolérance et de l'Amour.
L'Amour qui, comme on le sait depuis maintenant deux mille onze années, est plus fort que tout.
En effet si on admet qu'une conscience délocalisée persiste après la mort et que le cerveau est un émetteur-récepteur de consciences, il devient logique de penser que certains récepteurs cérébraux sont plus performants que d'autres pour recueillir des informations.
Nous sommes inégaux dans nos aptitudes et la médiumnité n'échappe pas à cette règle.
Et c'est sûrement pour cela [le matérialisme] qu'il y a autant de gens malheureux dans nos sociétés occidentales ; on ne se parle plus et méditer en silence est assimilé à du temps perdu !
Lorsqu’un électron par exemple est confronté à des choix nécessaires, son ‘psi’ devient actif. Il accède à une forme de conscience, infime et totalement négligeable à cette échelle. Le reste du temps l’électron, strictement déterministe, ondule. Il est alors un « paquet d’ondes ».
Croire à l'existence d'un au-delà augmente l'espérance de vie en améliorant le moral, tout en diminuant les redoutables répercussions physiques liées au stress, à l'angoisse et à la peur.
Il n'y a rien de plus grave que de croire qu'on sait ce qu'on ignore, et de défendre pour vrai ce qui est faux.
Ceux qui ont vu apparaître des parents décédés au pied de leur lit au moment de leur mort, ils n'étaient pas encore dans l'au-delà ni encore morts puisqu'ils pouvaient parler.
Imaginons […] la discussion de jumeaux flottant dans le liquide amniotique à la fin d’une grossesse. Appelons-les Gabriel et Léon. Léon est un matérialiste qui ne croit qu’à ce qu’il perçoit dans sa vie intra-utérine. Son frère Gabriel est spirituellement plus évolué et pense qu’une vie différente de celle qu’il subit depuis près de neuf mois est tout à fait possible.